Les procès en appel d’Abdelouaheb Fersaoui et ibrahim Daouadji tardent n’ont toujours pas commencé

[Absent]

Encore une fois..
Et pour la dernière fois..
Il n'y a pas de fumée sans feu..
Les méthodes d'action et les moyens de nuisance ne manquent pas lorsqu'il s'agit d'enjeux majeurs.. lol

Selon moi.. Fersaoui s'est fait manipulé/berné comme un bleu par ses chefs !
Il a cru servir une cause.. mais en fait , on s'en est servi comme d'un citron !!

La question que je pose :

Pourquoi les yankees ont-il détruit le vrai Hirak ?
Quel intérêts avaient-ils à tuer la vraie contestation ?

ps : je n'attends pas de réponses

[ott]

Calomniez calomniez, il en restera toujours quelque chose...

Les yankees sont dans leur logique, celle de profiter des faiblesses d'un pays qui se livre aux puissances mondiales, pour maintenir un système anachronique dont la dégénérescence pu à des kilomètres. Faut il blâmer des puissances mondiales qui profitent des faiblesses ou ceux qui les maintiennent en tournant le dos à son peuple... et qui nous parlent de deals conclus au moment de la loi sur les hydrocarbures dans au pire moment de politique interne, question d'obtenir le soutien des yankees à leur forfaitures... et qui vont jusqu'à accepter d'être des sous-traitants en Libye ....

Le monde à l'envers dans l'esprit de ceux qui veulent une Algérie à leur image...

[Absent]

Comme je disais, l’intérêt des yankees reste vague.. pour ne pas dire évident !
L'affaire se jouait sur deux fronts.. américain et français !
Et bien que que je le déplore, nous n'avons pas manqué d'imagination pour tirer notre épingle du jeu..
Aussitôt les élections fixées au 12/12.. Fersaoui a été largué/neutralisé comme un malpropre !

Souhaitons lui un prompt rétablissement cela dit..
Un homme aussi bien formé que lui s'en retournera vite..
Le meilleur reste à venir selon " Le Monde " d'aujourd'hui :





Mabrouk 3lih la chefferie du Hirak !!

On aurait tout vu ces 15 derniers mois

Mais Dieu Merci.. notre peuple est savant !

[shadok]

Toute la machination de diabolisation contre les militants du Hirak s'écroule

Fersaoui est une personne respectable qui a œuvré dès le début du Hirak a trouvé des solutions de sortie de crise avec les différentes initiatives de la société civile

S’il y avait des charges de complot contre la sécurité de l’État, Fersaoui ne serait pas relâché

Pour le drapeau berbère, il était présent dans les manifestations dès le premier jour du Hirak, le 22 février

[sekrouf]

Félicitations aux détenus libérés

Le pouvoir en place prouve encore une fois qu'il contrôle la situation. Il détient quand il veut et il libère quand il veut.

[Saladin7757]

Une libération en suivra une autre ! inchallah !

[OKHAYYAM]

je vois qu'il y en a qui en ragent de sa libération

maintenant, on emprisonne les agents de la CIA à el Harrach puis libérés comme ça dans la nature… danger public yaw, motif à envoyer zeghmati en prison

on a pas viré l'ambassadeur des US à l'occasion?


les venimeux sont de sortie


j'adore les drapeaux amazighs, j'en ai encore des cartons dans mon garage … à distribuer au retour du hirak

[Absent]

Je n'invente rien.. tout est documenté !

Ahmed Bensaâda a publié un livre sur le rôle que jouerait (ou pas) la CIA dans les révoltes arabes..

Il est docteur en physique, diplômé de l’université de Montréal, auteur, essayiste, analyste politique et enseignant.

De nombreux articles et interviews lui ont été dédiés dans l'Expression, Algerie Focus, El Watan, Liberté.. et j'en passe

Quelques extraits de presse :

En Algérie, certaines ONG présentes en 2011 dans le CNCD (Coordination nationale pour le changement et la démocratie) et/ou dans le Hirak actuel ont été financées par la NED. On peut citer par exemple la Laddh (Ligue algérienne de défense des droits de l’homme), le RAJ (Rassemblement Actions Jeunesse), le Cfda (Collectif des familles de disparus en Algérie), « SOS Disparus », Djazaïrouna, Somoud, etc.

L'expression (2020)

Selon lui, il y a trois ou quatre membres de la CNCD qui auraient reçu des aides financières de la part d’organismes américains. Il a cité la Laddh, qui travaille avec la NED, et le Snapap, qui est en relation avec Solidarity Center.

Liberté (2012)

Auteur d’Arabesques, Ahmed Bensaada retrouve dans les manifestations qui ébranlent l’Algérie des similitudes troublantes. Elles lui rappellent ces techniques utilisées lors du « Printemps arabes » et qui étaient héritées des révolutions colorées menées dans les pays de l’Est. Poursuivant ses recherches, Ahmed Bensaada découvre à nouveau des associations généreusement financées par des organismes US chargés « d’exporter la démocratie ». Il gratte encore pour retrouver des cyberactivistes qui s’étaient illustrés lors de précédentes manifestations, avec les remerciements de Washington. Un traquenard, la révolte algérienne ? Certainement pas, mais l’auteur en appelle à la vigilance afin que les manifestations servent l’intérêt du peuple, et pas ceux de puissances étrangères.

La contestation du gouvernement en place a été organisée par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), regroupant divers partis politiques, ONG et syndicats. Parmi les signataires de la première mouture du CNCD (elle s’est divisée par la suite), on trouve la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP), le parti « Rassemblement pour la culture et la démocratie » (RCD), le parti « Front des forces socialistes » (FFS), Fodil Boumala, l’association « SOS Disparus » et le Rassemblement Actions Jeunesse (RAJ)

investig'action (2019)

[Absent]

Un autre source..

Intervenant sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, M. Bensaada a évoqué le Hirak, estimant que celui-ci fait l'objet d'une "manipulation" d'officines, comme c'était le cas pour nombre de pays arabes.

Il a tenu à souligner, dans ce sens, que "le fait de parler de manipulation ne veut pas dire que je suis contre le Hirak", en relevant certaines similitudes entre le Hirak du 22 février avec les révoltes en Egypte et la Tunisie en 2011.

Pour le chercheur, ces méthodes sont enseignées par des organismes étrangers spécialisés, et ce qui se passe en Algérie "n'est pas nouveau".

L'universitaire a expliqué que des officines basées aux Etats-Unis et en Europe "financent et forment différents organismes et associations à travers, notamment, des cyberactivistes pour déclencher des révoltes populaires dans ces pays".

A travers les réseaux sociaux, ces derniers mettent en œuvre leur stratégie, en planifiant les manifestations, en donnant des directives concernant les lieux de rassemblement, les idées sur les slogans, par exemple.

M. Bensaada a tenu à souligner également que les revendications du Hirak sont "justes", et ce mouvement populaire est "bénéfique" pour le pays.

"Si nous suivons ce que nous dictent les agendas étrangers nous irons directement droit au mur", a-t-il mis en garde, en rappelant que le député européen, Raphaël Glucksmann, qui est à l'origine de la Résolution du Parlement européen sur la situation en Algérie, fait partie du Cercle de l'oratoire, un cercle de réflexion français "néoconservateur, qui était pour l'invasion de l'Irak et de l'Afghanistan et la destruction de la Libye".

[OKHAYYAM]

Une autre lecture

Seulement, Bensaada ne dit pas que M. Ayari dans son analyse parue dans l'organe de l'International Crisis Groupe, a bien précisé qui sont les "acteurs de l'ombre". Lisons-le :

"Nombre de ces acteurs participent en effet à ces protestations ou les soutiennent discrètement. C’est le cas de généraux mis à la retraite anticipée ces dernières années, de cadres et agents de sécurité frustrés par la dissolution du Département du renseignement et de la sécurité en 2015, et d’hommes d’affaires à la stature internationale, empêchés par les premiers cercles du pouvoir de développer pleinement leurs activités économiques. C’est aussi le cas de hauts fonctionnaires, de syndicats autonomes, d’associations de jeunesse, de militants des droits humains, d’étudiants, de journalistes, d’avocats, et de partis d’opposition intégrés au « système ».
La plupart de ces acteurs estiment nécessaire de « réinstitutionnaliser » le pays en neutralisant les forces « extraconstitutionnelles » (le clan Bouteflika) qui affaibliraient la résilience de l’Etat face aux défis économiques, sociaux et régionaux. Ceux-ci risquent de devenir encore plus aigus dans les années à venir, notamment si les réserves de change diminuent de manière significative, que l’inflation augmente et que le contexte sécuritaire se dégrade dans les pays voisins.
Enfin, ces acteurs semblent converger sur la nécessité de réduire le caractère informel, opaque et fragmenté du pouvoir pour « sauver le pays ». L’objectif, au-delà des discours pro-démocratie, est de rétablir les équilibres régionaux tacites au sein des centres de pouvoir, hérités de la guerre d’indépendance (1954-1962), et de renouer avec un minimum de règles pour réduire le règne de l’arbitraire dans le processus officiel de prise de décision".