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Bensalah reçoit Karim Younès, Lalmas et Benabbou, annonce imminente du dialogue

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  • #16
    smail LALMAS est un bon interlocuteur avec le pouvoir , c'est un des rares qui disait la vérité au régime de BOUHAF du temps de sa splendeur , et puis un des rares aussi qui était la, le 22-02 ; il m'inspire confiance , attendez de voir la suite
    "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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    • #17
      ça fait 5 mois que le hirak manifeste pour la fin du système et que font ils il n ou présente des cach
      iristes des gens affiliés à ce pouvoir corrompus

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      • #18
        je pense que le mouvement populaire peut accepter cette sortie de crise juste pour voir ce que ça donne , qui ne tente rien n'a rien , sait-on jamais puisque le gouvernement bédoui va quitter sous la pression de ces représentants
        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
        (Paul Eluard)

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        • #19
          Exclusif. Karim Younes, « le rabatteur » du général Ali Ghediri

          Maghreb Intelligence - Skander Salhi-16:45 - janvier 25, 2019

          Le général à la retraite, Ali Ghediri, est en train de créer la surprise en Algérie. Quasiment méconnu des Algériens, le candidat aux élections présidentielles algériennes du 18 avril prochain commence à tisser sa toile en draguant de nombreuses personnalités algériennes capables d’apporter de la crédibilité à sa « conquête du pouvoir ». Mais pour ce faire, Ali Ghediri dispose d’une arme fatale. Il s’agit d’un homme qui détient tous ses secrets et lui trace la stratégie de lobbying pour obtenir le plus grand nombre de soutiens politiques.
          Cet homme s’appelle Karim Younes. Oui, l’ancien président du Parlement algérien de juin 2002 à juin 2004, est le lobbyiste secret du général Ali Ghediri. C’est lui qui a approché Mouloud Hamrouche pour tenter de nouer une alliance avec lui ou encore Liamine Zeroual, le très populaire ancien Chef d’Etat qui vit chez lui à Batna. Selon nos informations, Karim Younes voit en Ali Ghediri une véritable clé de « rupture » avec le régime actuel d’Abdelaziz Bouteflika.
          Il faut savoir à ce propos que Karim Younes est hostile depuis longtemps au clan présidentiel d’Abdelaziz Bouteflika. En 2004, il avait soutenu Ali Benflis contre Bouteflika. Mais depuis cette date, il a disparu de la scène politique et se faisait très discret. En 2019, en rejoignant le camp d’Ali Ghediri, Karim Younes veut prendre sa revanche…
          Othmane BENZAGHOU

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          • #20
            PRÉSIDENTIELLE 2004
            Bouteflika a-t-il peur de Benflis ?

            L'entourage du Président est de plus en plus convaincu que le Chef du gouvernement veut doubler Bouteflika dans la course à la présidentielle de 2004.
            Ce fut une visite de chef d'État qui a fortement déplu au Président. Le déplacement du Premier ministre, Ali Benflis, à Paris les 16 et 17 janvier n'a pas été du goût de Abdelaziz Bouteflika. Première grande conséquence, le Président algérien organise une contre-visite. Dans la plus grande confidentialité. Il sera donc reçu dans la capitale française le 5 février prochain.
            Le quotidien Le Monde, en date du 21 janvier, annonce que Bouteflika se rendra à Paris pour “une visite de travail” avec son homologue français. Les deux chefs d'État auront un déjeuner en tête à tête.
            Au menu des discussions, le futur traité franco-algérien. Préparée durant des semaines, la venue de Bouteflika en France a été directement traitée par l'entremise du conseiller diplomatique de Jacques Chirac, Maurice Gourdault-Montagne, qui s'est entretenu, à plusieurs reprises,
            avec Larbi Belkheir, le directeur de cabinet de la Présidence.Avant même le retour du Premier ministre à Alger, l'entourage de Bouteflika ne cachait pas son irritation. Objet du courroux de la Présidence :
            le traitement réservé par la presse française, relayée par les journaux algériens, au voyage de Ali Benflis. Ce dernier avait été accueilli comme un chef d'État.
            Et la presse a tressé quelques lauriers à l'homme politique et à l'avocat. Le quotidien Le Monde n'a pas hésité à titrer : “Le Premier ministre algérien Ali Benflis est reçu à Paris en possible successeur d'Abdelaziz Bouteflika”. Même si le Chef du gouvernement n'a pas pu bénéficier des fastes et des apparats dus à un chef d’État, il a néanmoins été reçu, tour à tour, par Jean-Pierre Raffarin à Matignon et sur le perron de l'Élysée par Jacques Chirac et au palais Bourbon, siège de l'Assemblée française, par Jean-Louis Debré.
            Voilà donc une visite qui rappelle celle que Bouteflika avait effectuée en juin 2000.
            C'en était trop pour l'entourage du Président, de plus en plus convaincu que le Chef du gouvernement veut doubler Bouteflika dans la course à la présidentielle de 2004. Bouteflika postule à un second mandat.
            Le Président l'a tôt fait savoir tant à ses proches qu'à ses interlocuteurs étrangers.
            À commencer par le Président français.
            L'histoire se passe le 18 octobre 2002 à Beyrouth.
            Lors du sommet de la francophonie organisé dans la capitale libanaise, le Président algérien fait office de vedette-surprise.
            L'Algérie ne fait pas partie de la communauté de la francophonie, souvent assimilée à une sorte de basse-cour de Paris. Officiellement donc,
            Bouteflika était l'invité personnel du président libanais Émile Lahoud, dont les liens étroits avec le Président français ne sont plus à démontrer. Au cours d'une rencontre en aparté, Bouteflika s'entretient avec Jacques Chirac.
            Les deux hommes abordent les relations entre les deux pays. Bouteflika profite de l'occasion pour solliciter l'appui du Président français dans la perspective de l’élection présidentielle de 2004.
            Le locataire d'EI-Mouradia explique à Chirac que sa réélection lui permettrait d'évincer les généraux aIgériens et d’éjecter l'armée hors du pouvoir.
            Bouteflika se fond d’une explication sur le rôle des militaires dans l'exercice du pouvoir en Algérie.
            Cette confidence a été livrée par le Président français lui-même et révélée, il y a deux semaines, par le journal satirique Le Canard enchaîné.
            En l'absence d'un démenti d’un côté comme de l’autre, l'information est donc tenue pour véridique. Bouteflika voudrait donc faire d'une pierre deux coups. Relancer sa candidature auprès du Président français et damer le pion à son Premier ministre et très probable adversaire à la course présidentielle.
            Depuis la victoire du FLN aux législatives et aux municipales, succès dû essentiellement au travail entrepris en profondeur par Ali Benflis, secrétaire général du parti, les relations entre la Présidence et le Premier ministère sont devenues extrêmement tendues.
            À Alger, les confidences sur les rapports hérissés entre le Président et son Premier ministre se multiplient. Au courant de l'été dernier, Benflis aurait déposé sa démission sur le bureau du locataire d'El-Mouradia. Refus du Président.
            Depuis, rien ne va plus entre les deux hommes. “Les relations entre les deux se résument au plan protocolaire”, affirme un habitué des arcanes du pouvoir.
            Le climat s'est tellement détérioré que le gouvernement a failli être limogé début novembre de l'année dernière.
            La Présidence et le Premier ministre divergent sur de nombreux dossiers lourds et tant publiquement qu'en privé, Benflis n’hésite pas à se démarquer de Bouteflika.
            L'exemple le plus frappant sur la discorde entre les deux hommes est le projet de loi sur les hydrocarbures, ficelé par un homme de Bouteflika, Chakib Khelil, ministre qui échapperait au contrôle de Ali Benflis ainsi que le quarteron de ministres qui détiennent les postes de souveraineté.
            Le Chef du gouvernement s'oppose non seulement au texte, mais à l’idée même de privatiser le secteur, privatisation ardemment souhaitée par les Américains, qui ne cessent de presser Bouteflika pour faire aboutir le projet. “Je m’oppose à la privatisation de Sonatrach en tant que Chef du gouvernement et en tant que secrétaire général du FLN”, avait affirmé Benflis récemment.
            Évidemment, les propos ont soulevé le courroux de Bouteflika, un temps déterminé à faire passer le projet de force, quitte à légiférer par ordonnance.
            L'opposition de Benflis fait un heureux, en la personne du patron de l'UGTA. Sidi-Saïd ne décolère pas contre le président, d’où la crainte de l’actuel chef de l’État de voir les deux hommes travailler en commun pour la concrétisation de la candidature de Ali Benflis en 2004.
            Et cela Bouteflika n'en veut pour rien au monde. Quitte à organiser une contre-visite à Paris pour effacer les traces de passage de son Premier ministre.
            F. A.
            Dernière modification par katiaret, 26 juillet 2019, 10h07.
            dz(0000/1111)dz

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            • #21
              Écoutez cette idiote de Fatiha Benabbou comment elle parle de sa rencontre avec Bensalah. Toute heureuse comme si elle est tombé amoureuse de lui.

              Incroyable, une constitutionnaliste qui dit publiquement et sans réserve aucune que Bensalah va demander à la justice de libérer les prisonniers politiques ! Elle ignore la séparation des pouvoirs et l’indépendance de la justice consacrée par la Constitution ?!

              Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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              • #22
                C'est un plan bien préparé. Mettre des gens en prison d'une manière arbitraire et les relâcher pour faire croire de leurs bonnes intentions .ILl est claire que ces caciques du système ne veulent pas le changement et ont peur pour leurs fesses . Une nouvelle ruse pour diviser le hirak qui est devenu leur plus grand problème politique.

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                • #23
                  vue le changement qui s'oppere au niveau mondial
                  il ya un peu de marge de manieuvre pour l'etat algerien..
                  deja la france et l'angletterre sont état de balancement totale..

                  la première chose a faire c'est faire le plutot possible les elections presedentiels et le future president essayera de trouver un compromis..

                  il faut seulement voir les rapports de forces en algerie et faire en sorte de trouver un equilibre..
                  1.le secteur privé
                  2.le secteur publqiue
                  3.le secteur des service fonction publqiue
                  4.et le reste c'est a dire les femme au foyer les enceintes les personne agés et les etudiants..

                  je ne sais pas si j'avais oublié un clan..c'est cela les clans politique ils ont besoin de finance...
                  le FLN n'a jamais fait de politique ..ce sont les affairiste qui font de la politique au nom du FLN votent le budget pour qu'il tombe dans leurs poches...

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                  • #24
                    donc en algerie il n ya que 4 partis politique il faut les nommer par leur noms c'est tout..il nya ni islame ni revolution ni ancien moujahide et fils de moujahide ni kabyle ni arabe ni amazigh ni anglais ni français ni x ni y...

                    deja les premices du depart du FLN a été entrepris par la creation des chefs d'entreprise et leur reprochait de faire de la politique en parralle en excluant le FLN..

                    le FLN hamas et les autres vont dispraitre face a ces 4 grands partis nommé par leur noms
                    le parti du secteur publqiue
                    le parti de l'adminsitration qui formait le rnd
                    le partis des fzemmes et personne agé et etudiants nommé parti des yants droits
                    le pari du secteur privé..
                    il se partage le budget de l'etat et c'est eux qui font la lois de finance
                    Dernière modification par pack2000, 26 juillet 2019, 23h33.

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                    • #25
                      ah boui j'ai oublié le 5 iemme
                      le paris des commerçant qui formait l'ex islamistes un clou redoutable..
                      il imposer son clou
                      d'ailleur ils ne parle que de masmar

                      on appelait les juif et chretiens comme épine

                      chouka ghir choukate el yihoud chkoun yagl3'ha c'est comme ça nos arrières parents parlaient d'eux

                      il faut faire avec
                      on l'avait deja fait
                      il faut marcher sur les pointes des pieds pas sur le talons

                      deja les français parlait d'une pierre dans le soulier ...
                      Dernière modification par pack2000, 26 juillet 2019, 23h42.

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                      • #26
                        C'est un plan bien préparé. Mettre des gens en prison d'une manière arbitraire et les relâcher pour faire croire de leurs bonnes intentions
                        Une monnaie d’échange. Une ruse veille comme le monde.
                        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                        • #27
                          Incroyable, une constitutionnaliste qui dit publiquement et sans réserve aucune que Bensalah va demander à la justice de libérer les prisonniers politiques ! Elle ignore la séparation des pouvoirs et l’indépendance de la justice consacrée par la Constitution ?!


                          Mais comment ils font à chaque fois pour nous surprendre et trouver encore plus con ?

                          Ils ont un vivier ?

                          Ils se reproduisent ?

                          On dirait que la cocotte a rencontré james dean alors que c'est juste droopy.
                          “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                          Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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