L’Algérie-Venezuela-L'iran-Russie s’accordent sur l’OPEP du gaz
D'après le quotidien russe Kommersant, cinq des principaux pays producteurs, l'Algérie, le Qatar, l'Iran, la Russie et le Venezuela, lanceront une "Opep du gaz" au cours d'une réunion du Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) le 9 avril à Doha.
http://fr.biz.yahoo.com/19032007/202...u-terrain.html
http://fr.rian.ru/analysis/20060317/44479792.html
http://www.cafebabel.com/fr/article.asp?T=T&Id=10327
http://www.lexpansion.com/art/1.0.15...tml?xtor=RSS-7

L’Algérie a rejoint la position de la Russie sur les opportunités qu’offrirait la création d’une OPEP du gaz pour défendre les intérêts des pays producteurs.
mardi 20 mars 2007.
L'Algérie soutient la création d'une OPEP du gaz (JPEG) Le ministre de l’Énergie n’a pas démenti hier l’information publiée par le quotidien russe Kommersant, cité par l’AFP, selon laquelle cinq principaux pays producteurs de gaz lanceront une Opep du gaz à l’occasion de la conférence énergétique prévue le 9 avril à Doha. “Il y a une réflexion qui est engagée, l’Opep du gaz peut être créée dans la mesure où des pays sont intéressés lors de la prochaine réunion à Doha, des pays exportateurs et producteurs de gaz” comme l’Algérie et la Russie, a déclaré Chakib Khelil à la presse. Cette réponse contredit ses déclarations antérieures où il avait écarté l’idée de création d’une telle organisation à court terme. Elle est en droite ligne aujourd’hui avec celle du chef de l’État livrée au journal espagnol El Pais : “L’idée n’est pas à rejeter a priori. Elle mérite d’être examinée et discutée par les intéressés.”
L’information plus catégorique parue sur le quotidien russe correspond-elle à une évolution dans la réflexion sur la question ? Elle suggère que des discussions sont sur le point d’être finalisées entre les parties promotrices de l’idée. “Cette réunion du Forum des exportateurs producteurs prévue de longue date sera un bon moment pour annoncer la création d’un véritable cartel du gaz. Un accord politique serait proche. Les pays fondateurs de ce nouveau cartel seraient l’Algérie, le Qatar, l’Iran, la Russie et le Venezuela”, rapporte l’AFP. Le quotidien russe, suivant l’agence, cite des sources diplomatiques arabes. Il évoque, poursuit-elle, des commentaires favorables de responsables de ces pays.
Cependant, le ministre de l’Énergie avait affirmé que la création d’une Opep du gaz n’était pas possible à court terme. Pour plusieurs raisons. Le marché du gaz, qui est d’abord régionalisé, n’a pas la même liquidité que celui du pétrole. Il est fourni essentiellement à travers des contrats long terme, contrairement au brut. “Les prix du gaz sont indexés sur les prix du pétrole, qui répondent déjà à la politique et la stratégie de l’Opep. À quoi servirait une Opep du gaz puisque nous avons déjà une Opep du pétrole qui définit indirectement le prix du gaz ?” avait-il argué, tout en n’écartant pas la possibilité d’un marché de gaz liquide d’ici vingt-trente ans. Ces déclarations répondaient à un souci de dissiper les craintes de l’Union européenne appréhendant la constitution d’un cartel gazier Sonatrach-Gazprom, d’une Opep du gaz.
D'après le quotidien russe Kommersant, cinq des principaux pays producteurs, l'Algérie, le Qatar, l'Iran, la Russie et le Venezuela, lanceront une "Opep du gaz" au cours d'une réunion du Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) le 9 avril à Doha.
http://fr.biz.yahoo.com/19032007/202...u-terrain.html
http://fr.rian.ru/analysis/20060317/44479792.html
http://www.cafebabel.com/fr/article.asp?T=T&Id=10327
http://www.lexpansion.com/art/1.0.15...tml?xtor=RSS-7

L’Algérie a rejoint la position de la Russie sur les opportunités qu’offrirait la création d’une OPEP du gaz pour défendre les intérêts des pays producteurs.
mardi 20 mars 2007.
L'Algérie soutient la création d'une OPEP du gaz (JPEG) Le ministre de l’Énergie n’a pas démenti hier l’information publiée par le quotidien russe Kommersant, cité par l’AFP, selon laquelle cinq principaux pays producteurs de gaz lanceront une Opep du gaz à l’occasion de la conférence énergétique prévue le 9 avril à Doha. “Il y a une réflexion qui est engagée, l’Opep du gaz peut être créée dans la mesure où des pays sont intéressés lors de la prochaine réunion à Doha, des pays exportateurs et producteurs de gaz” comme l’Algérie et la Russie, a déclaré Chakib Khelil à la presse. Cette réponse contredit ses déclarations antérieures où il avait écarté l’idée de création d’une telle organisation à court terme. Elle est en droite ligne aujourd’hui avec celle du chef de l’État livrée au journal espagnol El Pais : “L’idée n’est pas à rejeter a priori. Elle mérite d’être examinée et discutée par les intéressés.”
L’information plus catégorique parue sur le quotidien russe correspond-elle à une évolution dans la réflexion sur la question ? Elle suggère que des discussions sont sur le point d’être finalisées entre les parties promotrices de l’idée. “Cette réunion du Forum des exportateurs producteurs prévue de longue date sera un bon moment pour annoncer la création d’un véritable cartel du gaz. Un accord politique serait proche. Les pays fondateurs de ce nouveau cartel seraient l’Algérie, le Qatar, l’Iran, la Russie et le Venezuela”, rapporte l’AFP. Le quotidien russe, suivant l’agence, cite des sources diplomatiques arabes. Il évoque, poursuit-elle, des commentaires favorables de responsables de ces pays.
Cependant, le ministre de l’Énergie avait affirmé que la création d’une Opep du gaz n’était pas possible à court terme. Pour plusieurs raisons. Le marché du gaz, qui est d’abord régionalisé, n’a pas la même liquidité que celui du pétrole. Il est fourni essentiellement à travers des contrats long terme, contrairement au brut. “Les prix du gaz sont indexés sur les prix du pétrole, qui répondent déjà à la politique et la stratégie de l’Opep. À quoi servirait une Opep du gaz puisque nous avons déjà une Opep du pétrole qui définit indirectement le prix du gaz ?” avait-il argué, tout en n’écartant pas la possibilité d’un marché de gaz liquide d’ici vingt-trente ans. Ces déclarations répondaient à un souci de dissiper les craintes de l’Union européenne appréhendant la constitution d’un cartel gazier Sonatrach-Gazprom, d’une Opep du gaz.
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