Le ministère de l’Education nationale est entré dans une course contre la montre, afin de réaliser le plus grand taux de réussite au bac, notamment après les assertions de nombreux directeurs de l’éducation, quant au recul du niveau des élèves dans les classes de terminale.
Le ministère vise à atteindre un taux élevé de réussite cette année, qui dépasse celui de l’année scolaire précédente établi à 51, 15 %, en lançant, dans plusieurs lycées, des cours de soutien, depuis début décembre, en application d’une instruction du ministre de l’Education nationale, mais le projet n’a pas reçu un large écho de la part des professeurs et des élèves, ce qui est dû, selon les représentants des professeurs, à l’absence d’une stratégie claire, qui aurait pu être préparée en début d’année scolaire.
Par ailleurs, les directeurs de l’Education ont assuré qu’il était exclu d’atteindre un taux de 70 % au baccalauréat cette année, au regard de la baisse sensible du niveau des élèves, qui concourent à cet examen, durant les deux derniers trimestres, présageant du recul du taux de réussite, comparé aux années précédentes.
Les représentants des enseignants ont déclaré qu’il était impératif que le ministère de l’Education organise une deuxième session du baccalauréat, au lieu de reporter les examens de fin d’année, fixés du 14 au 19 mai, ce qui ne laisse aux élèves que 20 jours pour se consacrer aux révisions et à la préparation psychologique du baccalauréat. Il est donc nécessaire d’organiser une deuxième session, afin de permettre à ceux qui ont échoué à la première, de se rattraper, et ainsi d’augmenter le taux de réussite au bac.
- El Khabar
Le ministère vise à atteindre un taux élevé de réussite cette année, qui dépasse celui de l’année scolaire précédente établi à 51, 15 %, en lançant, dans plusieurs lycées, des cours de soutien, depuis début décembre, en application d’une instruction du ministre de l’Education nationale, mais le projet n’a pas reçu un large écho de la part des professeurs et des élèves, ce qui est dû, selon les représentants des professeurs, à l’absence d’une stratégie claire, qui aurait pu être préparée en début d’année scolaire.
Par ailleurs, les directeurs de l’Education ont assuré qu’il était exclu d’atteindre un taux de 70 % au baccalauréat cette année, au regard de la baisse sensible du niveau des élèves, qui concourent à cet examen, durant les deux derniers trimestres, présageant du recul du taux de réussite, comparé aux années précédentes.
Les représentants des enseignants ont déclaré qu’il était impératif que le ministère de l’Education organise une deuxième session du baccalauréat, au lieu de reporter les examens de fin d’année, fixés du 14 au 19 mai, ce qui ne laisse aux élèves que 20 jours pour se consacrer aux révisions et à la préparation psychologique du baccalauréat. Il est donc nécessaire d’organiser une deuxième session, afin de permettre à ceux qui ont échoué à la première, de se rattraper, et ainsi d’augmenter le taux de réussite au bac.
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