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Comment des cercles proches du pouvoir cherchent à piéger Hamrouche

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  • #16
    Salut Ghandi,

    J'espère vraiment me tromper. Mais je préfère me préparer au pire pour ne pas passer à côté de cette phase historique sans trop de casse. La glorieuse révolution avait été extraordinaire mais extrêmement coûteuse...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #17
      Présidentielle : Communiqué de Mouloud Hamrouche

      ELWATAN.COM 02 OCTOBRE 2019 À 16 H 34 MIN 5544

      L’ancien chef du gouvernement Mouloud Hamrouche a rendu public, aujourd’hui mercredi, un communiqué dont voici le texte intégral :

      « J’ai eu à prendre une position et formuler mes points de vue sur la situation que vit notre pays, sur l’espoir que nourrissent nos concitoyens ainsi que sur des échéances projetées. J’ai toujours réfuté la confusion et rejeté la mystification. Je continue à croire que la nature des exigences du moment ne peut être exaucée par des promesses. Elle requiert des engagements des plus clairs, des plus forts, des plus larges et des plus inclusifs. Je remercie celles et ceux anonymes qui souhaitent me voir impliquer dans les joutes électorales et leur rappeler que ma position sur cette question est claire et inchangée, mais mon engagement demeure total et mon espoir, comme eux, intact.
      Othmane BENZAGHOU

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      • #18
        Hamrouche désamorce la bombinette avec doigté en renvoyant les responsables de cette situation dramatiques à leurs réelles responsabilités historiques, n'en déplaise aux menaces et autres slogans et discours creux...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #19
          Elle requiert des engagements des plus clairs, des plus forts,
          oui, entre autres, la libération de tous les prisonniers politiques, le démantèlement du gouvernement Bédoui et le congédiement de Bensalah, la dissolution des deux chambres et le plus important: l'armée dans les casernes et qu'elle se ferme la gueule.

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          • #20
            La réponse de HAMROUCHE, est une Vraie claque pour ceux qui voulait l'utiliser pour détourner le HIRAK !
            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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            • #21
              La réponse de HAMROUCHE,
              le monsieur ne veut pas assister au 3ours el intikhabi , pour servir d'alibi . malgré l'insistance du système maffieux ,
              Dernière modification par zemfir, 02 octobre 2019, 22h25.
              "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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              • #22
                ok pour ce qu'il dit (hamrouche) mais il reste un homme du système.il peut être le plan B et tous ceux qui se posent en tant que candidats on fait tomber leurs masques.pour les conditions présentes du vote.
                Dernière modification par ice berg, 02 octobre 2019, 22h39.

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                • #23
                  un coup de gifle pour Gaid SALAH qui cherche a brigander les revendication du Hirak .
                  la réponse est claire
                  comment peut on faire des élection crédible a la présence de deux architecte du fraud électoral Ben Salah et Baddoui ?

                  les 2B sont toujours la .....ou sont les revendication du hirak ...que cherche LE Dictateur Gaid Sahal ?
                  dz(0000/1111)dz

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                  • #24
                    Mouloud Hamrouche, l’homme qui ne sauvera pas l’élection du 12 décembre

                    Mouloud Hamrouche, l’homme qui ne sauvera pas l’élection du 12 décembre

                    TSA - 10:06 - Politique

                    Son nom a circulé ces derniers jours comme probable candidat à la présidentielle du 12 décembre, après que des groupes de citoyens ont entrepris de le solliciter pour se jeter dans l’arène. Mais Mouloud Hamrouche a une nouvelle fois coupé court aux spéculations des uns et aux espoirs des autres. Pour cela, il n’a pas attendu que ses partisans se déplacent jusqu’à son domicile comme ils ont prévu de le faire ce samedi 5 octobre.

                    « J’ai eu à prendre une position et formuler mes points de vue sur la situation que vit notre pays, sur l’espoir que nourrissent nos concitoyens ainsi que sur des échéances projetées. J’ai toujours réfuté la confusion et rejeté la mystification. Je continue à croire que la nature des exigences du moment ne peut être exaucée par des promesses. Elle requiert des engagements des plus clairs, des plus forts, des plus larges et des plus inclusifs. Je remercie celles et ceux anonymes qui souhaitent me voir impliqué dans les joutes électorales et leur rappeler que ma position sur cette question est claire et inchangée, mais mon engagement demeure total et mon espoir, comme eux, intact », a expliqué l’ancien chef de gouvernement ce mercredi 2 octobre.

                    Mouloud Hamrouche s’est exprimé par le biais d’une déclaration laconique qui tranche avec ses longues contributions publiées dans la presse, mais qui exprime la même intransigeance de l’homme quant aux conditions qui devraient prévaloir pour réaliser une véritable transition démocratique.

                    Des conditions qui, à ses yeux -et il a eu l’occasion de le dire plus clairement-, ne sont pas réunies, même s’il ne désespère pas qu’elles le seront dans un futur proche, avec des engagements fermes et un cap convaincant de la part de ceux qui détiennent le pouvoir réel.

                    Surnommé « l’homme des réformes » pour son rôle joué dans la concrétisation de l’ouverture démocratique lorsqu’il était à la tête de l’Exécutif entre 1989 et 1991, Mouloud Hamrouche a été cité comme potentiel postulant à la magistrature suprême à chaque crise majeure et à chaque approche d’une échéance électorale charnière.

                    Mais l’homme est resté fidèle à l’état d’esprit qui était le sien au début des années 1990 quand il exécutait le programme d’ouverture du président Chadli Bendjedid, refusant les demi-mesures, les compromis et les simulacres d’ouverture.

                    Sa démission en juin 1991 était motivée, dit-on, par la décision prise sans le consulter de réprimer une grève insurrectionnelle du FIS. En 1999, la promesse du président démissionnaire Liamine Zeroual d’organiser un scrutin honnête l’avait convaincu de se porter candidat, mais il s’est retiré la veille du vote en compagnie de cinq autres candidats quand l’intention du régime d’introniser Abdelaziz Bouteflika était devenue évidente.

                    En vingt ans de règne de ce dernier, Mouloud Hamrouche s’est éclipsé presque totalement de la scène politique, se contentant d’éphémères apparitions et de déclarations sporadiques, le plus souvent sous forme de contributions publiées dans la presse. Des contributions qu’il multiplie depuis janvier dernier, lorsque le cinquième mandat du président Bouteflika avait commencé à engager le pays dans la voie de la crise.

                    A travers ce qu’il a écrit ces derniers mois, il se décline comme un farouche opposant au maintien du système, qualifié d’« antinational », un adepte du changement qui doit se faire avec l’armée et non contre elle.

                    Certains ont cru déceler un appel du pied à l’institution militaire en vue d’un éventuel parrainage, mais Hamrouche a démenti toute ambition à chaque fois que de besoin, refusant même les missions de médiation pour lesquelles il a été proposé tout au long de l’été.

                    Son nom a de nouveau été évoqué comme l’incarnation d’une troisième voie au moment où l’impasse politique est presque totale avec la perspective d’une élection présidentielle que le pouvoir veut organiser à tout prix, contre l’avis de l’opposition qui n’a pas présenté de candidats et de la rue qui promet de faire capoter le scrutin.

                    Sa candidature -qui n’aura donc pas lieu, du moins dans les conditions actuelles – a-t-elle été voulue comme une chance pour l’opposition et le hirak face aux plans du pouvoir ou, au contraire, suggérée par les relais de celui-ci pour sauver une élection qui se dirige droit vers le fiasco ? On n’en sait rien, mais il est important de souligner que les appels à la candidature de M. Hamrouche pèchent par l’anonymat de leurs auteurs.

                    Par : Makhlouf Mehenni
                    Othmane BENZAGHOU

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