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Abed Charef : Gaid Salah, l’homme de l’année 2019

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  • #31
    Plutôt l'entraîneur de l'équipe nationale de foot que ce galonné militaire. Cirque pour cirque, autant couronné un civil.

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    • #32
      bonjour

      Le fossé s’est creusé ensuite quand le hirak, mettant en doute l’indépendance de la justice, a remis en cause le placement en détention de personnages puissants de l’ère Bouteflika (deux premiers ministres, généraux, ministres et oligarques).


      Par Abed Charaf
      Et il glisse un énorme mensonge !
      C'est vraiment pas bien, je suis gentil
      Il est bien attaché au système militaire. On comprend de mieux en mieux qu'il ne veut pas de pouvoir civil.


      Ce n'est pas une honte de la reconnaitre mais une honte de mentir.
      Dernière modification par Gandhi, 24 décembre 2019, 11h24.
      Rebbi yerrahmek ya djamel.
      "Tu es, donc je suis"
      Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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      • #33
        Envoyé par Boubibtis
        Montre-nous d'autres exemples pour d'autres élections où des bureaux de vote ont été saccagés en Kabylie!
        C'est des faits de notoriété publique pour toute personne qui vit en Algérie, largement relayés par la presse et les archives de l’époque, je n'ai pas à faire les recherches pour toi.


        2014 :

        Présidentielle en Algérie : Bouteflika a voté

        Le chef de l'État algérien devrait garder le pouvoir, alors que des opposants dénoncent un système de fraudes.
        Par Mélanie Matarese


        Publié le 17 avril 2014 à 21:08, mis à jour le 18 avril 2014 à 00:21

        En fauteuil, Abdelaziz Bouteflika s'est déplacé jeudi à Alger pour déposer son bulletin dans l'urne lors du scrutin présidentiel. ZOHRA BENSEMRA/REUTERSL'événement jeudi, jour de scrutin, n'a pas été le taux de participation (51,7 % selon le ministre de l'Intérieur) mais la sortie d'Abdelaziz Bouteflika qui s'est déplacé jusqu'au bureau de vote en fauteuil roulant. Le chef de l'État, 77 ans, candidat à sa propre succession pour un quatrième mandat, malgré un AVC en avril 2013, n'était pas apparu en public depuis presque deux ans. En costume trois-pièces et cravate bordeaux, gratifiant l'assemblée de quelques sourires et d'un unique «bonjour» avant de glisser, difficilement, son enveloppe dans l'urne, il a volé la vedette aux cinq autres candidats en course. Mais pas aux émeutiers, en particulier en Kabylie.
        À Béjaïa, des jeunes ont brûlé des pneus et coupé la route nationale dans la nuit de mercredi à jeudi. À Tizi-Ouzou, des affrontements ont éclaté entre des manifestants et les forces de l'ordre. À Bouira, des bureaux de vote ont été saccagés. En fin de journée, un bilan relevait une soixantaine de blessés. Pendant que la télévision officielle diffusait des images d'Algériens en train de courir pour aller voter, se félicitant de la «convivialité» et de la «sérénité» dans laquelle se tenait le scrutin, la police et la gendarmerie déployaient plus de 260.000 hommes dans tout le pays, appuyés par une couverture aérienne.
        Jeudi soir, Tayeb Belaïz, le ministre de l'Intérieur, a annoncé un taux de participation de 51,7 %, un score en net recul par rapport à celui de 2009. «L'abstention, qu'elle procède d'une indifférence ou d'une attitude immotivée, dénote une propension délibérée à vouloir demeurer en marge de la nation», avait pourtant prévenu le président sortant. Sa victoire, déjà acquise, doit être appuyée par un taux de participation confortable, proche des 74 % de la dernière présidentielle. «La participation est le seul véritable enjeu de cette élection, explique le politologue Mourad Goumiri. Elle est importante pour la suite des événements: un taux faible fragiliserait le clan au pouvoir alors qu'avec un taux élevé, il pourrait négocier au mieux ses intérêts dans la transition qui va se préparer.»


        Des milliers d'observateurs

        En face, le camp d'Ali Benflis, présenté comme le principal adversaire d'Abdelaziz Bouteflika, et les partisans de la Coordination nationale pour le boycott dénoncent depuis plusieurs jours «la fraude qui se prépare» et, pour la contrecarrer, ont mis en place un dispositif de surveillance dans chaque bureau de vote, il se compose de plusieurs milliers d'observateurs. Abderrezak Makri, le leader du MSP, qui pronostiquait mercredi: «Les élections seront truquées et le président sera élu pour un quatrième mandat» a déjà mis en doute les chiffres donnés par l'Intérieur.
        Depuis plusieurs jours, les anecdotes rapportant les irrégularités se multiplient: certains PV relèvent des écarts entre le fichier électoral et le nombre de votants, des témoignages rapportent des pressions exercées sur les fonctionnaires pour qu'ils se rendent aux urnes, et dans certaines régions, comme à Tamanrasset (Sud), les habitants se sont emportés contre le vote des militaires. «L'armée, comme d'autres corps de l'État - 930.000 électeurs - bénéficient d'un régime exceptionnel puisqu'ils ont le droit de voter dans quatre communes différentes, rappelle un constitutionnaliste. Celle de leur naissance, de leur dernière résidence ou de naissance de leurs ascendants, mère ou père. Si aucune commission indépendante ne contrôle, rien ne peut les empêcher d'utiliser les quatre cartes en main, surtout qu'ils sont en faveur de l'administration et de son candidat».
        Toute la journée, l'administration a répété que le scrutin se déroulait dans des conditions «transparentes». Aujourd'hui, lors de l'annonce officielle des résultats, elle trouvera à ses côtés les observateurs de l'Union africaine et de la Ligue arabe ainsi que l'ex-secrétaire d'État à la Francophonie, Yamina Benguigui, pour appuyer sa version des faits.
        Le Figaro
        2017 :

        Là, c'est les voyous du MAK, en guerre ouverte contre l'Algérie et ses institutions, qui s'en vantent à travers leur agence de propagande officielle :








        La Kabylie suit le mot d’ordre du MAK-Anavad

        Le boycott des élections législatives par la Kabylie est général. A midi, le département de Tizi-ouzou n’a pas enregistré plus de 1,6%.


        A Tuvirett, dans les zones Kabylophones, les citoyens ont jetés les urnes et les bulletins dans la rue et le taux de participation est de 0%.


        A Vgayet, il est identique à celui de Tizi-ouzou. Dans l’émigration (France et Canada) le taux de participation, Après une semaine d’élections ne dépasse pas les 05% des inscrits.


        Nous savons que le pouvoir colonial essaiera d’annoncer des résultats finaux au moins décuplés voire centuplés, mais la réalité est visible grâce aux multimédias et aux réseaux sociaux qui montrent des bureaux de vote vides ou carrément fermés.


        Le président de l’Anavad félicite toutes celles et tous ceux qui ont répondu à l’appel du devoir patriotique kabyle qui consiste à ne pas voter pour la colonisation de la Kabylie.
        En rejetant ces législatives coloniales le peuple kabyle a plébiscité son Mémorandum pour l’indépendance de la Kabylie.
        04/05/2017
        Ferhat Mehenni,
        Président de l’Anavad
        SIWEL 041217 May 17 UTC
        Ça a toujours été "Ulac l'vot, Ulac", et quand ils votent, c'est toujours le vote sectaire et régionaliste qui prime, il n'y a que les partis berbéristes qui ont droit de cité.

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        • #34
          Un homme coléreux, autoritaire, ne supportant pas la contradiction,
          De notoriété publique. Son entêtement l'a même conduit à piétiner la constitution.
          de surcroit largement impliqué dans les réseaux mafieux et les circuits de de corruption.
          Lorsqu'on les a côtoyé, protégé et festoyé pendant 15 ans avec la 3issaba dans toute sa splendeur, peu de chance de penser le contraire.
          Un général sans principes, impitoyable,
          Joker !
          une sorte de caricature du dictateur militaire, prêt à la pire des violences pour se maintenir au pouvoir.
          La violence n'est pas toujours au bout du fusil. Elle peut se manifester sous différente forme comme (entre autres) lâcher les chiens et les microbes contre de larges pans de la population.
          A cela, il faudrait ajouter qu’il aurait été inféodé aux Emirats Arabes Unis, où il aurait caché sa fortune.
          Malgré l'absence de preuve, fort probable si on se réfère aux prouesses de sa progéniture.
          Et, pour compléter le tableau, un personnage immoral, aux mœurs dépravées,
          Un dossier disciplinaire à son encontre le confirme et avoir évoqué le sujet a couté la prison au général Benhadid et à Rebrab.
          Dernière modification par jawzia, 24 décembre 2019, 12h06.

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          • #35
            L'Homme du pouvoir algérien en 2019 et des centaines d'otages.

            Le peuple algérien pacifique number one en 2019. Ah, il reste le mardi 31 décembre 2019 acte 45: NUMBER ONE +++ 2019 .

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            • #36
              @ infinite 1

              avec tous mes profonds respects, tu n'a pas encore jugé utile d'approfondir la question qu'abed charef à précisé ( il a un courage admirable devant l'adversité, restant zen malgré les insultes, et surtout ne tape pas un clou avec un marteau, il dit un mot, comme moi j'écris 5 pages )

              de tout ce qu'a écrit Abed charef, j'ai retenu ce qui m'interesse, à savoir les gens d'aujourd'hui les plus zelés du Hirak ( le hirak est un fourre tout y compris des islamistes les plus nocifs à notre société mais aussi d'admirables et courageux citoyens pour completer ma vraie pensée .....ambigue pour ceux qui ne lisent pas bien )

              donc, abed charef lance une pique bien pertinente à ceux la d'aujourd'hui qui ont lâchement participé avec l'ordre du pouvoir mafieux ( toujours le meme hein !!! ) de l'époque,
              pour résumer, el watan, liberte le soir, le rcd etc ( toute une faune qui se revendique du hirak en tentant d'oublier son harkisme vis à vis des janvieristes de 1992 )
              ceux la meme qui l'insultent aujourd'hui, juste parce qu'il est resté fidel à ses libertes de conscience ( electrion libre ) et surtout n'est en aucun cas contre la démocratie, mais contre les pressions de groupes planquées utilisant le hirak pour maintenir leur présence ou carrément gagner le bras de fer qui est en train de dérouler en haut lieu
              Dernière modification par tizi oualou, 24 décembre 2019, 12h10.

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              • #37
                Ali Bensaad en contre-echo à Abid charef

                Dernière modification par jawzia, 24 décembre 2019, 12h39.

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                • #38
                  Déjà posté ici :


                  Décès de GAID SALAH: Respect de la mort, mais Respect d’abord de la Vie !
                  http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=454004
                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                  Commentaire


                  • #39
                    L'homme de l'année c'est bien le hirak ,
                    grâce à lui tout les calculs ont été chamboulés ...........
                    L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

                    Commentaire


                    • #40
                      le hirak étudiant est homme de l'année 2019 ...grand respect a cette nouvelle génération des jeune étudiant courageux
                      dz(0000/1111)dz

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                      • #41
                        On doit remercier les vieilles peaux parce qu'elles n'ont pas massacré le peuple comme dans les années 90 avec leurs copains poilus ?

                        C'est sérieux là ?
                        Eu égard à l'histoire récente de ce pays, bien sur qu'il faut se féliciter que la ligne rouge de faire couler le sang algérien n'ait pas été franchie, heureusement aussi que ce n'est pas la bande à Said qui a eu le dernier mot, ils étaient prêts à mettre le pays à feu et à sang pour éviter leur sort présent dans les geôles d'El-Harrach.

                        Si le cas Syrien nous a montré quelque chose, c'est qu'un dirigeant peut massacrer son peuple en toute impunité, s'il a le soutien d'une superpuissance comme la Russie. Il doit juste ménager les sensibilités des opinions publiques occidentales en évitant le recours aux armes chimiques.

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                        • #42
                          Et bien sûr on est obligé de te croire sur parole.

                          Le hirak qui a subi toutes les provocations mafieuses, les emprisonnements d'innocents, des étudiants etc... qui est resté pacifique n'y est pour rien.

                          Sinon votre ancien dieu, il n'était pas avec les mafieux criminels dont tu parles ? Il n'a pas protégé un nabot mafieu qui a fini comme légume à roulettes ?

                          Et votre nouveau dieu, il va avoir la gentillesse de ne pas massacrer les algériens aussi j'espère .... :22:

                          On le remercie tout de suite ?
                          “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                          Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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                          • #43
                            Gallad
                            Eu égard à l'histoire récente de ce pays, bien sur qu'il faut se féliciter que la ligne rouge de faire couler le sang algérien n'ait pas été franchie, heureusement aussi que ce n'est pas la bande à Said qui a eu le dernier mot, ils étaient prêts à mettre le pays à feu et à sang pour éviter leur sort présent dans les geôles d'El-Harrach.
                            Toujours à défendre subtilement ce pouvoir MAFFIEUX
                            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                            Commentaire


                            • #44
                              Si Abed Charef avait un peu de dignité il aurait désigné, comme homme de l’année 2019, son ami Lakhdar Bouregaa qui croupit en prison et non son geôlier !

                              Dernière modification par shadok, 25 décembre 2019, 16h19.
                              Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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