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Tebboune, président sans légitimité

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  • #31
    Tebboune, président sans légitimité
    Comment sans légitimité ? Contesté par les personnes qui n’ont pas voté pour lui oui, mais sans légitimité, non. C’est bien le conseil constitutionnel qui déclare la légitimité ou non d’un président après des élections. Il le fait on se basant sur les lois électorales du pays. S’il suffisait à un groupe de personnes ou à une tranche de la population de déclarer un président illégitime, on n’aura jamais de président légitime. On devient comme certains pays d’Afrique ou chaque fois qu’un candidat perd des élections, il déclare le président gagnant d’illégitime.

    Il y a eu des élections, pratiquement 10 millions d’algériens ont participé à ces élections et la majorité de ceux qui ont voté, ont voté pour Tebboune. Aucun des 4 candidats n’a contesté les résultats, aucune preuve légale de fraude n’a été déposer suite à une plainte ni au niveau de la commission électorale ni au niveau de justice, Tebboune est donc légalement élu et devient donc président légitime de l’Algérie.

    Sinon je ne vois comment on peut définir la légitimité d’un président

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    • #32
      @rago

      Le choix du peuple ?

      Quel choix ?

      Celui décidé il y a plus de 57 ans ?

      De quel peuple il s'agit ?

      Personne ne l'a vu voter.

      Les pays étrangers font de la realpolitik qui consiste à défendre leurs intérêts.

      Dépendance de l'Algérie à 97 % des hydrocarbures après 57 ans.

      C'est dans l'intérêt de qui ?
      “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
      Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

      Commentaire


      • #33
        " Les pays étrangers font de la realpolitik qui consiste à défendre leurs intérêts.

        Dépendance de l'Algérie à 97 % des hydrocarbures après 57 ans.

        C'est dans l'intérêt de qui ?
        ".

        votre prose est trop lacunaire afin de mériter un débat intelligible.

        Argumentez de façon plus explicite.

        Commentaire


        • #34
          Sinon je ne vois comment on peut définir la légitimité d’un président

          - faut voir avec ce moustachu , il doit savoir comment


          "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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          • #35
            - faut voir avec ce moustachu , il doit savoir comment
            Je ne vois pas le rapport entre la photo et la légitimité de Tebboune.

            Pour la photo, avec tout le respect que j’ai pour ce monsieur qui semble être très sincère dans son action ; dans son état, il ne semble pas savoir beaucoup de chose.
            Il n’est même pas au courant qu’il ne peut y avoir légalement aucun rapport entre Tebboun et la cocaïne même si son fils est condamné pour trafic de cocaïne. Il ne semble même pas être au courant que le fils de Tebboune n’est pas condamné pour trafic de cocaïne, et qu’il n’est même pas accusé de trafic de cocaïne mais de trafic d’influence pour octroi de permis de construire au profil du bouché.
            Il est possible que le fils de tebboun soit lui-même l’organisateur de l’importation des 700 Kg de cocaine, mais en se basant uniquement sur les faits qu’on à ce jour, il ne peut y avoir aucun rapport entre Tebboun et la cocaine et que ce pauvre monsieur se fait mettre lui-même de la farine sur le visage sans vraiment savoir pourquoi. Comment peut-il s autres choses par rapport à l’élection de Tebboun.

            Commentaire


            • #36
              Je ne vois pas le rapport entre la photo et la légitimité de Tebboune.

              Pour la photo, avec tout le respect que j’ai pour ce monsieur qui semble être très sincère dans son action ; dans son état, il ne semble pas savoir beaucoup de chose.
              Il n’est même pas au courant qu’il ne peut y avoir légalement aucun rapport entre Tebboun et la cocaïne même si son fils est condamné pour trafic de cocaïne. Il ne semble même pas être au courant que le fils de Tebboune n’est pas condamné pour trafic de cocaïne, et qu’il n’est même pas accusé de trafic de cocaïne mais de trafic d’influence pour octroi de permis de construire au profil du bouché.
              Il est possible que le fils de tebboun soit lui-même l’organisateur de l’importation des 700 Kg de cocaine, mais en se basant uniquement sur les faits qu’on à ce jour, il ne peut y avoir aucun rapport entre Tebboun et la cocaine et que ce pauvre monsieur se fait mettre lui-même de la farine sur le visage sans vraiment savoir pourquoi. Comment peut-il s autres choses par rapport à l’élection de Tebboun.
              les algérien ne sais pas lire leur dictionnaire ...
              appris l'opération jumelle et oiseaux bleu ....nous avons l'opération cocaine et blanchissement des généraux corrompue
              dz(0000/1111)dz

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              • #37
                Rago
                votre prose est trop lacunaire afin de mériter un débat intelligible.

                Argumentez de façon plus explicite.
                Et c'est rago qui le dit = compliment
                “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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                • #38
                  Jeune afrique s'y met ausdi


                  Algérie : les défis d’Abdelmadjid Tebboune, nouveau président d’un pays sous tension
                  jeuneafrique.com | 13 décembre 2019 12:58

                  Abdelmadjid Tebboune lors d'une conférence de presse à Alger, le 24 novembre 2019. © Fateh Guidoum/AP/SIPA
                  Abdelmadjid Tebboune a été élu président de la République dans un contexte de contestation massive, lors d’un scrutin marqué par un taux d’abstention record de près de 60 %. Un déficit de légitimité qu’il devra combler, tout en cherchant un consensus politique et en contenant l’influence de l’armée.

                  L’ancien Premier ministre Abdelmadjid Tebboune, 73 ans, a été élu président de la République au premier tour de l’élection présidentielle qui s’est déroulée jeudi 12 décembre. Les premiers résultats du scrutin – qui doivent être confirmés cette semaine par le Conseil constitutionnel – le donnent largement vainqueur avec 58,14 % des suffrages, soit près de 5 millions de voix sur les 24 millions d’électeurs inscrits. Il succède ainsi à Abdelaziz Bouteflika, au pouvoir depuis avril 1999 et qui avait été*contraint à la démission en avril dernier après une révolution qui a démarré en février pour contester sa candidature à un cinquième mandat.

                  à lire [Analyse] Algérie*: la présidentielle de la discorde
                  Premier scrutin après cette révolution pacifique qui jette encore chaque semaine des centaines de milliers de manifestants dans la rue, la présidentielle s’est déroulée dans un climat extrêmement tendu. Jeudi, des milliers de personnes ont manifesté dans la capitale, ainsi que dans d’autres villes du pays, pour s’opposer à cette élection et exiger à nouveau la fin du système. Des troubles ont été enregistrés dans certaines villes de Kabylie, cette région rebelle et frondeuse où la population a massivement boycotté le scrutin.

                  Le taux d’abstention record, le plus important de toutes les présidentielles que l’Algérie a connu depuis l’ouverture démocratique de 1989, souligne à juste titre l’ampleur du rejet ou de l’indifférence des Algériens pour ce rendez-vous électoral. La contestation populaire ne devrait pas faiblir, dans la mesure où de nouvelles manifestations ont eu lieu vendredi 13 décembre, alors que d’autres actions sont prévues pour les jours à venir.

                  Des manifestants protestant dans les rues d'Alger, vendredi 13 décembre 2019, contre le nouveau président élu la veille, Abdelmadjid Tebboune. © Toufik Doudou/AP/SIPA
                  Surprise
                  De nombreux observateurs pensaient pourtant que les chances de Tebboune, présenté*comme le candidat de l’establishment militaire, étaient minimes après une campagne électorale plombée par les défections dans son staff et par l’arrestation de deux de ses amis et bailleurs de fonds. L’ex-Premier ministre a finalement déjoué les pronostics, battant largement ses quatre rivaux.

                  Le fiasco qui accompagne la candidature de Mihoubi aura des conséquences majeures sur l’avenir politique du RND et du FLN

                  L’autre surprise de ce scrutin est le score de*l’islamiste Abdelkader Bengrina, arrivé en seconde position avec 17,38 % des suffrages. Candidat pour la troisième fois après 2004 et 2014, l’ex-chef du gouvernement Ali Benflis termine quant à lui troisième avec 10,55 % des voix. L’ancien ministre de la Culture Azzedine Mihoubi, également présenté par certains comme un éventuel favori de l’armée, subit une véritable déroute avec seulement 7,26 %.

                  Un fiasco d’autant plus spectaculaire que Mihoubi a obtenu le soutien du Rassemblement national démocratique (RND), ainsi que celui du FLN, les deux partis qui formaient l’ancienne alliance présidentielle. L’échec qui accompagne sa candidature aura des conséquences majeures sur l’avenir politique de ces deux formations.

                  Un homme du système ?
                  Né à El Bayadh, dans les Hauts Plateaux de l’Ouest, d’un mère paysanne et d’un père militaire, Tebboune commence sa carrière au sein du corps préfectoral dans les années 1970 et 1980, avant de faire son entrée au gouvernement en 1991 comme ministre délégué auprès du ministre de l’Intérieur. Ce passage ne dure que quelques mois. Il se retire ensuite de la vie politique, avant de faire son come-back dès l’élection de Bouteflika, en 1999.

                  Il est alors nommé ministre de la Communication, ministre délégué auprès du ministère de l’Intérieur, puis ministre de l’Habitat. Le zaïm lui confiera les clés du gouvernement en mai 2017, mais l’expérience tourne court. Évincé avec fracas au bout de quatre-vingts jours, il se met en retrait pendant deux ans, avant de faire son retour en septembre dernier pour se porter candidat à cette élection.

                  Accusé d’être un homme du système, un membre de la « Issaba » (bande mafieuse) dont les figures de proue sont actuellement incarcérées à la prison d’El Harrach pour des faits présumés de corruption, ou encore de faire figure de reliquat du régime du président déchu, avec lequel il a entretenu de solides liens d’amitié, Tebboune balaie ces reproches en se plaçant dans une posture victimaire. À ses détracteurs, il rappelle qu’il a été éconduit du Palais du gouvernement en août 2017 sur l’instigation des oligarques qui croupissent en prison, et que son fils Khaled est toujours en détention dans le cadre du*scandale de l’affaire Kamel Chikhi, alias El Bouchi, un importateur de viande et promoteur immobilier accusé de s’adonner au trafic de cocaïne.

                  Ses amis, anciens collègues et connaissances dressent de lui le portrait d’un personnage bien sous tous rapports, bon vivant, travailleur, de commerce agréable et d’une grande capacité d’écoute. Un éloge toutefois contredit par ses contempteurs, qui lui reprochent son goût prononcé pour les affaires et son absence d’ancrage politique.

                  Le candidat Abdelmadjid Tebboune saluant l'assistance avant de participer au premier débat présidentiel de l'histoire algérienne, vendredi 6 décembre 2019. © Fateh Guidoum/AP/SIPA
                  Déficit de légitimité
                  C’est peu dire que le nouveau président devra gouverner dans un contexte politique, social et économique des plus défavorables. Même élu au premier tour, Abdelmadjid Tebboune aura en effet à surmonter son déficit de légitimité populaire. D’autant qu’une large frange des Algériens, qui conteste le principe même de l’élection, semble bien décidée à continuer de manifester. La première de ses priorités sera donc de calmer la rue et d’instaurer le dialogue et la concertation pour convaincre ses opposants qu’il est en mesure de satisfaire aux revendications du Hirak.

                  Son deuxième challenge consistera à instaurer un consensus avec le reste de la classe politique, toutes tendances confondues. N’étant pas issu du FLN, n’ayant pas été soutenu par le RND, il peut espérer faire prévaloir sa qualité de président sans chapelle politique dans l’espoir de convaincre d’autres partis de soutenir son projet.

                  Quels seront le rôle et la place du général Gaïd Salah dans le nouvel échiquier politique ?

                  Le troisième défi, sans doute le plus complexe, réside dans sa capacité à gérer l’influence de l’armée, tout particulièrement celle de son chef, le général Ahmed Gaïd Salah,*vice-ministre de la Défense et chef d’état-major. Quels seront le rôle et la place de celui-ci dans le nouvel échiquier politique, sous la présidence Tebboune ?

                  Véritable homme fort du pouvoir, Gaïd Salah a tout fait pour imposer cette présidentielle qu’il a présentée comme l’unique solution pour sortir de la crise institutionnelle, au risque d’exacerber les tensions et d’alimenter la contestation populaire. Va-t-il se défaire progressivement de son rôle pour céder la place au nouveau chef de l’État, afin que celui-ci honore ses promesses de campagne ? Les premiers pas de Tebboune comme successeur de Bouteflika au Palais d’El Mouradia devraient donner quelques indications sur ce que sera sa présidence.
                  “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                  Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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                  • #39
                    Je ne vois pas le rapport entre la photo et la légitimité de Tebboune.
                    Et celle la


                    "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

                    Commentaire


                    • #40
                      Je ne vois pas le rapport entre la photo et la légitimité de Tebboune.
                      si c compliqué , voila une plus simple


                      "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

                      Commentaire


                      • #41
                        Je ne vois pas le rapport entre la photo et la légitimité de Tebboune.

                        - et pi ya aussi des vidéos , c plus explicite el birro


                        "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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                        • #42
                          Que pouvez-espérer d'un vieux de 75 ans ? La révolution de 1954 a été l'œuvre de jeunes d'une vingtaine d'années. Les vieux pantouflard n'apportent rien de bon aux pays.
                          "Para alcanzar lo imposible, uno debe intentar lo más absurdo".
                          Miguel de Cervantes.

                          Commentaire


                          • #43
                            xaval on est pas en guerre de quelle revolution tu parles

                            Commentaire


                            • #44
                              Il parle de la révolution en cours contre les néo-harkis et leurs relais.

                              Ceux qui ont remplacé les colons.

                              Zemfir tu as un dessin ?
                              “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                              Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

                              Commentaire


                              • #45
                                Ceux qui ont remplacé les colons.

                                pk il y 2 algeries
                                vous m'etonnez
                                quelle est la vraie alors

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