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Face à son échec, le pouvoir sera contraint de dévoiler son plan B

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  • #16
    Jawzia

    Voici sa réponse à une question autour de ce point.
    J'y lis qu'il se considère déjà éligible pour le 4 juillet.

    L’option d’une instance présidentielle collégiale pour gérer une période de transition ne serait-elle pas plus adaptée à la crise que vit le pays depuis le 22 février ?
    Pourquoi y aller tant que nous avons une solution constitutionnelle ? Pourquoi focalisons-nous sur une sortie du cadre constitutionnel ? La Constitution en vigueur prévoit des mécanismes à même de nous permettre de sortir de la crise sans qu’on sorte du cadre constitutionnel. Pourquoi alors transcender cette solution et aller vers la collégialité. En 1992, quand la décision a été prise de désigner un Haut comité d’Etat (HCE), les choses étaient toutes autres. Maintenant, la Constitution est là et l’article 102 nous permet d’agir en nous conformons à ce texte. Le 102 nous a été justement inspiré par ce que nous avons vécu durant les années 1990, qu’on en fasse le bon usage. Ainsi, nous aurons fait acte de civisme politique. Je dois souligner ici, s’agissant de ma candidature, qu’elle était conforme dans le fond et dans la forme à ce que prévoie la loi organique. Mais le président sortant, en décidant de l’arrêt du processus électoral, a instruit le Conseil constitutionnel de mettre sous le boisseau les dossiers déposés. C’est illégal. Que le peuple se rappelle que M. Bouteflika, en 1999, avait postulé seul alors que les 6 autres candidats s’étaient retirés. En 2019, il s’est retiré et il a interdit à 20 autres candidats de se présenter. Donc, c’est une mesure arbitraire et illégale. J’insiste pour que les décideurs reconsidèrent cette décision et instruisent le Conseil constitutionnel pour reprendre ces dossiers et de considérer les 20 candidats comme éligibles à la candidature au même titre que ceux qui seront inscrits avec la deuxième convocation du corps électoral
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #17
      Abed charef chyate ? N importe quoi
      Qreeb el adane roh tryah
      وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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      • #18
        Si, le pouvoir a son candidat parmi les postulant et c'est Belkacem Sahli. Je vois que vous ne l'avez pas repéré.
        Serkouf..

        Si , je l'ai remarqué sur la liste des candidats, son parti n'a pas d’existence sue le terrain, il n'a aucune chance...

        Le pouvoir a besoin d'un grand parti bien structuré pour amorcer la machine électorale, sinon ca sera de facto un report des elections...

        Ouyahia est cramé et le nouveau chef du FLN est deja un boulet pour son parti...le pouvoir est pris dans son propre piège.

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        • #19
          Abed charef fait dans le soutien indirect de la junte militaire
          Ce n’est pas possible, Abed Charef est devenu lui aussi un cireur de godasses ! C’est pour ça qu’on ne le voit plus sur Radio M

          Dernière modification par shadok, 13 mai 2019, 20h12.
          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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          • #20
            "Malgré cela son image reste très négative " qu'il écrit.
            Abed n'est donc pas ce que vous dites de lui.
            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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            • #21
              "Malgré cela son image reste très négative " qu'il écrit.
              Abed n'est donc pas ce que vous dites de lui.
              J'ai cru comprendre qu'il est désolé que l'image de Gaid Salah reste négative malgré ce qu'il a fait.
              Dernière modification par shadok, 13 mai 2019, 20h57.
              Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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              • #22
                Sako : son parti n'a pas d’existence sue le terrain, il n'a aucune chance...
                Son parti c'est le Pouvoir. Il a son parti mais il aurait pu ne pas avoir non plus.
                La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                • #23
                  Débat complet - avec l'intervention de ABED CHAREF


                  Les injonctions de GAID SALAH sur la justice de se saisir des dossiers de corruption, est une grande erreur. La justice n'est donc toujours pas indépendante, et rentre dans l'agenda politique de l'armée (28') et donc, ne permet pas d'agir et de juger équitablement.


                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                  • #24
                    Un sacré farceur !..

                    Il vient de le poster


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                    • #25
                      Position d'Abed CHAREF sur l'armée : Il se montre bien en faveur d'une intervention appuyée de l'armée. Ce que la plupart des manifestants ne veulent pas.
                      Place et rôle de l’armée dans la sortie de crise
                      Abed Charef - Texte publié sur le site de TSA - 18 Avril 2019

                      Le 22 février a bouleversé l’Algérie. Il a emporté un président délégitimé, balayé une classe politique qui avait perdu sa crédibilité, mis fin à un absurde cinquième mandat, et rétabli la fierté des Algériens. Mais le 22 février a aussi mis à nu de nombreuses défaillances de l’Algérie : l’absence de structuration de la société, la faillite des institutions et leur incapacité à éviter la crise et à la résoudre, ainsi que le poids, toujours écrasant, de l’armée dans la vie politique du pays.
                      Après bientôt deux mois de contestation, le rôle de l’armée est d’ailleurs au centre du débat. C’est d’elle que sont venues les principales décisions, comme le départ du Président Bouteflika, même si elle a été contrainte d’agir sous la pression de la rue. Plus personne ne se fait d’illusion : l’avenir du pays dépend du tête-à-tête entre la contestation et l’armée, les deux principales forces politiques du pays. Une fusion entre les deux, ou un accord raisonné, en dehors de toute surenchère, permettrait au pays de décoller. Tout autre choix ne ferait qu’augmenter les risques, en exposant le pays à des périls contre lesquels il n’est pas immunisé.

                      L’armée, partie prenante

                      La nouvelle donne politique impose une évidence : l’armée ne doit pas seulement encourager ou accompagner le projet de transformation voulu par le peuple. Elle doit aller plus loin, pour endosser avec conviction et détermination, et assumer pleinement le projet. Elle doit le prendre en charge, le piloter ou le co-piloter, en partenariat avec les représentants de la société.
                      Les raisons qui plaident pour cette présence de l’armée dans le processus de changement visent, paradoxalement, à lui permettre de ne plus être entrainée dans des luttes sans rapport avec sa mission historique et sa vocation. L’ANP a besoin de mener une dernière grande œuvre pour ne plus avoir à éteindre des incendies allumés par des mauvais gestionnaires, des dirigeants narcissiques ou autoritaires, des forces occultes ou « non constitutionnelles ».
                      Les raisons qui plaident pour la participation active de l’armée à la transformation sont multiples:
                      1. L’ANP reste à la fois la principale force structurée du pays et la principale source de pouvoir. La situation s’est même accentuée avec la déliquescence institutionnelle observée durant l’ère Bouteflika.
                      2. L’armée a rejoint le peuple après le 22 février. Au-delà des personnes, l’ANP a affirmé son adhésion pleine à l’article 7 de la constitution, qui affirme la souveraineté du peuple. Entre l’allégeance à un pouvoir délégitimé et un retour aux fondamentaux de son histoire, elle a fait un choix décisif. Salutaire.
                      3. Si l’armée n’adhère pas au processus de changement, si elle est hésitante, ou neutre, elle peut, à tout moment, être poussée à s’opposer au processus. Les fameuses forces extraconstitutionnelles peuvent à tout moment créer les conditions de désordre nécessaires pour pousser l’armée à croire que le pays fait fausse route et qu’elle doit intervenir pour rétablir l’ordre ancien.
                      4. L’adhésion de l’armée serait un signal fort destiné à toutes les forces qui seraient tentées par l’aventure. C’est une forme de dissuasion nécessaire en ces moments d’hésitation.
                      5. L’adhésion de l’armée permet également de rétablir la discipline dans l’administration et les appareils de l’Etat, pour leur donner l’efficacité nécessaire lors de l’exécution du processus.
                      6. Une forme de coquetterie intellectuelle très en vogue met en avant un antimilitarisme virulent, sous prétexte que démocratie et armée sont antinomiques. C’est évidemment une perception erronée de la démocratie et des institutions, les grandes démocraties étant toutes dotées d’une armée puissante. Le problème n’est pas dans l’armée, mais dans le respect de son rôle constitutionnel et politique, ainsi que dans le processus qui doit mener à une normalisation de cette place de l’armée dans l’édifice institutionnel.
                      7. L’Etat algérien a été créé par l’ALN. Il ne s’agit pas momifier cet héritage, mais d’en tenir compte, pour engager un processus de modernisation de l’Etat et de l’armée, qui doivent aller de pair.
                      8. L’ANP doit corriger les erreurs du passé, pour éviter au pays de nouvelles crises. Face au vide politique, elle s’est replacée au centre du pouvoir, mais auparavant, elle avait délégué la gestion des affaires du pays à un groupe qui est allé de dérive en dérive, mettant l’armée elle-même dans une situation très délicate. Ce modèle doit disparaitre. Et le seul moyen de l’éviter, c’est de mettre en place des mécanismes constitutionnels qui mettent l’armée à l’abri de ces arbitrages inutiles et improductifs.
                      9. En participant pleinement à la sortie de crise, l’armée pourra corriger partiellement sa responsabilité dans les erreurs du passé. C’est en effet son commandement qui a fait les choix décisifs ayant mené à la situation actuelle, en choisissant tour à tour Liamine Zeroual puis Abdelaziz Bouteflika. Le bilan de ces trente dernières années lui est donc imputable. Elle doit participer aujourd’hui à mettre en place les mécanismes qui permettent d’éviter la répétition de telles dérives.
                      10. En permettant au pays de sortir de la crise actuelle, l’ANP pourra s’en sortir par la grande porte. Elle aura consacré la cohérence et la discipline dans ses rangs, permis au pays de faire un bond en avant, participé à la mise en place des nouvelles institutions, et conforté son propre discours selon lequel l’ANP est l’armée du peuple.

                      par Abed Charef le 18 avril 2019
                      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                      • #26
                        il dit n'importe quoi
                        parceque abd charef et d'apres ce qu'on sait de lui est un journliste
                        qui travaille encore sur le dos du secteur publqiue sinon si le gouvernement avec un president nouveau eleu avant juillet

                        le nouveau presdient et le nouveau gouvernement vont tout privatiser..
                        les journeaux les televisions qui vivaient des subventions papiers dette chez les editeurs ne peuvent pas survivre dans la competition ils doivent mettre les clé sous le paillassons et ce abed charf va re retrouver dehors avec une retraite..si vraiment il aura une bonne plume il va rejoindre un journal en france pour avoir quelques euro pour placer un billet ou un autre

                        c'est pourquoi l'ancien systeme a peur des elections presidentielle et tente a tout prix de la torpiller ..

                        suivez le ce qu'il va dire apres le delais que l'algerie est dans un état hors constitutionel et vont imposé la periode de 94 pour creer du grabuge et mainteneir l'algerie du service publqiue

                        maintenant on est plus en 90 car en 90 les gens avaient disant 45 ans
                        ils etaient jeunes
                        maintenant iml ont 70 ans et plus donc ils n'ont plus de force pour affronter des partis comme un nouveau FIS ou meme le nouveau FLN ou hams...

                        donc ça y est lorsque le temps est arrivée pour les boulchevik en 1980
                        ils n'avaient pas ou aller...lorsque la vieillesse arrive elle arrive...

                        donc abed charef comme hichem abboud comme les autres journliste meme français comme ceux du canard enchainé le Point n'ont plus d'avenir c'est FACEBOOK qui les a broyé ....

                        abed CHAREF VA CHEZ LE JOURNAL EN FRANCE LE Point et le canard enchaine faire leur deuille..

                        comme les enseignant d'une ancienne école coloniale SONIS.
                        alors ils ont fait une associations des anciens du SONIS les pieds noir et se rencontre chaque année au sud de la france..ils trinquent ensemble et vivent dans la nostalgie de l'épopée de la presse de la revolution de gauche che guevara staline lenine mao mitterand

                        le Point va mettre son doigt dans verre et dire ohhh my God

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