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Mohamed Hadj Djilani, ex-premier secrétaire du Front des Forces Socialistes (FFS), quitte cette formation politique pour créer son propre parti. Il estime que la crise multidimensionnelle que traverse le pays nécessite un renouveau politique qui consacrera le principe de la méritocratie.
En effet, l’’ex-premier secrétaire du FFS (d’août 2019 à mars 2019), Mohamed Hadj Djilani, a annoncé la création d’une nouvelle formation politique baptisée « Union des Forces Patriotique (UFP) ». Il explique que les crises politique et socio-économique qui secouent l’Algérie nécessitent un renouveau politique urgent qui donnera place à la méritocratie.
Dans une déclaration au quotidien Liberté, Mohamed Hadj Djilani soutient cette nouvelle formation politique a pour objectif de rassembler toutes les énergies qui « croient en les valeurs et en les fondements d’un Etat démocratique et social ». Il a également indiqué que l’UFP se voulait un espace de débat démocratique, où la parole est donnée à tout le monde sans distinction de sexe ou d’âge.
“L’UFP pour répondre aux aspirations du peuple”
Mohamed Hadj Djilani ajoute que l’ambition de cette nouvelle formation politique est de donner un nouveau souffle à la scène politique algérienne. Selon lui, l’UFP a été créée pour répondre aux aspirations et à la volonté de millions d’Algériens
qui appellent à un véritable changement et « donner aussi à l’élan populaire une issue salvatrice ».
Rappelons que Mohamed Hadj Djilani n’est pas le premier membre du FFS à quitter cette formation politique pour créer un nouveau parti. Auparavant, de nombreux cadres du plus ancien parti de l’opposition ont claqué la porte pour lancer leurs propres partis. Le plus connu de tous est Saïd Sadi, qui quitte le FFS au début de l’année 1982 pour créer, quelques années plus tard, le RCD. Il y aussi Saïd Khelil et Karim Tabbou qui ont respectivement fondé le MDC et l’UDS.
ObsAlgerie
En effet, l’’ex-premier secrétaire du FFS (d’août 2019 à mars 2019), Mohamed Hadj Djilani, a annoncé la création d’une nouvelle formation politique baptisée « Union des Forces Patriotique (UFP) ». Il explique que les crises politique et socio-économique qui secouent l’Algérie nécessitent un renouveau politique urgent qui donnera place à la méritocratie.
Dans une déclaration au quotidien Liberté, Mohamed Hadj Djilani soutient cette nouvelle formation politique a pour objectif de rassembler toutes les énergies qui « croient en les valeurs et en les fondements d’un Etat démocratique et social ». Il a également indiqué que l’UFP se voulait un espace de débat démocratique, où la parole est donnée à tout le monde sans distinction de sexe ou d’âge.
“L’UFP pour répondre aux aspirations du peuple”
Mohamed Hadj Djilani ajoute que l’ambition de cette nouvelle formation politique est de donner un nouveau souffle à la scène politique algérienne. Selon lui, l’UFP a été créée pour répondre aux aspirations et à la volonté de millions d’Algériens
qui appellent à un véritable changement et « donner aussi à l’élan populaire une issue salvatrice ».
Rappelons que Mohamed Hadj Djilani n’est pas le premier membre du FFS à quitter cette formation politique pour créer un nouveau parti. Auparavant, de nombreux cadres du plus ancien parti de l’opposition ont claqué la porte pour lancer leurs propres partis. Le plus connu de tous est Saïd Sadi, qui quitte le FFS au début de l’année 1982 pour créer, quelques années plus tard, le RCD. Il y aussi Saïd Khelil et Karim Tabbou qui ont respectivement fondé le MDC et l’UDS.
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