@Fortuna
Il est impossible de rejouer un ramake à la lettre de l'équation de 1991, cependant, certains paramètres sont quasi les mêmes, avec un renouvellement générationnel et de clan dans un pouvoir que veut reprendre en force son emprise sur le pays, Sissi l'impératrice n'étant que sa face visible du moment, et la tendance de ce régime à y trouver ses solutions à une équation proche est toujours d'actualité... le danger islamiste permet à ce régime un soutien international fort, yankees, franchies, Bolchoï et Banou Kalbounien... pour se mettre dans cette configuration, il faut faire du bruit sur la supposée prépondérance des islamistes sur le hirak, ce qui n'est pas vrai, mais n'est pas totalement faux aussi.
Sur le plan interne, une fois usée et abusée la carte du DRS, car on en arrive à du charabia sur ce sujet en ce moment par Sissi l'impératrice, il faudra unifier le système sur un nouvel ennemis, et quoi de mieux que de mettre en avant cet ennemis imaginaire... il permet aussi de faire peur à certains algeriens qui considèrent que les islamistes pourraient être les vainqueurs d'une dynamique, comme ce fût le cas en Tunisie, Egypte ou Maroc... Le risque est réel, à nous de bien le considérer pour que les résidus du FIS ne commettent pas les mêmes erreurs qu'en 1991, ouvrant un boulevard à ce pouvoir pour se maintenir...
Il est impossible de rejouer un ramake à la lettre de l'équation de 1991, cependant, certains paramètres sont quasi les mêmes, avec un renouvellement générationnel et de clan dans un pouvoir que veut reprendre en force son emprise sur le pays, Sissi l'impératrice n'étant que sa face visible du moment, et la tendance de ce régime à y trouver ses solutions à une équation proche est toujours d'actualité... le danger islamiste permet à ce régime un soutien international fort, yankees, franchies, Bolchoï et Banou Kalbounien... pour se mettre dans cette configuration, il faut faire du bruit sur la supposée prépondérance des islamistes sur le hirak, ce qui n'est pas vrai, mais n'est pas totalement faux aussi.
Sur le plan interne, une fois usée et abusée la carte du DRS, car on en arrive à du charabia sur ce sujet en ce moment par Sissi l'impératrice, il faudra unifier le système sur un nouvel ennemis, et quoi de mieux que de mettre en avant cet ennemis imaginaire... il permet aussi de faire peur à certains algeriens qui considèrent que les islamistes pourraient être les vainqueurs d'une dynamique, comme ce fût le cas en Tunisie, Egypte ou Maroc... Le risque est réel, à nous de bien le considérer pour que les résidus du FIS ne commettent pas les mêmes erreurs qu'en 1991, ouvrant un boulevard à ce pouvoir pour se maintenir...
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