Abdemadjid Tebboune promet l’installation d’un groupe de constitutionnalistes qui veut se pencher sur la révision de la constitution qui consacrera , selon ses dire, l’équilibre des pouvoirs, la limitation des prérogatives du président et qui consacrera l’État de droit.
Le nouveau chef d’Etat a annoncé un prochain remaniement gouvernemental avec l’entrée au staff exécutif de jeunes entre 25 et 26 ans, sans préciser si Nordine Bedoui sera maintenu ou remercié.
Le conférencier a aussi promis un amendement profond de la loi électorale avec une promesse d’ouverture d’un fond spécial d’aide à la candidature de jeunes pour les protéger des financements occultes. Il s’est engagé, en outre, à dissoudre les assemblées nationales et locales existantes, une fois toutes les conditions politiques et juridiques réunies.
Abdelmadjid Tebboune a rassuré les journalistes que la grâce qu’il compte prononcer ne concernera en aucun cas les gens impliqués dans les dossiers de corruption. Il lance aussi la promesse de demander à la justice de rétablir les victimes de la bande dans leurs droits. Il n’a, toutefois, soufflé aucun mot sur les détenus d’opinion.
Répondant à une question sur les déclarations de Macron, Tebboune se suffit de dire que le président Macron est libre de gérer son agenda intérieur à sa façon et qu’il s’abstient de lui répondre. Tebboune a assuré qu’il accordera ses premières visites au sud, à l’est et à l’ouest du pays et que l’extérieur dépend de l’agenda international. Quand à la Kabylie, il a émis un vif souhait de lui rendre visite dès que la conjoncture favorable le permet.
Quant au Hirak, Abdelmadjid Tebboune se dit favorable et disposé à dialoguer avec tout délégué du Hirak, les partis politiques qui le souhaitent et avec la société civile. Il a plusieurs fois lancé l’appel à un dialogue sincère et franc et sans exclusion.
Pour les émigrés, il a promis un fond spécial au niveau de la présidence pour le rapatriement de tout Algérien décédé à l’étranger.
Abdelmadjid Tebboune refuse de dévoiler son plan de rapatriement des capitaux détournés vers l’étranger. Il explique cette mesure de rétention d’information par sa peur de voir la bande contrecarrer son plan.
Sur la liberté de la presse, Abdelmadjid Tebboune assure les journalistes qu’elle sera poussée vers ses extrêmes avec une volonté de s’occuper sévèrement de ceux qui feront passer par les canaux médiatiques les mensonges, les diffamations et les insultes.
Arezki Lounis
Le nouveau chef d’Etat a annoncé un prochain remaniement gouvernemental avec l’entrée au staff exécutif de jeunes entre 25 et 26 ans, sans préciser si Nordine Bedoui sera maintenu ou remercié.
Le conférencier a aussi promis un amendement profond de la loi électorale avec une promesse d’ouverture d’un fond spécial d’aide à la candidature de jeunes pour les protéger des financements occultes. Il s’est engagé, en outre, à dissoudre les assemblées nationales et locales existantes, une fois toutes les conditions politiques et juridiques réunies.
Abdelmadjid Tebboune a rassuré les journalistes que la grâce qu’il compte prononcer ne concernera en aucun cas les gens impliqués dans les dossiers de corruption. Il lance aussi la promesse de demander à la justice de rétablir les victimes de la bande dans leurs droits. Il n’a, toutefois, soufflé aucun mot sur les détenus d’opinion.
Répondant à une question sur les déclarations de Macron, Tebboune se suffit de dire que le président Macron est libre de gérer son agenda intérieur à sa façon et qu’il s’abstient de lui répondre. Tebboune a assuré qu’il accordera ses premières visites au sud, à l’est et à l’ouest du pays et que l’extérieur dépend de l’agenda international. Quand à la Kabylie, il a émis un vif souhait de lui rendre visite dès que la conjoncture favorable le permet.
Quant au Hirak, Abdelmadjid Tebboune se dit favorable et disposé à dialoguer avec tout délégué du Hirak, les partis politiques qui le souhaitent et avec la société civile. Il a plusieurs fois lancé l’appel à un dialogue sincère et franc et sans exclusion.
Pour les émigrés, il a promis un fond spécial au niveau de la présidence pour le rapatriement de tout Algérien décédé à l’étranger.
Abdelmadjid Tebboune refuse de dévoiler son plan de rapatriement des capitaux détournés vers l’étranger. Il explique cette mesure de rétention d’information par sa peur de voir la bande contrecarrer son plan.
Sur la liberté de la presse, Abdelmadjid Tebboune assure les journalistes qu’elle sera poussée vers ses extrêmes avec une volonté de s’occuper sévèrement de ceux qui feront passer par les canaux médiatiques les mensonges, les diffamations et les insultes.
Arezki Lounis
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