Le Front pour la justice et le développement (Al Adala), de Abdellah Djebellah, a appelé ce vendredi les Algériens à voter par un « non », lors du référendum sur le projet de Constitution prévu le 1er novembre prochain, annonce le parti sur sa page facebook.
Le Conseil consultatif du parti réuni à cet effet, a décidé de lancer un appel au peuple algérien pour qu’il vote massivement pour le rejet de la nouvelle Constitution.
Prononçant un discours devant les membres du Conseil consultatif de son parti, Abdellah Djaballah a qualifié le texte proposé par le président de la République de « projet laïc ».
Pour lui, le projet de constitution n’accorde pas l’importance qu’il faut à l’Islam et à la langue arabe. En clair, il rejette avec force la place accordée à la langue amazighe dans ce projet de Constitution. Il estime que l’officialisation de cette langue est un préalable pour la division de l’Algérie.
Pour l’Islam, l’orateur refuse la consécration de la liberté de culte. Autrement dit, il plaide pour l’interdiction de toute pratique religieuse autre que l’Islam.
En outre, il affirme que le projet de loi fondamentale accorde trop de pouvoirs au président de la République et n’assure pas un équilibre entre les pouvoirs.
Rappelons que l’Al Adala, est le second parti islamiste qui appelle à voter par non après le Mouvement de la société de la paix (MSP).
Radio M
Le Conseil consultatif du parti réuni à cet effet, a décidé de lancer un appel au peuple algérien pour qu’il vote massivement pour le rejet de la nouvelle Constitution.
Prononçant un discours devant les membres du Conseil consultatif de son parti, Abdellah Djaballah a qualifié le texte proposé par le président de la République de « projet laïc ».
Pour lui, le projet de constitution n’accorde pas l’importance qu’il faut à l’Islam et à la langue arabe. En clair, il rejette avec force la place accordée à la langue amazighe dans ce projet de Constitution. Il estime que l’officialisation de cette langue est un préalable pour la division de l’Algérie.
Pour l’Islam, l’orateur refuse la consécration de la liberté de culte. Autrement dit, il plaide pour l’interdiction de toute pratique religieuse autre que l’Islam.
En outre, il affirme que le projet de loi fondamentale accorde trop de pouvoirs au président de la République et n’assure pas un équilibre entre les pouvoirs.
Rappelons que l’Al Adala, est le second parti islamiste qui appelle à voter par non après le Mouvement de la société de la paix (MSP).
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