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Bouazza-Lachkham, quel sens cache la mise sous écrou de l’héritage de Gaïd Salah ?

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  • #16
    Petit rappel à ce que réserve les puissants à notre pays par votre grave compromission et erreurs stratégiques croyant aux chants des sirènes des yankees...

    shame on you... comme le disent vos faux amis, qui ricanent à voir comment un ptit satellite va être projeté hors orbite, s'écraser ou disparaître dans le vide, le business continue and the show must go on... honte à vous comme le disent vos meilleurs et plus utiles ennemis qui veulent sauvegarder les restes de l'empire... позор тебе comme le disent ceux qui vous méprisent car vous êtes tellement petits et grotesques à leurs yeux, mais qui vous fourguent leur armement... 对你感到羞耻 comme le disent ceux qui vous font les yeux doux pour mieux vous saigner et vous fourguer leur camelote, demandez aux iraniens ce qu'ils en pensent... בושה בך vous disent les banu kalboun que vous osez nous afficher comme des puissances régionales...

    bahdeltouna yal brahech comme nous vous le disons...

    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...42#post6534742

    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...26#post6534526
    Dernière modification par ott, 18 avril 2020, 09h59.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #17
      Une analyse de Kadi Ihsan l homme qui vient de subir son Waterloo

      J ai passé des années ici dans ce forum á parler de la Malhonneteté intellectuelle de ce journaliste Appellé Kadi Ihsan . Cet homme etait protégé par les géneraux Mohamed Touati et Mohamed Mediéne ( le general Toufik ) les critiques de Ihsan sont souvent selectives

      Cevital , Djezzy , Ooredoo , Merinal sont les entreprises que Kadi Ihsan Ne critiquent jamais . Car le profit économique l exige . ( les contrats de publicité )
      Dernière modification par khayamm, 18 avril 2020, 07h50.

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      • #18
        Cevital , Djezzy , Ooredoo , Merinal sont les entreprises que Kadi Ihsan Ne critiquent jamais . Car le profit économique l exige . ( les contrats de publicité )
        khayamm,

        Kadi ihsen est de la maison. Lol

        Dis moi s'il existe un journaliste capable de mordre la main qui le nourrit ?

        N'oublie pas de chercher chez ceux de ennahar, chourouk, bilad.

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        • #19
          Salam Tawenza

          Kadi Ihsan est un journaliste de la maison . Alors pourquoi on va lire ou croire á ses analyses ??? . Moi personnellement .Depuis Juillet 2010 je ne lis pas le journal Echourouk , quant au journal Ennahar je ne l ai jamais lu . car je sais que se sont deux journaux de propagande et d abrutisation .

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          • #20
            Khayamm,

            Koul khanfous 3and oumou ghzel.
            Koul journaliste 3znd chaabou héros wela héraut.

            Les journaliste ne nous informent pas, ils nous disent ce qu'ils veulent, ce qu'ils doivent nous dire.

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            • #21
              Les journaliste ne nous informent pas, ils nous disent ce qu'ils veulent, ce qu'ils doivent nous dire.
              Et Moi je ne suis pas censé empoisonné mon esprit avec les racontars de ces mercenaires de la plume .

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              • #22
                Khayamm,

                Tu sais, c la même chose chez les danish

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                • #23
                  L'analyse de kadi Ihsene est à mettre en perspective avec ce qu'il écrivait le 26 janvier 2020 (dont voici un extrait)

                  Un appareil sécuritaire autonome de Tebboune

                  Le tableau est simple. Le dispositif sécuritaire mis en place et consolidé par Ahmed Gaïd Salah continue de décider en mode autonome, sur l’élan inertiel de l’empreinte laissée par le chef d’Etat-major, disparu le 23 décembre dernier. Conséquence, tout l’appareil directement en contact avec le mouvement populaire n’obéit quasi exclusivement qu’aux injonctions de la police politique: les services de sécurité de l’armée.

                  Chefs de sûreté de wilayas, commandants régionaux de la gendarmerie, juges et procureurs sécuritaires, directeurs de la réglementation dans les wilayas, tout ce qui peut par son autorité formelle infléchir dans un sens de détente la relation du pouvoir “ nouveau” avec le Hirak, subit une pression unilatérale des services de sécurité de l’armée pour poursuivre la feuille de route laissée par le défunt homme fort de l’armée. Celle qui prévoit de disperser le Hirak après le comblement du vide institutionnel à El Mouradia le 12 décembre dernier.

                  Les remontées d’information se multiplient à Alger et dans les wilayas, au sujet des interventions pressantes des éléments de la sécurité de l’armée pour renforcer la pression sur les activistes du Hirak, réduire les espaces, poursuivre les arrestations, empêcher les libérations. Leur influence bloque les nominations non adoubées à la tête des médias publics, provoque quotidiennement des crises à huis clos avec des membres du gouvernement, et commence à rendre le climat délétère dans l’entourage de Abdelmadjid Tebboune, très loin d’incarner l’esquisse d’un quart de président, par allusion “aux trois quarts de président” déploré en décembre 1999 par Abdelaziz Bouteflika lorsqu’il était empêché de former “son” premier gouvernement comme il l’entendait.

                  Changer les sécuritaires ou les coiffer ?

                  Le recoupement de ces informations ne permet pas d’épiloguer sur la question de savoir si cette feuille de route dure anti-hirak est celle des sécuritaires nommés par Gaïd Salah ou si elle est partagée par son successeur à la tête de l’Etat Major, le général-major Saïd Chengriha. Deux dirigeants des services paraissent entretenir avec un zèle remarqué la ligne hostile au dialogue et au règlement politique : le général-major Mohamed Kaidi, qui dirige la sécurité centrale de l’armée depuis avril 2019 succédant à Bachir Tertag, et le général Wassini Bouazza, en charge de la direction de la sécurité intérieure (contre espionnage), en réalité la police politique dans son acception la plus classique dans un pays comme l’Algérie.
                  Dernière modification par jawzia, 18 avril 2020, 11h08.

                  Commentaire


                  • #24
                    Ce qui amène à penser que la récente vague d'arrestation des militants du Hirak était sous l'impulsion de cet appareil sécuritaire (qui vient d'être débranché), et dont la finalité était de mettre en difficulté le clan Tebboune-Chengriha.

                    Le maintien ou l'éjection de Zeghmati, viendra dans un avenir proche, confirmer ou infirmer, cette thèse !

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                    • #25
                      La nature profonde du système incarné par ses hommes et ses pratiques n'ont pas changé d'un iota... Il faudra une longue période de reconstruction sur des bases solides pour enfin se débarrasser de ces pratiques claniques et mafieuses intra-muros du système qui nous joue un Dalas à la Texan, le Vaudeville est le meilleur ennemis qu'il faut continuer à agiter pour mieux endormir les algériens... quant aux feuilletons égyptiens ou turcs, ils tentent de berner les sentiments identitaires et sociétaux pour faire "authentique"...
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #26
                        L'article du 26 janvier dans son intégralité pour une meilleure lecture

                        Tebboune paralysé devant les héritiers sécuritaires de Gaïd Salah
                        El Kadi Ihsane


                        Tebboune politiquement paralysé face aux successeurs de Gaïd Salah? (DR)
                        La semaine 49 a confirmé la solide résistance du mouvement populaire en dépit d’un reflux dans certaines wilayas du pays. Nouveau moteur de la mobilisation, les promesses non tenues de Tebboune au cœur des supputations.

                        Le spectre de Ahmed Gaïd Salah continue-t-il de diriger l’Algérie un mois après la brutale disparition du général de corps d’armée qui s’était emparé du pouvoir après la chute de Bouteflika ? Tout semble l’indiquer à la fin d’une 5e semaine d’exercice de la présidence de la république par Abdelmadjid Tebboune sans la moindre inflexion de la pratique “politique” de l’ère de feu le puissant chef d’Etat- major de l’armée.

                        Prolongation du mandat de dépôt de Karim Tabbou, refus de l’attribution d’une salle publique pour la tenue des assises nationales du PAD (pacte de l’alternative démocratique), poursuite des interpellations et des présentations devant le procureur des citoyens qui manifestent, intimidation et convocation judiciaires de journalistes, renforcement de la répression du Hirak à l’intérieur du pays et réduction des espaces pour manifester dans la capitale : l’après Gaïd Salah ressemble comme deux gouttes d’eau à l’avant son décès.

                        Pourtant Abdelmadjid Tebboune ne cesse de répéter à ses hôtes d’El Mouradia, médias compris, que sa volonté politique est de satisfaire les revendications du Hirak qui ne l’ont pas encore été. Le compte est loin. L’incapacité du nouveau locataire de la présidence à traduire en faits concrets l’ombre d’un prélude à ses promesses d’ouverture vers le mouvement populaire suscite de grandes inquiétudes. Tout le monde sait qu’il a été désigné par l’Etat-major pour occuper cette fonction. Mais la tradition du système veut que le Président de la république, dans l’intérêt même de ceux qui l’auront coopté, ne soit pas aussi grossièrement démenti quotidiennement par des décisions à l’opposé de ses déclarations d’intention.

                        Abdelmadjid Tebboune est politiquement paralysé. Il met dans l’embarras ceux qui, parfois de bonne foi, ont voulu lui donner le bénéfice du doute, comme Sofiane Djillali. Il multiplie les erreurs de communication, la dernière étant celle du plaidoyer en faveur du gaz de schiste, et devient désormais un moteur de la mobilisation du mouvement populaire comme lors de ce 49ème vendredi. Peut-il encore se rebeller contre cette incapacité que lui inflige l’autorité informelle qui tient le pouvoir dans le pays depuis le début du mouvement populaire ?

                        Un appareil sécuritaire autonome de Tebboune

                        Le tableau est simple. Le dispositif sécuritaire mis en place et consolidé par Ahmed Gaïd Salah continue de décider en mode autonome, sur l’élan inertiel de l’empreinte laissée par le chef d’Etat-major, disparu le 23 décembre dernier. Conséquence, tout l’appareil directement en contact avec le mouvement populaire n’obéit quasi exclusivement qu’aux injonctions de la police politique: les services de sécurité de l’armée.

                        Chefs de sûreté de wilayas, commandants régionaux de la gendarmerie, juges et procureurs sécuritaires, directeurs de la réglementation dans les wilayas, tout ce qui peut par son autorité formelle infléchir dans un sens de détente la relation du pouvoir “ nouveau” avec le Hirak, subit une pression unilatérale des services de sécurité de l’armée pour poursuivre la feuille de route laissée par le défunt homme fort de l’armée. Celle qui prévoit de disperser le Hirak après le comblement du vide institutionnel à El Mouradia le 12 décembre dernier.

                        Les remontées d’information se multiplient à Alger et dans les wilayas, au sujet des interventions pressantes des éléments de la sécurité de l’armée pour renforcer la pression sur les activistes du Hirak, réduire les espaces, poursuivre les arrestations, empêcher les libérations. Leur influence bloque les nominations non adoubées à la tête des médias publics, provoque quotidiennement des crises à huis clos avec des membres du gouvernement, et commence à rendre le climat délétère dans l’entourage de Abdelmadjid Tebboune, très loin d’incarner l’esquisse d’un quart de président, par allusion “aux trois quarts de président” déploré en décembre 1999 par Abdelaziz Bouteflika lorsqu’il était empêché de former “son” premier gouvernement comme il l’entendait.

                        Changer les sécuritaires ou les coiffer ?

                        Le recoupement de ces informations ne permet pas d’épiloguer sur la question de savoir si cette feuille de route dure anti-hirak est celle des sécuritaires nommés par Gaïd Salah ou si elle est partagée par son successeur à la tête de l’Etat Major, le général-major Saïd Chengriha. Deux dirigeants des services paraissent entretenir avec un zèle remarqué la ligne hostile au dialogue et au règlement politique : le général-major Mohamed Kaidi, qui dirige la sécurité centrale de l’armée depuis avril 2019 succédant à Bachir Tertag, et le général Wassini Bouazza, en charge de la direction de la sécurité intérieure (contre espionnage), en réalité la police politique dans son acception la plus classique dans un pays comme l’Algérie.

                        Des observateurs se posent également la question de savoir si cet entêtement à saborder les velléités de dialogue et d’ouverture qu’exprime, certes timidement, Abdelmadjid Tebboune, en poussant l’appareil sécuritaire, judiciaire, et administratif en sens inverse, n’est pas également lié à l’épisode confus sur le choix du candidat de l’armée en plein “campagne” électorale pour les présidentielles du 12 décembre. Tout le monde se souvient qu’une option Azzedine Mihoubi, candidat préféré du système, a émergé la deuxième moitié du mois de novembre dernier, soutenue par des centres occultes dans l’armée.

                        Mohamed Kaidi et Wassini Bouazza ont été pointés du regard au moment des comptes. Ils pourraient bien ne pas avoir partagé avec leur chef Ahmed Gaïd Salah, le choix de son ami personnel Abdelmadjid Tebboune. La finalité est cependant la même: Les héritiers sécuritaires de l’ancien chef d’Etat-major ne rament pas dans la même direction que le palais d’El Mouradia.

                        Dans une telle situation Abdelmadjid Tebboune a deux options. Opérer des changements à la tête de l’ANP dans un délai rapide afin de rétablir une correspondance entre son discours politique d’apaisement et les mesures sécuritaires et pratiques sur le terrain. Il est peu probable qu’il puisse le faire dans la situation de grand isolement dans laquelle il se trouve.

                        La seconde option qui s’ouvre à lui est de construire auprès de lui à la présidence, un centre de coordination sécuritaire qui coiffe les services aujourd’hui récupérés par l’Etat-major de l’armée sous l’impulsion de Ahmed Gaïd Salah. Chadli Bendjedid avec Larbi Belkheir, Lamine Zeroual avec Mohamed Betchine, et les frères Bouteflika de la fin avec Bachir Tertag, ont tous fait la même chose. Il faudrait pour cela disposer, d’une façon ou d’une autre, d’un minimum d’autorité sur l’armée. Ce dont Abdelmadjid Tebboune paraît totalement dépourvu. Sa paralysie politique risque bien de s’éterniser. Ses vœux de “réaliser” les revendications non encore concrétisées du Hirak ressemblent de plus en plus à une “mauvaise blague” qui, déjà, irritent des Algériens qui avaient levé le pied ces dernières semaines. “Je suis revenu dans le Hirak cette semaine à cause de Tebboune” a-t-on pu souvent entendre vendredi dernier.

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                        • #27
                          El Kadi Ihsan qui a une analyse implacable de la fausse solution Tebboune va être approché pour tenter de sauver les meubles... Il est suffisamment lucide pour ne plus croire aux feuilleton des tagarins... sauf que... oeilfermé...

                          Le 27/12/2017, minute 46'25", j'avais suggéré à Drarni et El Kadi Ihsan la nécessité de sortir des scénarios du pouvoir...

                          Othmane BENZAGHOU

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                          • #28
                            Pour venir à bout de la "bande politique et économique" l'appareil sécuritaire de Gaid Salah reposait sur 4 piliers :

                            1 - Un gars de la DAT (Bouaza) et sa soldatesque
                            2 - Un gars des systèmes informatiques (Kaidi)
                            3 - Un gars des transmissions (écoutes)
                            4 - L'élément surprise et loyauté

                            Cet appareil n'a plus lieu d'être.. en 2020 !
                            Retour aux sources : Un renseignement algérien discret !

                            Leçon à tirer de l'affaire Bouaza :

                            - On ne place jamais un président sous écoute
                            - Nul n'est indispensable à l'ANP

                            Commentaire


                            • #29
                              Il est question d'un système tentaculaire. A peine un clan est éjecté du pouvoir, on lui découvre un remplaçant qui s'avérera pire encore. En plus de la force, ce système est doté d'une intelligence rare (mais pas exploitée à bon escient au sens le plus commun pour les citoyens). Il s'appuye entre entres sur deux stratégies redoutables : la diversification et la substitution des clans. C'est pourquoi nous n'avons jamais constaté d'évolution salutaire pour notre pays depuis 1962 voire bien avant. Tout au plus, on ne voit que des changements dans la continuité. On continue donc à se développer dans le sous-développement.
                              Les tentatives (y compris Hirak-19) menées à ce jour en vue de changer le système ont échoué. Mais à vrai dire, il ne s'agit pas d'échecs définitifs mais momentanés car le véritable combat est un long processus qui requiert de la patience, de la persévérance et beaucoup d'ntelligence. Ceux sont notamment ces qualités qui doivent être réunies pour pouvoir affronter un système aussi profond et criminel que l'on connaît.
                              La lutte pacifique doit impérativement se poursuivre mais il faut se rendre à l'évidence que ça va durer car ni les tenants actuels ne vont faire de cadeaux ni leurs employeurs externes ne vont laisser notre pays se libérer.

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                              • #30
                                un démenti du MDN.

                                ma fhamna wallou
                                Dernière modification par bouberita, 18 avril 2020, 12h12.
                                وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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