La SNVI va passer dans le giron de l’armée

[30pourCent]

Cette entreprise n'est pas viable. Mal gérée minée par le clientélisme ,l' abstenteisme, le manque totale de qualité en matière de production, sans innovation, nourrie au biberon du contribuable et du pétrole.



A supprimer.

[katiaret]

Cette entreprise n'est pas viable. Mal gérée minée par le clientélisme ,l' abstenteisme, le manque totale de qualité en matière de production, sans innovation, nourrie au biberon du contribuable et du pétrole.

A supprimer.

cette entreprise a former des millier d'ingénieure en construction mécanique et soudure automatique ....un centre de recherche dans le domaine métallurgie et l'essaie des matériaux RDM

[pack2000]

Pour les usine du publique l.avantage du regime militaire et non sa forme militaire.
Est da protection de l.intrusion externe..en majoritè les industries publique ont ètè infiltrè par des barrons qui passent comme ami d.un general alors que ce dernier ne connaissait personne..ces barrons infiltrent des syndicat seul pression sur les gestionnaires
Le regime militaire c.est suivre un protocole a la lettre comme ils ont etabli un juge interne l.ouvrier est tenu de suivre le protocole..

Meme el hajar sonatrach les hopiteaux je crois elle doit passè au regime militaire...
On copie le regime on ne fait pas une chose militaire..ça n.a aucun sens un militaire a sa propre fonction..il doit l.exercer..
La meilleur c.est que permettre au militaire d.entrer dans une usine comme financiers
Pour avoir un mot a dire dans la gestion..ce que refusait donatrac parceque les militaire les surveillait il ne laissè pas les barrons baronner comme ils le veulent..

Il ya un compromis fusion de capiteaux militaire civile et imposition du regime miltaire dans la gestion

[pack2000]

Dernierement en analysant un peu le marchè chinois des machine outils j.ai constatè derriere des traces de la gestion militaire..
Je ne sais pas s.ils sont des militaire habillè en civile ou des civiles producteur qui emploue les protocoles militaires ça se voit fans l.archivage des gestions de stocks des pieces..
Chez nous le privè ou comunement appelè le civile privè ou publique est brouillant..

Le privè a un avantage le patron est un juge
Chez le publique ya pas ce juge
Le militaire a introduit chez lui le tribunal militaire..

Le secteur publique est restè ouvert a l.attque des barrons civile ou autoritaire armee souvent soit un gendarme policier ou douanier car les seuls qui ont des contacts avec le civile. Dire un militaire je ne le pense pas..c.est un cas general dans tous les pays..

Voila je propose une ouverture des capiteaux du publique dite strategique a l.invesitissement du miltaire..lorsque le mikitaire est un actionnaire il aura un droit de regard sans passer par le secret..c.est claire c.est un actionnaire son mot le dit devant le conseilles des actionnaires.

Parceque le militaire a aussi ses propres besoins developper par exemple les etudes sur les conserve alimentaire vont sortir vers le civiles..ya pas que les armes a feu..

En etand un actionnaire les cgoses seront claires ni suspucion ni rien..et les barrons et le crime organisè lui sera difficile de s.attaquer au secteur publique parceque en face ya une force organisè mieux que lui..il va reculer faire roler ces piuces en essayant de trouver une nouvelle approche..ça va lui demander du temps piur connaitre le circuit de fonctionnement.
Son probleme??connaiyre d.abord l.homme clè ensuite voir comment l.approcher..
Si tu lui change a chaque le dite homme em faisant des rotation il va copketement se dèsemparer..

Donc on commence l.experience par ouverture dipu capital a tout ke secteur industriel existant..commemcez par el hadjar..donc l.ouverture du capital n.empeche pas un etranger d.etre actionnaire..ya aucun probleme ni secret ni manoeuvre ni rien patprle affaire et production

[Risk]

la question est complexe, il y a beaucoup d'élements à prendre en considération pour expliquer l'agonie des entreprises publiques algériennes qui réalisent des résultats catastrophiques depuis des décennies, ca va de air algérie à la SNVI en passant par SONELGAZ la SEAAL ou Algerie télécome

elles souffrent des mêmes symptômes, ont peut y inclure les hopitaux, la poste, les P/APC et tout ce qui porte les expressions "public/que - national/e ... etc"

- des investissements colossaux, ce qui ne témoigne nullement d'une volonté de réforme ou de redressement mais plutôt de combines pour le détournement et la distribution de la rente sous couvert de bonnes intention

- des prises de décisions qui ne sont pas dictées par l'efficacité et la rentabilité mais plutôt par des considérations irrationnelles comme la paix sociale, la corruption et la dilapidation (recrutements ne correspondant pas aux besoins, promotions, formations sur la base des interets perso ...)

- de l'incompétence et de l'ignorence à tout les niveaux, l'algérie de manière générale mène une chasse implacable de ses compétences, la plus part sont marginalisés et poussés à la démission ou à rentrer dans les rangs (c'est à dire, devenir volontairement incompétent)

les conséquences sont une perte ou une absence du savoir faire, la disparition de l'esprit d'initiative et de l'innovation

plus grave encore, il n y a aucune vision à long terme, voire, aucune vision tout court, aucune stratégie, aucune interaction avec l'environnement externe, les entreprises algériennes sont totalement coupées de la réalité

je suis tenté de croire à un sabotage à grande échelle, volontaire ou non, la plus part croient se débrouiller comme ils peuvent quitte à bafouer toutes les règles pour s'en sortir, mais en réalité, ils participent à la destruction minutieuse et programmée d'un géant qui suffoque.

[Harrachi78]

Faits

Objectivement parlant, cette entreprise n'est pas viable sur le plan économique et elle ne le sera plus jamais. Donc, à terme, son destin serait de disparaître d'une manière ou d'une autre. Or, on oublie souvent que la SNVI était un fabricant de véhicules (lourds) au sens propre, avec un taux d'intégration très élevé et y compris dans la partie moteur. Du coup, au-delà de l'aspect rentabilité économique ou des considérations sociales, sa disparition signifiera la perte irrémédiable de tout un savoir faire et d'une expérience qu'on ne pourra reconstituer de sitôt.

Du coup, en considérant que l'ANP a et aura toujours besoin de s'équiper en véhicules lourds de tous types, et si reprendre la SNVI sous sa houlette peut assurer à l'armée une autonomie d'approvisionnement dans ce domaine et que ça permette en même temps de sauver l'entreprise sur une base économique et de sauvegarder un savoir-faire très précieux (qui pourra re-servir le secteur civil plus tard) alors pourquoi pas ? Il ne faut pas verser dans un anti-militarisme primaire. Chaque option doit être examinée pour ce qu'elle est.

[Tizwel]

on oublie souvent que la SNVI était un fabricant de véhicules (lourds) au sens propre, avec un taux d'intégration très élevé et y compris dans la partie moteur.

exact mais si jeter la snvi c la protéger, padoxalement cette manoeuvre l'empêche d'envisager l'avenir avec liberté et ambition

[shadok]

pourquoi pas ? Il ne faut pas verser dans un anti-militarisme primaire. Chaque option doit être examinée pour ce qu'elle est

Pourquoi ne pas assainir ses finances et ouvrir son capital à un partenaire étranger ? Il y a plusieurs options que ce gouvernement dit de "technocrates" pouvait examiner.

Le problème dans cette affaire est que le ministre de l’industrie a choisi la solution de faciliter et sans aucun débat. Ce transfert est un avant-gout du modèle industriel que veut mettre en place ce dernier.

Le problème de la SNVI est commun à toutes les entreprises publiques. Mr Ferhat Ait Ali doit nous montrer ses compétences "d'expert" pour restructurer ces entreprises.

Céder la SNVI à l’armée ne va pas régler ses problèmes financiers et de compétitivités. Ça va juste les cacher du regard de la sphère publique. En finalité, c’est toujours l’État qui continuera de renflouer les caisses de la SNVI. Le budget de l’armée, qui échappe à tout contrôle, est alloué par l’État.

[Harrachi78]

@Tiregwa

exact mais si jeter la snvi c la protéger, padoxalement cette manoeuvre l'empêche d'envisager l'avenir avec liberté et ambition

Mon propos est pourtant simple : la SNVI ne peit être ni sauvée ni protégée. La logique économique la condamne a la disparition pure et simple, tôt ou tard. Donc, vu cette fatalité, je ne vois pas d'objection de principe a ce que l'ANP la prenne SI cela garantit trois choses :

- Sauver économiquement un outil de travail
- Sauvegarder un précieux savoir-faire
- Assurer une autonomie d'approvisionnement pour nos forces armées dans un domaine

[hmida]

Harrachi,

c'est le dernier point qui est le plus important :assurer la résilience.
Beaucoup de véhicules de l'ANP sont basé sur châssis et moteur SNVI.

Je ne pense pas que l'on soit dans un scénario à l'égyptienne.

[Harrachi78]

@Shadok

... Pourquoi ne pas assainir ses finances et ouvrir son capital à un partenaire étranger ? Il y a plusieurs options que ce gouvernement dit de "technocrates" pouvait examine ...

A voir, je n'ai d'objection de principe sur aucune option possible et cnest ca mon point de base. Je considère toutes les solutions pour ce qu'elles valent. Cela dit, je suis contre l'idée d'injecter de nouveaux fonds publiques dans aucune entreprise en difficultés. Elles ont deja englouti des milliards depuis 30 ans sans résultat, alors je ne vois pas pourquoi ca donnera autre chose aujourd'hui. Ca doit etre vendu tel quel a mon sens.

... Céder la SNVI à l’armée ne va pas régler ses problèmes financiers et de compétitivités ...

Oui et non. Si sa vocation change du tout au tout tout change : il ne s'agira plus de produire pour vendre au grand publique mais pour satisfaire les besoins bien definis d'un seul client. L'outil et l'organisation pourrint être reconfigurės en conséquence et elle pourra aussi s'ouvrir sur de nouveaux créneaux qui n'étaient pas siens avant (véhicules blindės ... etc.) Et par la a l'export car le marché militaire n'est pas regi par les mêmes que pour l'automobile generique. Je parle dans l'absolu bien entendu. Tout ca reste a examiner.

... En finalité, c’est toujours l’État qui continuera de renflouer les caisses de la SNVI. Le budget de l’armée, qui échappe à tout contrôle, est alloué par l’État ...

C'est un autre sujet. Indépendament de cette histoire de SNVI, il faut que soient mis en place des mecanismes de contrôle et de transparence dans la gestion des budgets publiques, y compris ceux de la défense. C'est tout un combat ca.

[Harrachi78]

@Hmida

Je ne saurais dire si c'est l'objectif reel recherché. Ils ne communiquent rien ces bourrus, tant au gouvernement que dans l'armée.

[Tizwel]

Harrachi

Tu pars d'un constat d'échec.

Il y avait le choix entre mettre la snvi sous la coupe de l'armée ou d'un constructeur étranger.

L'avenir dira..

[Tizwel]

Céder la SNVI à l’armée ne va pas régler ses problèmes financiers et de compétitivités .

il reste un cas probable.

En fonction du type de cession, snvi peut se retrouver côte à côte avec le constructeur allemand sous surveillance de l'armée.

[Harrachi78]

@Tiregwa

Tu pars d'un constat d'échec.

Il y avait le choix entre mettre la snvi sous la coupe de l'armée ou d'un constructeur étranger.

Pas que. Je pars du constat qu'un constructeur e la taille de la SNVI n'a aucune chance de survivre dans l'industrie automobile mondiale actuelle, indépendament du modèle economique qui présida jadis a sa creation. C'est donc avant tout par pragmatisme que je fonde mon constat d'echec, valide pour le passé et prévisible pour l'avenir.

De même, je ne crois pas qu'un quelconque repreneur etranger voudra chercher a sauver la SNVI en tant que vivier d'un certain savoir faire en construction automobile. Quiconque la reprendra dans ce cas le fera pour en faire un simple débouché de montage pour sa propre production et dans ces conditions je ne vois pas pourquoi nous devrions y injecter des fonds publiques ?