Classée 126e sur 166 pays dans l'Indice de la démocratie 2018 publié par le magazine britannique The Economist, l'Algérie a gagné 13 places en 2019 et est désormais classée 113e sur 167 pays dans l'Indice de la démocratie 2019 (voir image).
Pays politiquement mort en 2018 avec un président mort-vivant et un Etat pathétique du cartel mafieux ANP/FLN qui carburait au culte de la personnalité du mafieux zombie Bouteflika, l'Algérie s'apprêtait en avril 2019 à réélire le zombie Bouteflika pour un 5e mandat avec le soutien total du cartel mafieux ANP/FLN. Mais l'arrivée du Hirak en février 2019 avait permis d'éviter une véritable humiliation internationale et de réanimer le cadavre politique qu'était l'Algérie il y a moins d'un an.
Avec une note de seulement 4,01/10, l'Algérie est sortie de justesse de la catégorie des dictatures (pays ayant une note inférieure à 4/10) et se retrouve de justesse dans la catégorie des régimes hybrides (mélange de dictature et de démocratie). Concrètement, l'Algérie est classée dernière dans la catégorie des régimes hybrides.
The Economist a reconnu le rôle du Hirak dans cette "évolution fragile" en disant: "Algeria was the only country to move up a category in 2019, after the longstanding president, Abdelaziz Bouteflika, was removed from office
in April 2019 following sustained protests (known as the Hirak Movement). This has allowed Algeria to move up 13 places in the global rankings, from 126th to 113th, and to transition from an “authoritarian” to a “hybrid regime”. However, the country’s average score of 4.01 is only just above the boundary between the two categories, and the gains are fragile."
Au Maghreb, la Tunisie est 53e et le Maroc est 96e. C'est absolument humiliant pour l'Algérie qui est officiellement une "république démocratique et populaire", d'être classée derrière le Maroc qui est une "monarchie alaouite". D'ailleurs, même le Mali est classé devant l'Algérie.
Pays politiquement mort en 2018 avec un président mort-vivant et un Etat pathétique du cartel mafieux ANP/FLN qui carburait au culte de la personnalité du mafieux zombie Bouteflika, l'Algérie s'apprêtait en avril 2019 à réélire le zombie Bouteflika pour un 5e mandat avec le soutien total du cartel mafieux ANP/FLN. Mais l'arrivée du Hirak en février 2019 avait permis d'éviter une véritable humiliation internationale et de réanimer le cadavre politique qu'était l'Algérie il y a moins d'un an.
Avec une note de seulement 4,01/10, l'Algérie est sortie de justesse de la catégorie des dictatures (pays ayant une note inférieure à 4/10) et se retrouve de justesse dans la catégorie des régimes hybrides (mélange de dictature et de démocratie). Concrètement, l'Algérie est classée dernière dans la catégorie des régimes hybrides.
The Economist a reconnu le rôle du Hirak dans cette "évolution fragile" en disant: "Algeria was the only country to move up a category in 2019, after the longstanding president, Abdelaziz Bouteflika, was removed from office
in April 2019 following sustained protests (known as the Hirak Movement). This has allowed Algeria to move up 13 places in the global rankings, from 126th to 113th, and to transition from an “authoritarian” to a “hybrid regime”. However, the country’s average score of 4.01 is only just above the boundary between the two categories, and the gains are fragile."
Au Maghreb, la Tunisie est 53e et le Maroc est 96e. C'est absolument humiliant pour l'Algérie qui est officiellement une "république démocratique et populaire", d'être classée derrière le Maroc qui est une "monarchie alaouite". D'ailleurs, même le Mali est classé devant l'Algérie.

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