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Il a tenté d’intimider les enquêteurs algériens en recourant à un hallucinant battage médiatique : Mensonges et mauvaise foi de Mohcine Belabbas
Décidemment, le président du RCD semble toutes les collectionner. Toutes. Ainsi si pour lui, il semble bien que la meilleure défense reste bel et bien l’attaque, il faut toutefois dire que celui-ci a poussé le bouchon bien trop loin. Faisant naïvement mine d’ignorer les raisons ayant pu motiver sa convocation par la Gendarmerie nationale, il a admirablement bien campé le rôle du martyre harcelé et persécuté par les autorités de son pays. Pour ce faire, il s’est adjoint les services, pour ne pas dire les sévices, de certains médias indignés, faisant mine de n’y rien comprendre, mais sans doute mis dans la confidence, Mais de quoi s’agit-il au juste ? Il n’est rien moins question que de la mort d’un être humain.
La victime, présentée comme « étrangère dans le communiqué de la Gendarmerie nationale relatif au sujet, a trouvé la mort dans le chantier relatif à la construction du propre domicile du président du RCD. Du coup, c’est la douche froide assurée. Le responsable politique en théorie « exempt de tous reproches, employait chez lui au chantier de son domicile, personnel, une malheureuse victime, sans doute corvéable à merci. Cette dernière tombée dans les rets de ces négriers des temps modernes, profitaient de la vulnérabilité et de l’extrême fragilité de ces malheureux migrants, très mal payés, et pas du tout pris en charge par la législation du travail. L’on comprend dès lors que Belabbas soit dans ses petits souliers.
Impossible pour lui, en effet de justifier ces très gênantes révélations. « pas ça ! pas toi », serait-on tenté de nous exclamer face à un homme qui a toujours œuvré à se faire passer pour un modèle de vertu et pour une sorte de mauvaise conscience envers le pouvoir alors que ce Mister Hide de Stevenson cachait, ma foi, pas mal de cadavres dans son placard. Et, n’était-ce la fin tragique de cette pauvre hure, une inextinguible rigolade face aux innocentes dénégations du président du RCD face à ses amis de la presse. Quand un homme est retrouvé mort chez vous, c’est oser se payer la tête des médias que de dire ignorer les raisons de cette convocation.
Faut-il que le défunt écrive avec son propre sang « Belabbas m’a tué » pour que celui-ci daigne enfin passer aux aveux ! Pour revenir à la première affaire impliquant le RCD, pour laquelle celui-ci a été destinataire d’une sévère mise en garde de la part des services du ministère de l’Intérieur, et dont il a été question dans notre édition de la veille, nous apprenons en effet, de bonnes sources, que le siège d’Alger-centre de ce parti a été transformé en hôtel, pour ne pas dire dortoir, au profit des individus qui souhaitent prendre part au « hirak » afin de leur permettre de déjouer la vigilance des barrages filtrants, sachant par ailleurs que le siège se trouve en plein cœur de la capitale, ce qui veut tout dire.
lecorreridalgerie
Décidemment, le président du RCD semble toutes les collectionner. Toutes. Ainsi si pour lui, il semble bien que la meilleure défense reste bel et bien l’attaque, il faut toutefois dire que celui-ci a poussé le bouchon bien trop loin. Faisant naïvement mine d’ignorer les raisons ayant pu motiver sa convocation par la Gendarmerie nationale, il a admirablement bien campé le rôle du martyre harcelé et persécuté par les autorités de son pays. Pour ce faire, il s’est adjoint les services, pour ne pas dire les sévices, de certains médias indignés, faisant mine de n’y rien comprendre, mais sans doute mis dans la confidence, Mais de quoi s’agit-il au juste ? Il n’est rien moins question que de la mort d’un être humain.
La victime, présentée comme « étrangère dans le communiqué de la Gendarmerie nationale relatif au sujet, a trouvé la mort dans le chantier relatif à la construction du propre domicile du président du RCD. Du coup, c’est la douche froide assurée. Le responsable politique en théorie « exempt de tous reproches, employait chez lui au chantier de son domicile, personnel, une malheureuse victime, sans doute corvéable à merci. Cette dernière tombée dans les rets de ces négriers des temps modernes, profitaient de la vulnérabilité et de l’extrême fragilité de ces malheureux migrants, très mal payés, et pas du tout pris en charge par la législation du travail. L’on comprend dès lors que Belabbas soit dans ses petits souliers.
Impossible pour lui, en effet de justifier ces très gênantes révélations. « pas ça ! pas toi », serait-on tenté de nous exclamer face à un homme qui a toujours œuvré à se faire passer pour un modèle de vertu et pour une sorte de mauvaise conscience envers le pouvoir alors que ce Mister Hide de Stevenson cachait, ma foi, pas mal de cadavres dans son placard. Et, n’était-ce la fin tragique de cette pauvre hure, une inextinguible rigolade face aux innocentes dénégations du président du RCD face à ses amis de la presse. Quand un homme est retrouvé mort chez vous, c’est oser se payer la tête des médias que de dire ignorer les raisons de cette convocation.
Faut-il que le défunt écrive avec son propre sang « Belabbas m’a tué » pour que celui-ci daigne enfin passer aux aveux ! Pour revenir à la première affaire impliquant le RCD, pour laquelle celui-ci a été destinataire d’une sévère mise en garde de la part des services du ministère de l’Intérieur, et dont il a été question dans notre édition de la veille, nous apprenons en effet, de bonnes sources, que le siège d’Alger-centre de ce parti a été transformé en hôtel, pour ne pas dire dortoir, au profit des individus qui souhaitent prendre part au « hirak » afin de leur permettre de déjouer la vigilance des barrages filtrants, sachant par ailleurs que le siège se trouve en plein cœur de la capitale, ce qui veut tout dire.
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