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Une présidentielle sera organisée en Algérie coûte que coûte

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  • #16
    Il y a aussi une nouvelle chanson Chaabi de Mohamed Kechacha, un chanteur de rue qui se produit devant la fac centrale.

    Celui qui avait fait : https://youtu.be/KWjGc8GEtcs

    Les artistes du Hirak reviennent comme aux premiers jours

    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #17
      Nos jeunes qui pour la majorité n'ont aucun avenir avec cette mafia politique ne lâcheront pas le Hirak. Que le prix du pétrole augmente ou pas, ca ne changera rien pour eux :22:

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      • #18
        Hahahaha ... ... ana rebelle w nta tebbel3ak la poubelle ....

        chyata li ye3ebdou el cadr .. rahoum ye3ebdou fik !

        excellent...

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        • #19
          pas mal du tout ,je connaissait pas non plus
          Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
          alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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          • #20
            je vous avez dit dès février qu'on allait assister a une explosion culturelle . mais le plus gros est a venir (après l'état de droit)

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            • #21
              en attendant l’État de droit on est toujours avec le même disque rayé de AMHOUM EL GAID
              "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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              • #22
                Communiqué du mouvement IBTYKAR :

                Voilà trente semaines consécutives qu’un mouvement populaire pacifique d’une ampleur historique exige le départ du système et l’établissement d’une Algérie démocratique fondée sur un Etat de droit.

                Face à ce désaveu massif, le régime acculé continue de s’opposer aux revendications légitimes du Peuple souverain et à mépriser ses aspirations. Il cherche désespérément les moyens d’assurer sa survie et investit ses dernières ressources dans une contre-révolution acharnée en emprisonnant des manifestants et des opposants politiques, en muselant les médias, et en semant la peur et la désinformation.

                Le haut commandement militaire, détenteur du Pouvoir réel, ne cache plus sa mainmise sur les affaires politiques, refuse tout préalable démocratique et impose sans équivoque sa feuille de route par la force et l’intimidation.

                C’est dans ce contexte dangereux de négation de la souveraineté populaire, de violation de tous les fondamentaux démocratiques et d’escalade dans la répression, qu’a été annoncée la convocation du corps électoral et la tenue d’élections présidentielles le 12 décembre prochain.

                Le Mouvement IBTYKAR rejette cette nouvelle mascarade électorale. Il s’agit d’un affront éhonté aux millions d'Algériennes et d’Algériens qui ont rejeté massivement les élections du 18 avril, les élections du 4 juillet et la comédie obscène du Panel du dialogue, et se mobilisent inlassablement à travers tout le territoire pour réclamer la rupture avec le système, son personnel et ses méthodes.

                Tenter de contraindre un Peuple déterminé à reprendre son destin en main à troquer sa souveraineté contre un changement de façade opéré par et à l’intérieur du système est une entreprise vouée à l’échec.

                Aujourd’hui plus que jamais, toutes les forces démocratiques sont appelées à constituer un front unitaire pour faire face à un régime à bout de souffle qui joue ses dernières cartes.

                - Nous appelons les citoyennes et citoyens à maintenir la mobilisation et préserver son caractère pacifique exemplaire.
                - Nous appelons également la société civile et l’opposition politique à continuer à se mettre au service du mouvement populaire et à poursuivre la convergence dans le sens de la rupture effective.
                - Nous exhortons les magistrats et les élus à prendre la mesure de leur responsabilité en ce moment historique. Prendre part à ces élections reviendrait à légitimer l’illégitime et à trahir les revendications du mouvement populaire.

                L’échec prévisible de ces élections présidentielles serait l’humiliation de trop pour le régime honni. La crise de légitimité profonde est le résultat de décennies de règne de l’arbitraire, et la seule solution viable est le départ du système et la mise en place d’institutions de transition crédibles. Celles-ci assureront la continuité de l’Etat tout en mettant en route les chantiers rigoureux et exigeants de la démocratisation.

                L’Algérie libre, juste et prospère à laquelle nous aspirons toutes et tous, ne peut être bâtie que sur les fondations solides d’un nouveau contrat social et un Etat de droit fort de sa légitimité démocratique.

                Le Mouvement IBTYKAR
                16 septembre 2019
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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