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Gaid Salah: «Le point essentiel du dialogue doit être l’élection présidentielle »

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  • #31
    Gaid Salah: «Le point essentiel du dialogue doit être l’élection présidentielle »
    Mais de quoi a t il de de mêler des élections démocratiques ce militaire!?
    Il signent déjà des contrats avec l'étranger pour la fourniture et l'armée,des affaires économiques juteuses pour lui et son entourage,il n'est pas rassasié pour un si grand ventre c'est normal vous allez me dire !
    Mais il n'a pas a se mêler des élections démocratiques des civils,il y a un président algérien, même par intérim, pour s'occuper des élections de leurs organisations et de leurs échéances.
    Je fais la remarque aussi sur son relatif silence qui a duré plus de trois semaines je pense, avant de faire son dernier discours qui suinte fortement l'Inquisition et une forte odeur d'avertissements destinés a qui de droit.

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    • #32
      L’armée est entrain de faire rouler les "politiciens" dans la farine. Un des plus radicaux entre eux , qui a dit en avril dernier que la seule chose que le pouvoir puisse faire et de remettre les clés et partir , vient d’être humilié en participant dans le panel de dialogue pour démissionner par la suite.

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      • #33
        L’armée est entrain de faire rouler les "politiciens" dans la farine






        ila el amam ..........la 3em voie...............el mendjel
        "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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        • #34
          Il met au défi quiconque algérien ,le gaid dictator a dicté ses volontés, point final.

          Dernier discours de Gaid Salah : faut il craindre le pire ?
          31/07/2019 07h:01 CET | Actualisé 31/07/2019 07h:01 CET

          Youcef Elmeddah
          Ingénieur agronome et ex-professeur à l'université de Tizi-Ouzou.
          Démentiel ! Surréaliste ! Kafkaïenne sortie du “Guide Suprême de la Nation”, Ahmed Gaid Salah, vrai chef de l’Etat et accessoirement de l’Etat-major de l’ANP !

          Contredisant totalement et sans aucune retenue le chef de l’Etat par intérim Bensalah qui, il y a deux jours promettait aux membres du Panel des six d’intervenir, dans la limite de ses prérogatives, pour la libération des détenus d’opinion et l’allégement du dispositif sécuritaire, AGS déclare sans vergogne :

          “Il m’appartient, dans ce contexte, de mettre en exergue certaines de ces idées empoisonnées que véhicule la bande et qu’adoptent certains porte-voix qui orbitent autour d’elle, notamment l’appel à l’élargissement des détenus, qualifiés à tort comme des prisonniers d’opinion, en guise de dispositions d’apaisement selon eux ...”


          “Idées empoisonnées que véhicule la bande” ? De quelle bande il s’agit ? Remettant à sa place Bensalah, et les folkloriques conditions posées par les membres du Panel pour assumer la mission qui leur a été confiée, il hausse le ton : ”.. je rappelle encore une fois que seule la justice est souveraine de la décision, conformément à la loi, concernant ces individus qui se sont pris aux symboles et aux institutions de l’Etat et ont porté outrage à l’emblème national. Il n’est permis à quiconque d’interférer dans son travail et ses prérogatives ou tenter d’influer sur ses décisions”.

          “Il n’est permis à quiconque d’interférer dans son travail…”, fusse t-il Bensalah ! Seul lui, avec l’aide de Dieu qui décide…



          Cela rappelle étrangement son dernier avertissement à l’autre bande avant la démission de Bouteflika et la série d’arrestation de ses proches qui s’en est suivie.

          Il y a peine deux jours, Karim Younes le chef de la “bande du Panel des six” déclarait : “Nous avions carte blanche pour exposer toutes les préoccupations de l’heure et les revendications du hirak et nous avons posé nos conditions. Le chef de l’Etat s’est engagé à répondre favorablement à nos préalables”.

          Là aussi, le “Guide suprême” le remet indirectement à sa place en lui rappelant qu’“il n’est plus question de perdre davantage de temps, car les élections constituent le point essentiel autour duquel doit s’axer le dialogue”.



          Ce n’est pas la première fois que AGS insiste sur l’urgence de l’organisation des élections présidentielles, coûte que coûte et dans “les plus brefs délais”. Et il est aisé de comprendre cette préoccupation du “Guide de la Nation”. Tout le reste n’a aucune importance pour lui. Seule l’élection présidentielle prime !

          Ces graves dissensions au sommet de l’Etat ne laissent rien présager de positif les tous prochains jours ou semaines. Etalées au grand jour, elles sont encore une fois la preuve d’un Pouvoir aux abois qui en plus de naviguer à vue, démontre sa totale irresponsabilité.

          Comment va réagir le Président Bensalah devant ce qui ressemble à une humiliation ? Et quelle serait la réponse des membres du Panel à ce discours du “Guide Suprême” que personne n’attendait ?

          Et enfin comment vont réagir les citoyens algériens qui n’en peuvent plus de cette lutte des clans ?

          Galhoum de Musset: “L’’incertitude est de tous les tourments le plus difficile à supporter”.

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          • #35
            entièrement d accord avec toi myst ce monsieur veut dialogue avec lui même il a essayé de nous enfumé avec son panel bidon le peuple algérien à compris la manoeuvre les algeriens commence à voir clair dans son jeu faire élire un président fantoche et puis c'est tout

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