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L’ONM dévoile son plan de sortie de crise

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  • #16
    Comme déjà dit avant, ils ont fait le bon choix depuis le 22 février et se rallier au revendication du HIRAK.

    Et c'est tout à leur honneur !

    Il n'y a que les HARKIS ou les fils de HARKIS qui ne seraient pas d'accord de leur prise de positon !

    ha ha ha !
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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    • #17
      les cachiristes qui attaque l'ONM parce qu’elle a pris position pour le peuple, elle aurait pris position pour el gaid, ils l'auraient salué, minable

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      • #18
        les cachiristes qui attaque l'ONM parce qu’elle a pris position pour le peuple, elle aurait pris position pour el gaid, ils l'auraient salué, minable
        Et pendant 57 ans ils ont soutenu qui?
        Le certificat de virginité vient d’être délivré?


        ENCORE UN CHIFFRE MERVEILLEUX QUI DIT MIEUX!
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        Plus de 55 ans après l’indépendance, le nombre de moudjahidine encore en vie ne cesse se susciter la controverse. Resté longtemps secret, le nombre de personnes qui détiennent, aujourd’hui encore, la carte d’ancien combattant dépasse les 200 000. Le chiffre est donné par Saïd Abadou, secrétaire général de l’Organisation nationale des moudjahidine (ONM).

        Cité par des médias, M. Abadou a indiqué que « le nombre de moudjahidine inscrits, encartés et qui paient leurs cotisations est de 200 000 personnes ».

        Le chiffre a suscité beaucoup d’étonnement sur les réseaux sociaux. Les internautes ne comprennent pas comment il est possible d’avoir un nombre si élevé de moudjahidine 57 ans après le recouvrement de la souveraineté nationale. Des personnalités nationales, parmi lesquelles Benyoucef Melouk, qui a fait éclaté le scandale des magistrats faussaires, ont toujours contesté cette profusion d’anciens combattants.

        ===========================================
        LE FOND DE COMMERCE!


        La famille révolutionnaire qui comprend les anciens maquisards, leurs enfants ainsi que les descendances des chouhada (martyrs) est un véritable Etat dans l’Etat.
        Au sein de cette famille figure une myriade d’associations telles que :
        • l’Organisation nationale des enfants de chouhada (ONEC),
        • la Coordination nationale des enfants de chouhada (CNEC),
        • l’Organisation nationale des enfants des moudjahidine (Onem),
        • l’ONM.

        En raison des sacrifices consentis durant la guerre de libération ainsi qu’en raison du caractère sacré de la révolution, cette caste bénéficie de nombreux avantages et privilèges (pensions, priorité à l’emploi, crédits, licences de taxis et de débits de boissons…) octroyés par l’Etat algérien depuis l’indépendance.
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        LA FALSIFICATION DE L'HISTOIRE!


        « En Algérie comme ailleurs, les manuels scolaires restent des outils essentiels pour forger, fabriquer les mythologies nationales à partir de récits historiques produits par la volonté des Etats », écrivait ainsi en 2005 l’historien Benjamin Stora.
        Dernière modification par banzai, 20 juin 2019, 10h31.

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        • #19
          Des aides financières en faveur des harkis annoncées par le gouvernement
          Ce dispositif, « concerne potentiellement quelques milliers de personnes, sur 80 000 à 100 000 individus », explique-t-on au ministère
          Très peu de harkis a réussi à s’échapper vers la France après 1962. Il y avait moins de 30 000. Il n’est pas encore clair combien de harkis ont été assassinés après 1962 .
          Cependant, ce que nous pouvons dire avec certitude est que 150 000 Harkis n’ont pas été tués à la suite du départ de la population française, que certaines organisations françaises ont exagéré. Ce qui est certain, des milliers de harkis ont été effectivement assassinés en 1962.
          D’où la conclusion de mon enquête: La grande majorité des Harkis est restée vivre en Algérie après l’indépendance de 1962.
          en 2019 leurs descendants demandent de mettre les moujahidines et les chouhadas au crématoire de l'histoire.

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          • #20
            Celui qui avait 20 ans en 1954 en a pour 85ans en 2019
            Celui qui avait 30ans en 1954 en a pour 95ans en 2019.
            Faite le compte pour arriver a 200 000. La seule explication ils sont allés au djebel en couche culotte et biberon.
            A reléguer au crématoire de l'histoire bande de sangsues. Aucune dignité et ça demande encore plus que 2.5Milliard $. Allez clapser en France avec prise en charge en devises.
            On oublie que le pays a été gouverné depuis 1962 par la famille révolutionnaire.
            Famille révolutionnaire qui a mis le pays à genoux et transformé les taxieurs en esclaves, les algériens en harragas ou immigrés quelque part en France au Canada et ailleurs.
            J'ai lu une de ces racailles déclarer fièrement que leur nombre devrait être maintenu élevé sinon ils ne compteraient plus, je n arrive pas retrouver la déclaration de l'abruti. En terre Algérienne terre de miracles.
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            «On a créé deux catégories de citoyens, comme au temps de la colonisation. Il y a ceux qui disent "l'Algérie nous appartient. Nous l'avons libérée", et les autres», s'écrie Me Abdenour Ali Yahia, fondateur de la Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (Laddh).
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            Samir Imalayen, un ancien de la maison, se souvient qu'à la fin des années 70 les moudjahidin pouvaient déjà importer des voitures hors taxes, voyager en avion à prix réduit, voire gratuitement, ou encore obtenir des facilités de crédit. «Il n'y avait pas de règles précises. Le montant dépendait de la personne. Cela faisait d'autant plus grincer les dents que beaucoup de ces prêts n'ont jamais été remboursés. On a pu aussi attribuer des terres, même si aucun texte ne le prévoyait. Cela dépendait de la position sociale de l'intéressé.» La liste est longue. «Ce sont des emplois réservés, des départs en retraite anticipés, des avancements plus rapides, des salaires plus élevés, des priorités au logement», déclare un ancien haut responsable de la Sonatrach, la compagnie nationale qui gère la manne des hydrocarbures. Et de conclure, énervé, après sa longue énumération : «On aurait mieux fait, pendant la guerre, de recruter des mercenaires. ça nous aurait coûté moins cher !»
            LIBERATION.
            Dernière modification par banzai, 20 juin 2019, 13h33.

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