Jawzia
Voici sa réponse à une question autour de ce point.
J'y lis qu'il se considère déjà éligible pour le 4 juillet.
Voici sa réponse à une question autour de ce point.
J'y lis qu'il se considère déjà éligible pour le 4 juillet.
L’option d’une instance présidentielle collégiale pour gérer une période de transition ne serait-elle pas plus adaptée à la crise que vit le pays depuis le 22 février ?
Pourquoi y aller tant que nous avons une solution constitutionnelle ? Pourquoi focalisons-nous sur une sortie du cadre constitutionnel ? La Constitution en vigueur prévoit des mécanismes à même de nous permettre de sortir de la crise sans qu’on sorte du cadre constitutionnel. Pourquoi alors transcender cette solution et aller vers la collégialité. En 1992, quand la décision a été prise de désigner un Haut comité d’Etat (HCE), les choses étaient toutes autres. Maintenant, la Constitution est là et l’article 102 nous permet d’agir en nous conformons à ce texte. Le 102 nous a été justement inspiré par ce que nous avons vécu durant les années 1990, qu’on en fasse le bon usage. Ainsi, nous aurons fait acte de civisme politique. Je dois souligner ici, s’agissant de ma candidature, qu’elle était conforme dans le fond et dans la forme à ce que prévoie la loi organique. Mais le président sortant, en décidant de l’arrêt du processus électoral, a instruit le Conseil constitutionnel de mettre sous le boisseau les dossiers déposés. C’est illégal. Que le peuple se rappelle que M. Bouteflika, en 1999, avait postulé seul alors que les 6 autres candidats s’étaient retirés. En 2019, il s’est retiré et il a interdit à 20 autres candidats de se présenter. Donc, c’est une mesure arbitraire et illégale. J’insiste pour que les décideurs reconsidèrent cette décision et instruisent le Conseil constitutionnel pour reprendre ces dossiers et de considérer les 20 candidats comme éligibles à la candidature au même titre que ceux qui seront inscrits avec la deuxième convocation du corps électoral
Pourquoi y aller tant que nous avons une solution constitutionnelle ? Pourquoi focalisons-nous sur une sortie du cadre constitutionnel ? La Constitution en vigueur prévoit des mécanismes à même de nous permettre de sortir de la crise sans qu’on sorte du cadre constitutionnel. Pourquoi alors transcender cette solution et aller vers la collégialité. En 1992, quand la décision a été prise de désigner un Haut comité d’Etat (HCE), les choses étaient toutes autres. Maintenant, la Constitution est là et l’article 102 nous permet d’agir en nous conformons à ce texte. Le 102 nous a été justement inspiré par ce que nous avons vécu durant les années 1990, qu’on en fasse le bon usage. Ainsi, nous aurons fait acte de civisme politique. Je dois souligner ici, s’agissant de ma candidature, qu’elle était conforme dans le fond et dans la forme à ce que prévoie la loi organique. Mais le président sortant, en décidant de l’arrêt du processus électoral, a instruit le Conseil constitutionnel de mettre sous le boisseau les dossiers déposés. C’est illégal. Que le peuple se rappelle que M. Bouteflika, en 1999, avait postulé seul alors que les 6 autres candidats s’étaient retirés. En 2019, il s’est retiré et il a interdit à 20 autres candidats de se présenter. Donc, c’est une mesure arbitraire et illégale. J’insiste pour que les décideurs reconsidèrent cette décision et instruisent le Conseil constitutionnel pour reprendre ces dossiers et de considérer les 20 candidats comme éligibles à la candidature au même titre que ceux qui seront inscrits avec la deuxième convocation du corps électoral
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