Le barrage de Beni Haroun pourrait bien commencer à alimenter Mila et Constantine au début du mois de juin prochain pour garantir une disponibilité H24 du précieux liquide au profit des ménages.
Après l’achèvement des travaux au niveau de la station de pompage, localisée à Kikaya, à quelques kilomètres au nord de la ville de Mila, le complexe hydraulique de Beni Haroun est entré, tout récemment, en phase expérimentale. Cela intervient à quelques mois de la mise en service définitive du système de transfert des eaux du barrage prévu, selon une nouvelle échéance, pour le mois de juin prochain. En effet, selon une source locale, le barrage de Beni Haroun pourrait bien commencer à distribuer son eau vers Mila et Constantine au début de l’été.
La même source a révélé qu’en prévision de cet événement tant attendu, les services compétents du secteur de l’hydraulique ont procédé à de nombreuses expérimentations et essais sur certaines parties du complexe.
Ainsi, les bassins d’accumulation d’Aïn Tinn et de l’Oued Athmania ainsi que les couloirs 1, 2 et 3, destinés à l’alimentation en eau de 6 wilayas de l’est du pays, ont subi des tests d’étanchéité. Ces deux bassins de stockage, dont les capacités sont de 20 000 et 86 000 m3, ont été remplis, précise-t-on, à coups de citernes géantes pour les besoins d’expérimentation. D’autre part, des opérations analogues, souligne-t-on toujours auprès des responsables du secteur, sont prévues au courant de cette semaine sur d’autres structures du transfert, formées d’une multitude de stations de traitement et d’épuration, de bassins d’accumulation, de distribution et d’un réseau inextricable de canalisations de transfert et d’adduction. Il faut souligner, dans ce sillage, que le premier ouvrage étant entré en phase d’expérimentation, il reste le cas de la station de traitement d’Aïn Tinn. Cette dernière a été mise en service à sec, en septembre dernier, selon une source proche de la société chinoise détentrice du marché. Signalons, enfin, que la mise en service de ce gigantesque complexe hydraulique était prévue initialement pour la fin du mois de février dernier.
Elle a été retardée en raison de contraintes objectives, maintenant dépassées, au niveau de la station de pompage de Kikaya, considérée comme le cœur de tout le mégasystème de transfert de Beni Haroun. Reste à espérer que cet effort physique soit accompagné de la mise en place d’une gestion rationnelle qui prenne en considération les impératifs économiques et les besoins sociaux.
Par Liberté
Après l’achèvement des travaux au niveau de la station de pompage, localisée à Kikaya, à quelques kilomètres au nord de la ville de Mila, le complexe hydraulique de Beni Haroun est entré, tout récemment, en phase expérimentale. Cela intervient à quelques mois de la mise en service définitive du système de transfert des eaux du barrage prévu, selon une nouvelle échéance, pour le mois de juin prochain. En effet, selon une source locale, le barrage de Beni Haroun pourrait bien commencer à distribuer son eau vers Mila et Constantine au début de l’été.
La même source a révélé qu’en prévision de cet événement tant attendu, les services compétents du secteur de l’hydraulique ont procédé à de nombreuses expérimentations et essais sur certaines parties du complexe.
Ainsi, les bassins d’accumulation d’Aïn Tinn et de l’Oued Athmania ainsi que les couloirs 1, 2 et 3, destinés à l’alimentation en eau de 6 wilayas de l’est du pays, ont subi des tests d’étanchéité. Ces deux bassins de stockage, dont les capacités sont de 20 000 et 86 000 m3, ont été remplis, précise-t-on, à coups de citernes géantes pour les besoins d’expérimentation. D’autre part, des opérations analogues, souligne-t-on toujours auprès des responsables du secteur, sont prévues au courant de cette semaine sur d’autres structures du transfert, formées d’une multitude de stations de traitement et d’épuration, de bassins d’accumulation, de distribution et d’un réseau inextricable de canalisations de transfert et d’adduction. Il faut souligner, dans ce sillage, que le premier ouvrage étant entré en phase d’expérimentation, il reste le cas de la station de traitement d’Aïn Tinn. Cette dernière a été mise en service à sec, en septembre dernier, selon une source proche de la société chinoise détentrice du marché. Signalons, enfin, que la mise en service de ce gigantesque complexe hydraulique était prévue initialement pour la fin du mois de février dernier.
Elle a été retardée en raison de contraintes objectives, maintenant dépassées, au niveau de la station de pompage de Kikaya, considérée comme le cœur de tout le mégasystème de transfert de Beni Haroun. Reste à espérer que cet effort physique soit accompagné de la mise en place d’une gestion rationnelle qui prenne en considération les impératifs économiques et les besoins sociaux.
Par Liberté
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