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**katiaret** · 18 janvier 2020, 08h51

de la brouet a la cocaine rien n'a changer

**zemfir** · 18 janvier 2020, 12h57

-la profonde Algérie ,loin de la grande poste , wargla

**shadok** · 18 janvier 2020, 14h57

Ce 48e Vendredi est comme un retour aux sources du Hirak. Plein de familles sont descendus dans la rue, beaucoup d’humour dans les slogans. Une réponse sanglante aux défaitistes Kamel Daoud et Abed Charef qui ont parlé de l'échec du Hirak. A chaque fois qu’on dit que le Hirak est mort, il ne cesse de nous étonner.

Vive le peuple algérien digne et courageux !
Vive la révolution pacifique de 22 Février !

**zemfir** · 18 janvier 2020, 15h21

Plein de familles sont descendus dans la rue, beaucoup d’humour dans les slogans. Une réponse sanglante aux défaitistes Kamel Daoud et Abed Charef qui ont parlé de l'échec du Hirak.
des femmes conduisantes les manifs a Annaba demandant la liberté, il n’ont rien vu de cela nos intelos , ....

**shadok** · 18 janvier 2020, 16h08

@zemfir

des femmes conduisantes les manifs a Annaba demandant la liberté, il n’ont rien vu de cela nos intelos

Ces pseudos intellos ne descendent plus dans la rue. Ils ont perdu attache avec le Hirak populaire.

Abed Charef ne voit pas le bon Hirak qui est toujours là et qui demande comme dans les premiers jours la liberté et le changement. Ce Hirak est devenu mauvais car il a critiqué le Chef d'État-Major qui ne voulait pas écouté les revendications du peuple.

Le bon hirak, c’est celui ouvert, coloré, pluriel, divers, celui des premiers mois, qui englobait toutes les régions et toutes les catégories sociales révoltées contre l’humiliation, la hogra, l’impunité, l’incompétence, l’injustice et la corruption. Ce hirak était rempli de liberté, d’espoir de changement, de joie de vivre et d’être ensemble que même faire khawa khawa entre manifestants et policiers n’était pas ridicule.

Et puis vint le changement de l’été. Le peuple s’est retiré. Les appareils politiques ont repris la main. Ils ont imposé leur agenda. Le « mauvais hirak » s’est déployé, déclarant la guerre aux généraux promis à la poubelle, honnissant le chef de l’état-major de l’armée, dénonçant une justice, peut-être aux ordres, mais qui venait de neutraliser les barons de l’ère Bouteflika et ceux de la grande corruption. Ce hirak de la haine a tué le hirak.

Abed Charef
Quand le hirak des appareils tue le hirak populaire

**zemfir** · 18 janvier 2020, 17h06

"Abed Charef
Quand le hirak des appareils tue le hirak populaire"
-la vérité amère ; d'une femme de sidibelabas ce V48 , bien plus courageuse et consciente des enjeux qu'un plumard du 44