VOICI UNE PARTIE DES GÉNÉRAUX QUI NE VEULENT PAS ENTENDRE PARLER DE DÉMOCRATIE NI DE DROITS DE L'HOMME EN ALGÉRIE, REGARDER QUI ILS SONT VOUS COMPRENDREZ POURQUOI !
1-Le général-major Saïd Chengriha, nommé commandant des forces terrestres en 2018, poste qui lui ouvre grand les portes pour devenir le chef d’état-major de l’ANP. Il était lieutenant-colonel et chef d’état-major de la 1re division blindée installée à Bouira en 1993. Il dirigeait alors le poste avancé à Lakhdaria du Secteur opérationnel de Bouira (SOB), quand les enlèvements, la torture et les exécutions extrajudiciaires y étaient monnaie courante. Il fut nommé rapidement colonel puis général (en 1995) et muté vers la 2e région militaire, où il a occupé les postes de commandant de la 8e brigade blindée et de commandant du Secteur opérationnel de Sidi-Bel-Abbès (SOBA), avant de devenir commandant de la 3e région militaire à Béchar.
2-Le général-major Mohamed Tlemçani, a était nommé au poste de chef d’état-major des forces terrestres. Commandant du 4e RPC durant les années 1990, unité des forces spéciales qui a également commis alors des crimes de guerre et des enlèvements dans l’Algérois et dans d’autres régions, Tlemçani a aussi occupé les postes de commandant de division des forces spéciales et de chef d’état-major de la 2e région militaire.
3-Le général-major Amar Athamnia, ex-commandant du 12e RPC (le « régiment des assassins » des années 1990) et toujours commandant de la 5e région militaire.
4-Son chef d’état-major est le général-major Noureddine Hambli, qui en tant que commandant du 25e régiment de reconnaissance, avait participé à la répression sanglante des émeutes d’octobre 1988 coordonnée par le général-major Khaled Nezzar, répression qui se solda par plus de cinq cents jeunes assassinés dans la capitale et sa région.
5-Le général-major Hassan Alaïmia prend la direction de la 4e région militaire, parachutiste, ex-commandant du 18e RPC installé dans les années 1990 à Boufarik (Blida) et d’autres régions de l’Algérois, là où ont eu lieu les pires exactions des forces spéciales de l’armée et des « groupes islamistes de l’armée » contrôlés par le DRS. Il a aussi occupé le poste de directeur de l’école d’application des forces spéciales de Biskra.
Le sort du pays est aux mains de « clans » mafieux et criminel à géométrie variable (dont aucun n’est évidemment meilleur que l’autre), composés aujourd’hui de vieux « décideurs », septuagénaires et sexagénaires. Responsables de crimes contre l’humanité jamais reconnus par la communauté internationale, ils sont avant tout soucieux de préserver leurs privilèges et ceux de leurs enfants. Et pour cela acharnés à organiser la gestion de la confusion, moyen usuel d’induire en erreur l’opinion et de masquer les enjeux réels des arbitrages préalables à la fabrication de la nouvelle devanture du régime post-Bouteflika.
Mais le peuple algérien possède toujours des ressources, héritées de la longue histoire de ses luttes d’émancipation, que ne peuvent détruire les décideurs criminels et corrompus d'aujourd’hui.
1-Le général-major Saïd Chengriha, nommé commandant des forces terrestres en 2018, poste qui lui ouvre grand les portes pour devenir le chef d’état-major de l’ANP. Il était lieutenant-colonel et chef d’état-major de la 1re division blindée installée à Bouira en 1993. Il dirigeait alors le poste avancé à Lakhdaria du Secteur opérationnel de Bouira (SOB), quand les enlèvements, la torture et les exécutions extrajudiciaires y étaient monnaie courante. Il fut nommé rapidement colonel puis général (en 1995) et muté vers la 2e région militaire, où il a occupé les postes de commandant de la 8e brigade blindée et de commandant du Secteur opérationnel de Sidi-Bel-Abbès (SOBA), avant de devenir commandant de la 3e région militaire à Béchar.
2-Le général-major Mohamed Tlemçani, a était nommé au poste de chef d’état-major des forces terrestres. Commandant du 4e RPC durant les années 1990, unité des forces spéciales qui a également commis alors des crimes de guerre et des enlèvements dans l’Algérois et dans d’autres régions, Tlemçani a aussi occupé les postes de commandant de division des forces spéciales et de chef d’état-major de la 2e région militaire.
3-Le général-major Amar Athamnia, ex-commandant du 12e RPC (le « régiment des assassins » des années 1990) et toujours commandant de la 5e région militaire.
4-Son chef d’état-major est le général-major Noureddine Hambli, qui en tant que commandant du 25e régiment de reconnaissance, avait participé à la répression sanglante des émeutes d’octobre 1988 coordonnée par le général-major Khaled Nezzar, répression qui se solda par plus de cinq cents jeunes assassinés dans la capitale et sa région.
5-Le général-major Hassan Alaïmia prend la direction de la 4e région militaire, parachutiste, ex-commandant du 18e RPC installé dans les années 1990 à Boufarik (Blida) et d’autres régions de l’Algérois, là où ont eu lieu les pires exactions des forces spéciales de l’armée et des « groupes islamistes de l’armée » contrôlés par le DRS. Il a aussi occupé le poste de directeur de l’école d’application des forces spéciales de Biskra.
Le sort du pays est aux mains de « clans » mafieux et criminel à géométrie variable (dont aucun n’est évidemment meilleur que l’autre), composés aujourd’hui de vieux « décideurs », septuagénaires et sexagénaires. Responsables de crimes contre l’humanité jamais reconnus par la communauté internationale, ils sont avant tout soucieux de préserver leurs privilèges et ceux de leurs enfants. Et pour cela acharnés à organiser la gestion de la confusion, moyen usuel d’induire en erreur l’opinion et de masquer les enjeux réels des arbitrages préalables à la fabrication de la nouvelle devanture du régime post-Bouteflika.
Mais le peuple algérien possède toujours des ressources, héritées de la longue histoire de ses luttes d’émancipation, que ne peuvent détruire les décideurs criminels et corrompus d'aujourd’hui.
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