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Entretien avec Smail Lalmas, membre de la commission de dialogue

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  • #31
    Le pauvre Smail Lalmas a été malmené aujourd’hui par les manifestants. Il n’a pas trouvé quoi dire á propos de sa rencontre avec Bensalah.

    Il n’a pas trouvé mieux que de citer la rencontre de l’Équipe Nationale avec Bensalah

    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #32
      IL n'y a rien â négocier avec une marionnette . Bensalah n'est pas reconnu par les révolutionnaires du hirak qui savent très bien qu'il ne fait que executer des ordres. Un symbole du régime qui a très peur d'etre enharrache lui aussi. . ILS savent très bien qui a usurpé le pouvoir en devenant le seul décideur en Algérie. Le système en place est en train de vaciller, il pourra tenir au maximum une année. IL n'y aura pas de dialogue . Le système anachronique va tomber tôt ou tard .
      Dernière modification par ELKSOURI, 26 juillet 2019, 22h17.

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      • #33
        Si le pouvoir fait des propositions concrètes et tenables, alors c'est au peuple de les accepter ou des les refuser.

        les revendications concernant les prisonniers d'opinion, l'ouverture des médias pour le HIRAK , la liberté des manifs ............ doivent être concrétisés dans l"immédiat sinon c'est un nouveau échec pour le pouvoir de GS
        "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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        • #34
          Je respecte cet homme.
          Lalmas est un homme à principes, honnête, courageux et digne de respect. C'est un homme qui dit les choses comme elles sont sans euphémisme hypocrite. Il est parmi les rares hommes qui a toujours dénoncé la corruption quand tout le monde se taisait.
          Je trouve injuste qu'il soit traité de la sorte par les manifestants d'un Révolution qui se dit "Silmia".
          Curriculum vitæ : "Je suis né et depuis... j'improvise !!"

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          • #35
            Quand on en arrive à se contredire en si peu de temps, on se disqualifie politiquement pour l'éternité

            Othmane BENZAGHOU

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            • #36
              Envoyé par ott
              Quand on en arrive à se contredire en si peu de temps, on se disqualifie politiquement pour l'éternité*


              Ça c'était au début du "Hirak". Seulement, il arrive le moment où on doit voir les choses autrement en se rendant à l'évidence. Nous sommes dans une impasse qui risque de conduire le pays vers la ruine. Et beaucoup de gens commencent à penser qu'il n'y aura pas de solution sans compromis.
              Le situation est tellement complexe que le navire risque de chavirer a tout instant.
              Curriculum vitæ : "Je suis né et depuis... j'improvise !!"

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              • #37
                Ceux qui ont peur des revolutions pour faire chuter un régime moribond parlent d'impasse. L'impasse est imposée par ceux qui s'agrippent à leur post à l'âge de 82 ans et qui veulent dicter aux algeriens leurs vues. Que Sissi l'impératrice débarrasse le plancher et arrête de se fouttre de notre gueule. Il y a ensuite pleins de solutions qui s'offrent aux algeriens et au pays...

                PS : quand on se contredit aussi gravement en l'espace de 3 mois, c'est qu'on n'a aucune vision stratégique et on fait dans la politique spectacle. Ils n'ont plus aucune crédibilité pour parler de politique...
                Dernière modification par ott, 27 juillet 2019, 15h06.
                Othmane BENZAGHOU

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                • #38
                  Le pauvre Smail Lalmas a fait une erreur et ne sait pas comment s’en sortir. Il n’arrête pas de se contredire, il nous dit maintenant que "le dialogue est avec le peuple et non avec le pouvoir" !

                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                  • #39
                    Il est membre de Tallai El Houryates et il n'a fait que baliser le chemin à son président...
                    Dernière modification par ott, 28 juillet 2019, 09h01.
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #40
                      Le pauvre Smail Lalmas a fait une erreur et ne sait pas comment s’en sortir.

                      Changer de tactique ne signifie pas retourner sa veste ni trahir une cause. Les revendications du Hirak sont claires et pourraient être concrétisées une à une et ce, jusqu'au départ des hommes du système et leur remplacement au fur et à mesure de l'assainissement des secteurs importants.
                      Je vois très bien le panel s'enrichir de personnalités telles que Tabou, Bouchachi, Taleb El Ibrahimi, et surtout, Bouragâ une fois remis en liberté.

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                      • #41
                        On ne bricole pas dans une période aussi cruciale. Quand on entame un processus, on prend le temps d'en faire un processus sérieux, avec des préalables et des objectifs clairs qui traduisent les revendications du Hirak...

                        On ne se précipite pas à rencontrer un président fantoche dont son secrétaire, plus proche du pouvoir réel que des figurants civils nous annonce les termes et lignes rouges du dialogue sans vergogne, habitué à recevoir les ordres de sa hiérarchie...
                        Othmane BENZAGHOU

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