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C’est un Abderrazak Makri visiblement très remonté contre le pouvoir qu’il accuse de vouloir remettre en selle le parti du front de libération nationale (PFLN) et le Rassemblement national démocratique (RND) qui s’est exprimé sur la chaine Awras TV.
«Quand on voit la remise en selle du PFLN et du RND contre lesquels le peuple s’est révolté en brandissant des banderoles invitant ces deux partis à dégager, on ne comprends plus rien…Qu’est ce que c’est çà ?" s’interroge, amer, le chef du mouvement islamiste dans une vidéo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux.
Et d’ajouter : «C’est quand même bizarre que les autres partis peinent terriblement à avoir des salles pour tenir leurs congrès constitutifs, tandis que ces deux partis (PFLN-RND) ont droit aux plus grandes et plus prestigieuses structures de l’Etat ! »
Et Makri de tirer une cinglante conclusion : « cela veut dire qu’il y a une volonté de retour en arrière !».
Avant de tempérer son propos : «Donc s’il y a une volonté de revenir à l’époque du régime de Bouteflika il y a nécessité de relancer le Hirak».
Pourtant, le patron du MSP a divorcé d’avec le Hirak qu’il appelle aujourd’hui de ses vœux depuis l’élection du président Tebboune le 12 décembre dernier qui l’avait d’ailleurs reçu à la présidence.
A1
«Quand on voit la remise en selle du PFLN et du RND contre lesquels le peuple s’est révolté en brandissant des banderoles invitant ces deux partis à dégager, on ne comprends plus rien…Qu’est ce que c’est çà ?" s’interroge, amer, le chef du mouvement islamiste dans une vidéo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux.
Et d’ajouter : «C’est quand même bizarre que les autres partis peinent terriblement à avoir des salles pour tenir leurs congrès constitutifs, tandis que ces deux partis (PFLN-RND) ont droit aux plus grandes et plus prestigieuses structures de l’Etat ! »
Et Makri de tirer une cinglante conclusion : « cela veut dire qu’il y a une volonté de retour en arrière !».
Avant de tempérer son propos : «Donc s’il y a une volonté de revenir à l’époque du régime de Bouteflika il y a nécessité de relancer le Hirak».
Pourtant, le patron du MSP a divorcé d’avec le Hirak qu’il appelle aujourd’hui de ses vœux depuis l’élection du président Tebboune le 12 décembre dernier qui l’avait d’ailleurs reçu à la présidence.
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