Bienvenue sur Forum Algérie, la communauté du site algerie-dz.com, votre fenêtre sur l'Algérie et le monde!
Pour avoir un accès total au forum algerie-dz.com, vous devez vous inscrire pour un compte gratuit. En tant que membre du forum, vous pourrez participer aux discussions, communiquer avec les autres membres et rejoindre le Club des Membres.
Si vous rencontrez des difficultés à vous inscrire ou à vous identifier sur Forum Algérie, n'hésitez pas à contacter l'équipe du support algerie-dz.com.
Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Le fils de NEZZAR confirme l'assassinat de sa mère!
Nezzar , aurait il un lien direct ou indirect avec la liquidation de feu Kasdi Merbah ? Pourquoi c'est juste Nezzar qui écrit ses mémoires , mais pas Lamari , pas Belkheir , ni meme Rab Dzair !
Nezzar ne recule devient rien. Il accuse son fils Sofiane de troubles psychiatriques
Il publie même le compte rendu du chef de service de psychiatrie à Ain Naadja. Il faut le faire !
Le général Nezzar accuse : «Mon fils malade est victime d’abus de faiblesse»
Nous publions le texte intégral de la déclaration du général à la retraite Khaled Nezzar, suite aux accusations proférées par son fils Sofiane atteint de troubles psychiatriques et dont la maladie est exploitée par un cercle haineux sans foi ni loi et des charognards dépourvus de sens moral qui en font un fonds de commerce sur les réseaux sociaux.
La vilenie des fabricants de calomnies me pousse encore une fois à réagir, cette fois, suite à un abus de faiblesse qui provoque dégoût et répulsion et dont est victime mon fils Sofiane, resté à Alger, atteint de troubles psychiatriques graves. Des personnes malintentionnées se rendent, ainsi, coupables d’une exploitation criminelle de son état de vulnérabilité psychique pour l’amener à publier des insanités sur les réseaux sociaux, proférant d’insensées accusations contre sa propre famille.
«Quand l’ignorant est victime de la confusion, le trompeur, lui, la produit ou l’entretient», dit-on.
Ces divagations, colportées à l’époque par les affidés du FIS jusque dans les couloirs de la 17e chambre du tribunal de Paris où se déroulait le procès contre le félon Habib Souaïdia et ses mentors français, trouvent aujourd’hui écho chez certaines personnes portées par une impulsion vengeresse fiévreuse et font dire à mon fils malade que ma défunte épouse, mère de mes quatre enfants, serait morte assassinée.
Atteint de troubles bipolaires et d’addiction, mon fils Sofiane a été admis dans plusieurs structures de soins psychiatriques à Paris et Genève et interné à maintes reprises à l’hôpital militaire d’Aïn Naâdja où le professeur N. Arfi a établi le compte rendu médical suivant, en date du 30 juillet 2019 : «M. Nezzar Sofiane, âgé de 40 ans, aux antécédents d’hospitalisation au niveau de notre service, la dernière remontant à 2016. De ces antécédents psychiatriques, on note un suivi depuis l’âge de 33 ans pour trouble bipolaire de type 1, émaillé de plusieurs hospitalisations, mis sous différents traitements, à savoir : lithium, Abilify, quétiapine, et Risperdal 4 mg/l, et récemment sous Tegretol LP, à raison de 800 mg. La dernière hospitalisation en mai 2016, dans les suites d’un épisode mixte, avec caractéristiques psychotiques, s’est accompagnée d’une humeur dépressive et une irritabilité importante, de gros troubles du comportement et un fort potentiel de dangerosité avec passage à l’acte auto et hétéro agressif.»
C’est le cœur lourd que je me vois obligé de divulguer ces faits qu’il me pèse de devoir étaler sur la place publique pour dénoncer l’ignoble utilisation de cette infirmité pour propager d’abjects mensonges sur ma famille et moi-même. Se révélant totalement dépourvus de scrupules, des officiers du renseignement avaient approché mon fils Sofiane, sur ordre de Gaïd-Salah, et continuent apparemment à l’inciter à épandre ses délires en lui promettant monts et merveilles. Faible, inconscient, manipulable et dépendant, mon fils Sofiane a été entraîné dans une voie destructrice pour lui et pour toute sa famille, dans des agissements qui ne sont pas aléatoires, mais déterminés par un plan préétabli.
Comment ne pas déceler une corrélation directe entre la mise au point de mon fils Lotfi, directeur général de SLC, à moitié censurée par Liberté, et cette subite recrudescence des vieilles lourdes incriminations fallacieuses charroyées par la même fanfare, les mêmes mercenaires ? Qui la vérité dérange-t-elle pour qu’à ce point la voix de Khaled Nezzar ou de son fils provoquent un tel affolement ? Le média social YouTube n’a-t-il pas été bloqué complètement en Algérie – un acte tout à fait unique dans le monde – pour m’empêcher de m’adresser à mes compagnons auxquels je demandais de rompre le nœud gordien par lequel Gaïd-Salah entraînait notre honorable Armée nationale populaire sur les chemins tortueux et méandreux de la politique, l’exposant ainsi à la colère citoyenne ?
Tout en m’élevant contre ces attaques récurrentes qui me ciblent depuis de longues années, je réitère mon appel à la réouverture des dossiers, tous les dossiers, soit dans le cadre d’un débat national, soit devant les tribunaux lorsque la justice sera enfin à nouveau libre et indépendante, pour que cette vaine rhétorique et cette prééminence du débat amoral, qui dépeignent la misère intellectuelle de leurs générateurs, laissent place à l’éclosion de la vérité et aux arguments qui se fondent sur la raison, la décence et la bonne foi.
J’attire l’attention des autorités compétentes sur la nécessité d’une prise en charge sanitaire immédiate de mon fils chez qui j’observe une détérioration de son cas psychotique à travers ses délires, fort probablement dus au non-respect de la prescription médicamenteuse et à son remplacement par des produits aggravants. Dans une telle situation, les médecins ont toujours procédé à son hospitalisation.
Vu les circonstances politiques particulières qui m’ont fait m’éloigner malgré moi du pays, je demande que mon fils se fasse consulter par ses médecins traitants avant que son état se dégrade davantage.
S’il advenait quoi que ce soit à mon fils, la responsabilité incombera, en premier lieu, à tous ceux qui auront abusé de sa mauvaise santé et du désarroi dans lequel elle l’a plongé, et l’auront conduit à commettre l’irréparable.
Khaled Nezzar
Général à la retraite, ancien ministre de la Défense nationale, ancien membre du Haut Comité d’Etat (HCE)
Algérie Patriotique
07 juin 2020
Dernière modification par shadok, 07 juin 2020, 14h43.
Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
IL n'accuse pas son fils Soufiane , car tout le monde sait depuis longtemps que son fils a des troubles mentaux et suit un traitement psychiatrique . IL déclare que son fils est manipulé par les services qui profitent de sa maladie mentale le poussant à faire des déclarations contre sa famille .
Un problème de famille qui n'est d'aucune utilité quant à la situation du pays et des algériens . Je crois que c'est une opération lancée par les services pour détourner l'opinion publique des vrais problèmes politiques et économiques que vivent les algériens.
Dernière modification par ELKSOURI, 07 juin 2020, 15h59.
Accusé d’avoir tué sa femme : Khaled Nezzar répond à son fils
Accusé d’avoir tué sa femme, l’ancien ministre de la défense nationale, le général à la retraite, Khaled Nezzar a répondu, dimanche 7 juin, à son fils Sofiane Nezzar, qu’il a présenté comme étant « atteint de troubles psychiatriques graves ». Selon Sofiane Nezzar, l’assassinat de sa mère, Barket Fatma-Zohra, aurait eu lieu durant les années 1990 dans leur maison à Hydra, à Alger.
« La vilenie des fabricants de calomnies me pousse encore une fois à réagir, cette fois, suite à un abus de faiblesse qui provoque dégoût et répulsion et dont est victime mon fils Sofiane, resté à Alger, atteint de troubles psychiatriques graves. Des personnes malintentionnées se rendent, ainsi, coupables d’une exploitation criminelle de son état de vulnérabilité psychique pour l’amener à publier des insanités sur les réseaux sociaux, proférant d’insensées accusations contre sa propre famille », a écrit Khaled Nezzar dans sa réponse publiée sur le journal électronique Algérie Patriotique de son autre fils Lotfi.
« Ces divagations, colportées à l’époque par les affidés du FIS jusque dans les couloirs de la 17e chambre du tribunal de Paris où se déroulait le procès contre le félon Habib Souaïdia et ses mentors français, trouvent aujourd’hui écho chez certaines personnes portées par une impulsion vengeresse fiévreuse et font dire à mon fils malade que ma défunte épouse, mère de mes quatre enfants, serait morte assassinée », a-t-il ajouté.
« Atteint de troubles bipolaires et d’addiction, mon fils Sofiane a été admis dans plusieurs structures de soins psychiatriques à Paris et Genève et interné à maintes reprises à l’hôpital militaire d’Aïn Naâdja où le professeur N. Arfi a établi le compte rendu médical suivant, en date du 30 juillet 2019 : ‘M. Nezzar Sofiane, âgé de 40 ans, aux antécédents d’hospitalisation au niveau de notre service, la dernière remontant à 2016. De ces antécédents psychiatriques, on note un suivi depuis l’âge de 33 ans pour trouble bipolaire de type 1, émaillé de plusieurs hospitalisations, mis sous différents traitements, à savoir : lithium, Abilify, quétiapine, et Risperdal 4 mg/l, et récemment sous Tegretol LP, à raison de 800 mg. La dernière hospitalisation en mai 2016, dans les suites d’un épisode mixte, avec caractéristiques psychotiques, s’est accompagnée d’une humeur dépressive et une irritabilité importante, de gros troubles du comportement et un fort potentiel de dangerosité avec passage à l’acte auto et hétéro agressif.' », a précisé Khaled Nezzar.
« C’est le cœur lourd que je me vois obligé de divulguer ces faits qu’il me pèse de devoir étaler sur la place publique pour dénoncer l’ignoble utilisation de cette infirmité pour propager d’abjects mensonges sur ma famille et moi-même. (…) Faible, inconscient, manipulable et dépendant, mon fils Sofiane a été entraîné dans une voie destructrice pour lui et pour toute sa famille, dans des agissements qui ne sont pas aléatoires, mais déterminés par un plan préétabli », a-t-il poursuivi.
« (…) Tout en m’élevant contre ces attaques récurrentes qui me ciblent depuis de longues années, je réitère mon appel à la réouverture des dossiers, tous les dossiers, soit dans le cadre d’un débat national, soit devant les tribunaux lorsque la justice sera enfin à nouveau libre et indépendante, pour que cette vaine rhétorique et cette prééminence du débat amoral, qui dépeignent la misère intellectuelle de leurs générateurs, laissent place à l’éclosion de la vérité et aux arguments qui se fondent sur la raison, la décence et la bonne foi », a encore écrit le général à la retraite. (…)
Les accusations de Sofiane Nezzar contre son père
Entre mercredi et jeudi derniers, Sofiane Nezzar a posté sur Facebook trois publications à travers lesquelles il a accusé son père (Khaled Nezzar) d’avoir assassiné sa mère, Barket Fatma-Zohra, et son frère Lotfi d’avoir été son complice. Le crime aurait eu lieu durant les années 1990 dans leur maison à Hydra, à Alger.
Jeudi après-midi, Sofiane Nezzar a fini par supprimer ses publications. Mais, elles ont été repérées par des internautes qui ont fait des captures d’écran et les ont partagées.
« Maman, tu es la première victime du criminel sanguinaire Khaled Nezzar. Ton meurtre a été maquillé et dissimulé par sa bande de criminels, eux aussi », avait écrit Sofiane Nezzar sur son compte Facebook.
Dans un autre statut, il accuse carrément son frère Lotfi d’avoir participé au maquillage du crime. « Lotfi, tu es un criminel qui a maquillé la mort de ma mère », a-t-il accusé. « Lotfi Borgeaud, c’est toi qui as évacué le corps sans vie de ma mère assassinée par vous. C’est toi qui as évacué la dépouille du lieu du crime vers Aïn Naâdja avec vos complices. Tu es un criminel qui a maquillé la mort de ma mère. Tu ne peux pas vouloir me loger et être un assassin. Criminel », a asséné le fils de Khaled Nezzar.
« Au néocolon, Lotfi Borgeaud. Je ne loge pas ici car j’y vis. J’y ai grandi avec ma mère parce que c’est sa maison qui est sous (Fredha). Je compte y faire grandir mes filles. Par contre vous, vous avez fait loger une balle dans la tête de ma mère », a encore écrit Sofiane Nezzar.
Jeudi dernier, Lotfi Nezzar a démenti l’information selon laquelle les biens de la famille Nezzar ont été saisis. Le fils de Khaled Nezzar a souligné, dans une mise au point adressé au journal Liberté, que l’article publié « comporte des passages inexacts, formulés à partir d’informations infondées qui me mettent en cause personnellement, portent atteinte à la considération de ma famille et confondent des éléments des sociétés Divona et SLC de sorte qu’elles tendent à tromper vos lecteurs et, plus généralement, l’opinion publique. (…) ».
Mardi 2 juin, le quotidien Liberté avait rapporté que les biens de la famille de Khaled Nezzar, ont été mis sous séquestre par un juge, après qu’une enquête ait été ouverte suite à des plaintes déposées par l’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) et la Direction générale des impôts (DGI).
Selon Liberté, les biens des Nezzar placés sous séquestre concernent « une résidence située à Hydra, de terres agricoles sises à Bouchaoui et d’une palmeraie de plusieurs centaines d’hectares située dans la wilaya de Biskra. »
Pour rappel, Khaled Nezzar et son fils Lotfi ont quitté le pays depuis plusieurs mois. Un mandat d’arrêt international a été émis contre eux par le tribunal militaire de Blida. Le général Khaled Nezzar a été condamné à une peine de 20 ans d’emprisonnement par contumace par le tribunal militaire de Blida pour « complot contre l’armée », affaire dans laquelle ont été également condamnés Mohamed Mediene, Saïd Bouteflika, Athmane Tartag et Louisa Hanoune.
Commentaire