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Hamel accuse le «groupe d’Oran de la drogue» : «Les généraux Belkecir et Kamel Abderrahmane agissaient pour Zendjabil.»

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  • #16
    mais grâce a la DEA américaine que cette histoire a éclater Algérie était obliger de coopérer sinon sanctions
    interdiction utiliser le $ pour le commerce
    et de grande change a la fin de enquête les états unis demande leur extradition pour avoir commercer de la drogue avec leur monnaie le $ 20 a 30 ans de prison

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    • #17
      Hamel accuse le «groupe d’Oran de la drogue» : «Les généraux Belkecir et Kamel Abderrahmane agissaient pour Zendjabil, ex-baron de la drogue»
      A vrai Hamel ne dit rien de nouveau et ce groupe a été déjà accusé par l'ex Wali d'Oran Bachir Frik et rien n'a été fait depuis.

      A partir de la 13e minute :


      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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      • #18
        Il est encore vivant ce wali ?

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        • #19
          En cher et en os. L'Algérie n'est pas le Makhzen, quoiqu'on dise !
          La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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          • #20
            C'est pas judicieux de faire comparer l'Algérie et le makhzen.
            Tu aurais pu dire,en étant infiniment gentil, l'appareil militaire a la place de l'Algérie,et dans ce cas-là je te répondrais que le junte est un tantinet pire que le makhzen,et je te donnerai une explication si tu le désires

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            • #21
              Cet ex Wali est encore vivant je te dis et mène sa vie paisiblement comme un ex commis d'Etat. Pour le reste, tu peux tirer les conclusions que tu veux !
              La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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              • #22
                Est-ce qu'il maintient toujours ces accusations ou s'est il rétracté ?

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                • #23
                  Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer quant à cette question :22:
                  La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                  • #24
                    Bain tu me disais que l'ex Wali est bien portant,et apparemment tu sembles bien au courant de son histoire,ou alors je me suis trompé sur ton compte.

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                    • #25
                      Et pourquoi veux-tu qu'il se retracte sur ce sujet alors qu'il l'a défié alors qu'il était en fonction ? Il a continué à le défier après sa fin de fonction devant l'opinion publique.
                      Mais je connais un peu tes fantasmes sur l'Algérie, t'inquiète !
                      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                      • #26
                        Pour l'ex wali d'Oran, même procédé ...

                        C’est en 2001, l’ex-DAS, Kada Hezil, écrit au Président une lettre dans laquelle il dénonce un trafic de drogue impliquant beaucoup de personnalités. Par hasard, deux mois après cette correspondance, mon client est accusé. Comment ne pas faire de lien ?” lançait Me Bourayou.

                        C’est dans le même sens que sont allés les deux autres avocats de Frik, Mes Aït Larbi et Brahimi, qui insistaient sur le rôle qu’aurait joué l’ex-chef de la sûreté de wilaya, et le wali qui est venu deux ans après le départ de Bachir Frik d’Oran. Comme l’avait affirmé l’accusé principal lui-même à la barre avant-hier, les raisons, qui ont fait que c’est la première fois dans l’histoire du pays qu’un wali accuse un autre, restent toujours inconnues. “La loi ne permet pas aux walis de déposer une plainte contre d’autres walis. Pourquoi ça a été permis me concernant ?” avait-il déclaré.

                        Les walis, leurs quotas et la période noire
                        Les accusations contre Frik sont essentiellement basées sur son utilisation des quotas que le premier magistrat de la wilaya s’octroie automatiquement, selon la loi, sur les logements et les locaux commerciaux. Le procès a surtout montré que plusieurs lectures pouvaient être faites et qu’un flou juridique existait sans que personne puisse trancher.
                        Lors de son intervention d’hier, Me Bourayou, en paraphrasant Mahmoud Darwich sur “la gravité de l’accusation pour une si petite affaire”, axait surtout sur l’innocence de son client par rapport aux accusations de dilapidation : “On l’a attaqué sur l’octroi d’un terrain alors que le chambre d’accusation elle-même avait bien mentionné qu’il n’avait pas connaissance du dossier. Mieux encore, il a voulu faire son travail en voulant régler une faute administrative minime même s’il n’y est pour rien.” Et d’ajouter : “Il y a eu pire que ça, et rien n’a été fait contre les responsables.” À propos des deux locaux commerciaux de sa femme et de son gendre, Me Bourayou affirmait : “On oublie qu’il ne leur a rien donné, mais que c’était une location. L’État n’a rien perdu et la loi ne lui interdisait pas de faire cela.”
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #27
                          Et pourquoi veux-tu qu'il se rétracte
                          Je te prie de ne pas lire dans mes pensées.

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