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Ooredoo: ces expatriés qui s’enrichissent sur le dos des algériens

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  • Ooredoo: ces expatriés qui s’enrichissent sur le dos des algériens

    Au moment où il menaçait de licencier 900 employés algériens, l’opérateur qatari, Ooredoo offrait des salaires gigantesques au expatriés qui travaillent en Algérie.

    Voici quelques exemples de salaires:

    Nikolai Beckers: 44.000€/ mois
    Mathias DGA commercial: 27.000€/mois
    Timos DGA technique: 23.000€/mois
    Isabelle HAJRI DGA Marketing: 20.000€/mois
    Dubois DGA ventes: 20.000€/mois
    Massimo Directeur informatique: 15.000€/mois
    C’est salaires n’incluent pas le bonus annuel qui est équivalent à 3 fois le salaire mensuel.

    En plus des salaires, les expatriés sont tous logés dans des villas situées dans des cartiers huppés de la capitale, prisent en charge par l’entreprise ( location+ mobiliers). Pour Nikolai Beckers la location de sa villa coûte à l’entreprise 12,5 millions de dinars/an, sans compter les travaux de réaménagement qu’il avait exigé ( piscine, jacuzzi, et autre commodité luxueuse ), et le mobilier importé directement de Nice (France), ce qu’a coûté à l’entreprise plus de 70 millions de dinars hors coût de location.



    Les expatriés bénéficient aussi de la prise en charge des frais de scolarité de leur enfants dans des écoles privées, et de la billetterie gratuite ainsi que leur famille pour les déplacements à l’étranger, pour Nikolai la prise en charge inclue aussi l’hébergement à l’étranger pour les de placement privé.
    Ils bénéficient aussi d’un montant mensuel qui varie en 300.000 DA et 500.000 DA en liquide pour les dépense courantes.

    A titre d’indication, le salaire le plus élevé pour un employé algérien ne dépasse pas les 600.000DA ( poste de directeur).

    Parmi les dernières dépenses extravagantes décidées par Nikolai:

    -Des montres Rolex comme cadeau de fin d’année pour les membres du conseil d’administration de l’entreprise.

    -La tenue d’une réunion du directoire dans un palace à Marrakech, qui était l’occasion pour les convives de passer 3 jours de détente avec plusieurs activités extravagantes au programme tel que cours de golf avec un Coach professionnel américain. Cette escapade à coûté à l’entreprise 110.000€. sachant que ce genre de réunion a l’habitude d’avoir lieu au niveau du siège de la direction générale de l’entreprise à Ouled Fayet.

    D’autres dépense inutiles ont été aussi décidées par l’équipe de Nikolai tel que les contrat de consulting dont voici quelque exemples:

    -Entreprise DELTA, coût du contrat 1,7 millions US Dollars, pour un travail relaisser en totalité par les employés algériens d’Ooredoo.



    -Recrutement d’une consultante tunisienne dénommée Logani pour un contrat de 6 mois dont le coût s’élève à plus de 106.000 US Dollars, le pire est que personne dans la boîte ne connaît sa mission ou l’objet de son recrutement.

    E bourse
    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

  • #2
    le fait que les responsables continuent de prendre les gens pour des Cons , m'enerve bien plus que ces quelques milliers d'euros partie dans des poches a qui ils reviennent pas . ce genre de réactions son plus politique , que réglementaire . autrement , c'est les premiers concernés par ce travail qui aurait réagit et fait appliquer les lois en vigueur . le DG est parti , un autre va venir , et rebelote , on fait comme si de rien n’était ..

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    • #3
      Au moment où il menaçait de licencier 900 employés algériens, l’opérateur qatari, Ooredoo offrait des salaires gigantesques au expatriés qui travaillent en Algérie.
      Toutes les multinationales dr part le monde font la même chose, l'Algérie découvre les travers du libéralisme sauvage.

      Reste à savoir si Ooredoo avait bénéficié ou non du financement public.

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      • #4
        ces expatriés qui s’enrichissent sur le dos des algériens

        Cet article et ce titre me parait des plus tendancieux.Car :
        • soit on accepte l'économie de marché et le capitalisme.
        • Soit on reste dans le socialisme et le communisme.

        A nous de choisir.

        Donc restons, un temps soit peu, lucides, impartiaux et objectifs :

        Nedjma est, à ce que je sache, une entreprise privée.
        - qui a son argent à elle (Ca n'a rien à voir avec l'argent public, ou tout algérien a le droit de regard)
        - ses propres bénéfices,
        et à le droit de gérer et partager son argent comme elle l'entend, dans le respect de ses règlements intérieurs.

        Même à jeter ses propres bénéfices par la fenêtre si elle veut. On en a rien à foutre.
        A moins d'une loi qui le lui interdirai dans le futur, elle a entièrement le droit de le faire.
        Ok
        ?

        Ses seules contraintes et obligations devraient être :
        - de respecter scrupuleusement les dispositions légales du pays ou elle active
        - de respecter le droit du travail.

        Et sur ces points qu'on doit la juger par les lois et le droit. Pas plus.

        Et la loi dit qu'une société privée ne peut pas mettre au chômage économique des employés si elle fait de réels bénéfices.

        Et c'est exactement là où le bas blesse. Et c'est là qu'on est en droit de la juger.

        Mais surtout pas le fait de partager ses bénéfices sous forme de ROLEX ou le fait de donner des salaires faramineux à ses dirigeants, NON.
        Dernière modification par Pomaria, 22 février 2020, 11h08.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5
          Tant que l'on aura pas les compétences et la volonté.

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          • #6
            Les expatriés sont des algériens qui partent à l'étranger. Dans ce cas là cité en haut, ce sont des immigrés occidentaux en Algérie.
            Dernière modification par panshir, 23 février 2020, 11h20.

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            • #7
              Hélas, quand nos blédards s’expatrient, ce n'est pas pour des postes de manager.

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              • #8
                S'il y a des maffieux (et c'est sûr à 80 %) parmi ces personnels étrangers, il faut les arrêter, les juger et éventuellement les incarcérer à El harrach.
                Ils doivent se plier aux règles du droit du travail algérien, notamment payer les impôts.
                Le français Carlos Gozn a été bien emprisonné au Japan ?
                « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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                • #9
                  Article bidon pour justifier le limogeage de Nikolai Beckers par Tebboune.

                  Les salaires cités dans cet article sont les mêmes que ceux attribués aux expatriés de Djezzy.

                  Le plus choquant est que Tebboune intervient pour refouler le DG d’une entreprise privée et que cette décision soit saluer par l'UGTA !

                  Un mauvais signe pour les investisseurs étrangers et de la concurrence déloyale par rapport à Djezzy dont l'État algérien est actionnaire.
                  Dernière modification par shadok, 23 février 2020, 14h58.
                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                  • #10
                    Le DG est expulsé !

                    C'est quoi la suite ? Y aura t-il puisuite judiciaire ?
                    Que dit le code du travail ?

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                    • #11
                      Même les communiste n'en feraient pas autant !

                      L'Algérie veut attirer les investisseurs, se dit un pays ouvert au libre échange et d'un autre côté s'immisce dans les affaires internes aux entreprises privées, c'est ridicule !

                      Ces salaires sont dans la norme, rien de choquant. Beaucoup d'entreprises dans des pays du tiers-monde paient encore mieux et alors !

                      Au lieu de se concentrer sur le gaspillage des fonds publics (budgets des ministères, wilayas, entreprises étatiques, etc.) qui englobent des milliards de dollars, on va chercher des problèmes à une entreprise privée !

                      Jamais j'investirai en Algérie et je le déconseillerai à quiconque !
                      ...

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                      • #12
                        Et vous savez combien un Chinois de la diaspora où un expatrié est payé en Chine ?

                        Je vous donne la solution.

                        Une majorité (51 %) des expatriés pékinois déclare un revenu annuel équivalent ou supérieur à 75 000 dollars (70 500 euros) et ils sont même 11 % à gagner plus de 200 000 dollars (188 000 euros). La moyenne mondiale s’établit respectivement à 31 % et 5 %.
                        Gallek bas salaire
                        Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                        • #13
                          Juste à désigner un manager incompétent mais compatible avec le pouvoir. Qui attribuera des postes fictifs à la familya.

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                          • #14
                            C'est une société privė ,elle a le.droit d'appliquer la grille salariale qu'elle souhaite .
                            Du moment que les salariės même Expat payent leurs cotisations sociales et leurs impôts
                            ..
                            ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                            On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                            • #15
                              C'est le syndicat qui a écrit directement a tebboune pour l'informer du projet de licenciement, sans passer par l'échelle hiérarchique ().
                              Un président qui fixe le prix de la pomme de terre est très proche des algériens,il fait office de délégué syndical aussi.

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