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Exclusif. Ahmed Sami Khan : le jeune héros d’El Merk !
ALGERIEPART PLUS
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23 OCTOBER 2020
Grâce à un jeune ingénieur, Sonatrach a évité une énorme catastrophe au niveau du gisement pétrolier d’El Merk dans la wilaya d’Illizi. En effet, c’est grâce à la vigilance d’un opérateur qui a remarqué vers 20h17 une fumée sortante du four du train 2 suivi de jet de flammes que l’alerte a été donnée pour actionner l’arrêt d’urgence du champ. Cet opérateur est un ingénieur diplômé de l’université de Bab Ezzouar à Alger. Il s’appelle Ahmed Sami Khan.
Il s’agit d’un jeune ingénieur qui travaille le service de l’exploitation technique. L’intervention rapide d’Ahmed Sami Khan a permis aux équipes de Sonatrach de repérer rapidement l’incendie déclenchant ainsi le dispositif d’urgence pour circonscrire les femmes en attendant de pouvoir les éteindre définitivement. Si l’alerte n’avait pas été donné par ce jeune ingénieur de Sonatrach, le feu aurait pris une ampleur beaucoup plus dramatique emportant ainsi tout son passage embrassant toutes les installations du centre de traitement des hydrocarbures d’El Merk. Une plateforme de production dont la réalisation a coûté à Sonatrach, rappelons-le, plus de 2,3 milliards de dollars.
Il est à préciser également que l’intervention de d’Ahmed Sami Khan a pu certainement sauver la vie de plusieurs de ses collaborateurs et collègues mobilisés au niveau du centre de production et traitement des hydrocarbures d’El Merk. Plusieurs dizaines de pétroliers auraient pu être pris au piège des flammes si l’incendie n’avait pas été repéré rapidement par les équipes d’intervention rapide de Sonatrach.
Comme il avait révélé hier jeudi par Algérie Part, l’intervention des unités des pompiers et de sécurité du site ainsi que des renforts dépêchés dans le cadre de protocole d’assistance mutuelle de HBNS et d’Ourhoud a duré presque 9 heures. L’incendie n’a été maîtrisé que vers 4h00 du matin heure à laquelle le feu s’est éteint.
Pour des raisons de sécurité et afin de parer à toute éventualité, les responsables du champ ont décidé d’arrêter la production, jusqu’à la réparation du four endommagé. Cela signifie que l’Algérie est privée de la production de son deuxième plus important gisement de pétrole après celui de Hassi Messaoud. Plusieurs millions de dollars de pertes par jour seront déplorées par l’Algérie pour une période indéterminée.
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23 OCTOBER 2020
Grâce à un jeune ingénieur, Sonatrach a évité une énorme catastrophe au niveau du gisement pétrolier d’El Merk dans la wilaya d’Illizi. En effet, c’est grâce à la vigilance d’un opérateur qui a remarqué vers 20h17 une fumée sortante du four du train 2 suivi de jet de flammes que l’alerte a été donnée pour actionner l’arrêt d’urgence du champ. Cet opérateur est un ingénieur diplômé de l’université de Bab Ezzouar à Alger. Il s’appelle Ahmed Sami Khan.
Il s’agit d’un jeune ingénieur qui travaille le service de l’exploitation technique. L’intervention rapide d’Ahmed Sami Khan a permis aux équipes de Sonatrach de repérer rapidement l’incendie déclenchant ainsi le dispositif d’urgence pour circonscrire les femmes en attendant de pouvoir les éteindre définitivement. Si l’alerte n’avait pas été donné par ce jeune ingénieur de Sonatrach, le feu aurait pris une ampleur beaucoup plus dramatique emportant ainsi tout son passage embrassant toutes les installations du centre de traitement des hydrocarbures d’El Merk. Une plateforme de production dont la réalisation a coûté à Sonatrach, rappelons-le, plus de 2,3 milliards de dollars.
Il est à préciser également que l’intervention de d’Ahmed Sami Khan a pu certainement sauver la vie de plusieurs de ses collaborateurs et collègues mobilisés au niveau du centre de production et traitement des hydrocarbures d’El Merk. Plusieurs dizaines de pétroliers auraient pu être pris au piège des flammes si l’incendie n’avait pas été repéré rapidement par les équipes d’intervention rapide de Sonatrach.
Comme il avait révélé hier jeudi par Algérie Part, l’intervention des unités des pompiers et de sécurité du site ainsi que des renforts dépêchés dans le cadre de protocole d’assistance mutuelle de HBNS et d’Ourhoud a duré presque 9 heures. L’incendie n’a été maîtrisé que vers 4h00 du matin heure à laquelle le feu s’est éteint.
Pour des raisons de sécurité et afin de parer à toute éventualité, les responsables du champ ont décidé d’arrêter la production, jusqu’à la réparation du four endommagé. Cela signifie que l’Algérie est privée de la production de son deuxième plus important gisement de pétrole après celui de Hassi Messaoud. Plusieurs millions de dollars de pertes par jour seront déplorées par l’Algérie pour une période indéterminée.