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QUESTION : Comment fonctionne cette JUSTICE DU TELEPHONE ?
QUESTION : Comment fonctionne cette JUSTICE DU TELEPHONE ?
Résumé de l'intervention de Abdou SEMMAR
Après la chute du règne Bouteflika et de son frère par le HIRAK du 22 février, GAID SALAH et les généraux autour de lui, se sont trouvés incapables de récréer une autre facade civile qui soit accepté par le peuple. Alors ils ont voulu utiliser la justice pour imposer au peuple leur état de fait et la dictature.
Sa stratégie a été de légaliser la répression pour éviter des réactions des instances internationales et éviter ainsi de se retrouver isolés, taxés de dictateurs sanguinaires et poursuivis partout comme l'ont été les Généraux des années 90s.
Mais pour atteindre cet objectif, l'état Major a d'abord chercher à asservir et à soumettre tout l'appareil judiciaire, en plaçant ses hommes de main, et légiférer des lois pour les utiliser comme instrument de répression, de contrôle et de lutte contre le HIRAK et de neutralisation de tout autre clan adverse ennemi de leur clan.
Pour ce faire, et sur les conseils du Général WASSINI, le chef d'état major GAID SALAH a installé un homme à tout à faire, le magistrat ZEGHMATI comme Garde des Sceaux , ainsi que toute une équipe de magistrats triés sur le volet, pour prendre le contrôle totale du fonctionnement de la Justice, contrôler les magistrats, neutraliser et éliminer tous ceux qui sont favorables au changement démocratique,
Les membres de cette équipe ont été formés et formatés dans les rouages du système, où ils ont fait leur preuves de docilité, de soumission, et de leur capacité à exécuter les ordres avec zèle pour plaire à leur supérieurs.
Il s'agit :
Ainsi que des procureurs généraux cours de justice comme Sid Ahmed Merrad Procureur général de la cour de justice d'Alger.
Avec cette nouvelle équipe, la tache est devenue simple : une fois qu'ils décident d'éliminer un activiste, un journaliste ou un opposant, les membres de cette équipe se soumettent à une mécanique capable de préfabriquer des verdictes, harceler, convoquer, juger des militants du HIRAK ou des opposants des journalistes, et incarcerer sur un simple coup de téléphone des citoyens pacifiques qui ne veulent pas de cet état militaire et mafieux.
Comment fonctionne toute cette équipe ? Ecoutez les propos d'Abdou SEMMAR à la minute 28:34
https://www.youtube.com/watch?v=SxiF...outu.be&t=1714
Ainsi, après la gangrène de la Corruption parmi les magistrats initiée pendant l'aire Bouteflika ...
voilà que des Généraux passent à l'étape de dévitalisation, de manipulation, de désintégration de toute la Justice algérienne pour l'utiliser comme premier instrument de répression et d'élimination de tout adversaire à leur règne dictatorial.
BYE BYE LA JUSTICE DANS CE PAYS !
Ecoutez à la minute 28:34
Résumé de l'intervention de Abdou SEMMAR
Après la chute du règne Bouteflika et de son frère par le HIRAK du 22 février, GAID SALAH et les généraux autour de lui, se sont trouvés incapables de récréer une autre facade civile qui soit accepté par le peuple. Alors ils ont voulu utiliser la justice pour imposer au peuple leur état de fait et la dictature.
Sa stratégie a été de légaliser la répression pour éviter des réactions des instances internationales et éviter ainsi de se retrouver isolés, taxés de dictateurs sanguinaires et poursuivis partout comme l'ont été les Généraux des années 90s.
Mais pour atteindre cet objectif, l'état Major a d'abord chercher à asservir et à soumettre tout l'appareil judiciaire, en plaçant ses hommes de main, et légiférer des lois pour les utiliser comme instrument de répression, de contrôle et de lutte contre le HIRAK et de neutralisation de tout autre clan adverse ennemi de leur clan.
Pour ce faire, et sur les conseils du Général WASSINI, le chef d'état major GAID SALAH a installé un homme à tout à faire, le magistrat ZEGHMATI comme Garde des Sceaux , ainsi que toute une équipe de magistrats triés sur le volet, pour prendre le contrôle totale du fonctionnement de la Justice, contrôler les magistrats, neutraliser et éliminer tous ceux qui sont favorables au changement démocratique,
Les membres de cette équipe ont été formés et formatés dans les rouages du système, où ils ont fait leur preuves de docilité, de soumission, et de leur capacité à exécuter les ordres avec zèle pour plaire à leur supérieurs.
Il s'agit :
- Abderrachid TABI - Président de la cour suprème
- Abderrahim Madjid - Procureur de général auprès de la cour suprême
- Abdelmadjid BITAL - Directeur général des ressources humaines du ministère de la justice
- Abdelkader HAMDAN - Inspecteur général du M.J
- Abdelhafid DJAARIR - Directeur Général des affaires judiciaires et juridiques du MJ
- Djamel GASMI - Président de la cour d'Alger
Ainsi que des procureurs généraux cours de justice comme Sid Ahmed Merrad Procureur général de la cour de justice d'Alger.
Avec cette nouvelle équipe, la tache est devenue simple : une fois qu'ils décident d'éliminer un activiste, un journaliste ou un opposant, les membres de cette équipe se soumettent à une mécanique capable de préfabriquer des verdictes, harceler, convoquer, juger des militants du HIRAK ou des opposants des journalistes, et incarcerer sur un simple coup de téléphone des citoyens pacifiques qui ne veulent pas de cet état militaire et mafieux.
Comment fonctionne toute cette équipe ? Ecoutez les propos d'Abdou SEMMAR à la minute 28:34
https://www.youtube.com/watch?v=SxiF...outu.be&t=1714
Ainsi, après la gangrène de la Corruption parmi les magistrats initiée pendant l'aire Bouteflika ...
voilà que des Généraux passent à l'étape de dévitalisation, de manipulation, de désintégration de toute la Justice algérienne pour l'utiliser comme premier instrument de répression et d'élimination de tout adversaire à leur règne dictatorial.
BYE BYE LA JUSTICE DANS CE PAYS !
Ecoutez à la minute 28:34
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