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Covid-19: Tebboune ordonne de choisir le vaccin adéquat et de lancer la campagne de vaccination

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  • #16
    il aurait pu aussi ordonner au virus de ne pas l'attaquer tant qu'on y
    Salut Aloha. Wallah tu m'as fait rire
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #17
      Il faut éviter les vaccins à ARN
      Nous n'avons aucun recul sur ce type de vaccination

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      • #18
        Envoyé par citoyen
        Il ne suffit pas de choisir, ce n'est pas un souk où tu rempli ton panier et zouf...
        En effet, le minable mafieux Tebboune croit qu'on se fait servir le vaccin Covid19 aussi facilement et rapidement qu'on se fait servir un sandwich au cachir!

        Pendant que les pays développés innovent et développent des vaccins Covid19, le minable mafieux Tebboune a craché sur les Algériens et a humilié l'Algérie en allant se soigner et végéter en Allemagne.

        Malgré l'incompétence du minable mafieux Tebboune et de se des acolytes, espérons que les laboratoires et les pays étrangers producteurs de vaccins Covid19 seront humanistes et accepteront de fournir des vaccins à l'Algérie et autres pays africains rapidement et à des prix raisonnables.

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        • #19
          y a 2 vaccins qu'ils ne sauront gérer.
          il reste Spoutnik et le chinois sinopharm

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          • #20
            Finalement ce sont les tests PCR qui seront choisi, aucun risque, mais aussi aucun effet sur la pandémie, ils ont le mérite de pouvoir compter plus efficacement les performances du gouvernement Djerrad (arrêt du Hirak, confinement, doustour 2.0, fermeture des frontières main étrangère coupée, nouvelle algérie avec zéro effort, chiffres de la pandémie maîtrisables à volonté, baisse de la tranche d'âge qui ralenti l'évolution de l'algérie etc).

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            • #21
              L'Algérie à la recherche (urgente) du vaccin contre le Covid-19

              L'Algérie à la recherche (urgente) du vaccin contre le Covid-19


              L'annonce du président Tebboune de vacciner en janvier met la pression sur les autorités sanitaires, alors que le choix du vaccin n'est pas encore arrêté. Par Adlène Meddi, à Alger
              Publié le 22/12/2020 à 16:49 | Le Point.fr




              Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, en convalescence en Allemagne depuis son hospitalisation fin octobre, a annoncé dimanche 20 décembre sur les réseaux sociaux avoir instruit son Premier ministre pour réunir « sans délai » le Comité scientifique de suivi de l'évolution de la pandémie du coronavirus « pour choisir le vaccin adéquat anti-Covid-19 et lancer la campagne de vaccination à partir de janvier prochain ».

              Une annonce surprise qui met la pression sur les autorités sanitaires du pays, car même l'agence officielle d'informations, l'APS, souligne que le comité scientifique « dispose ainsi d'une poignée de jours pour amorcer le processus de vaccination en prenant le soin de trancher la question la plus délicate, celle inhérente au choix du vaccin le plus approprié ».


              Or, depuis plusieurs semaines, le discours officiel s'est focalisé sur l'approche « prudentielle ».




              Quel vaccin ?
              Une approche réitérée par le Premier ministre Abdelaziz Djerad, dimanche, qui a expliqué, quelques heures avant l'annonce présidentielle, que l'Algérie attendra que le produit soit « qualifié », tout en affirmant que « toute une logistique est en train d'être étudiée ».

              « Quel vaccin l'Algérie pourrait-elle acquérir pour exécuter l'ordre du président Tebboune ? La réponse est : aucun », a réagi, dans une tribune, le Dr Yacine Terkmane, président du Conseil régional de l'Ordre des médecins de Blida. « L'Algérie a décidé depuis le mois d'août écoulé d'acquérir un vaccin préqualifié par l'OMS dans le cadre du Covax, mécanisme organisé par l'OMS, pour garantir l'efficacité, la sécurité, la disponibilité, les meilleurs prix et une équité dans la répartition des vaccins. Aucun vaccin n'a été à ce jour préqualifié par l'OMS. »

              Le même spécialiste doute des capacités logistiques, qui finalement conditionneraient quel vaccin l'Algérie va acquérir : « La logistique disponible exclut les vaccins de Pfizer et de Moderna à cause des conditions de conservation à très basse température. Les autres vaccins ne nécessitent pas de moyens très particuliers. Le dispositif qui est en train d'être mis en place conjointement par les ministères de l'Intérieur et de la Santé pourrait, dans un délai de quelques semaines, être opérationnel. »



              L'option chinoise ?
              « Si c'est un vaccin similaire à celui que nous avons l'habitude d'utiliser, il n'y a aucun problème. Nous avons vacciné 10 000 enfants en une semaine », avait indiqué le ministre de la Santé lors d'une rencontre avec des médias.

              Or, El Watan a révélé, le 6 décembre dernier, que « la campagne de vaccination ne pourrait intervenir dans le meilleur des cas que vers la fin du deuxième trimestre 2021 », et cela « au vu de toutes les procédures, administratives, scientifiques et réglementaires, préalables pour l'acquisition de ce produit, dont la source d'approvisionnement n'est à ce jour pas encore révélée ».


              Le même journal précise que les choix les plus proches de l'approche algérienne seraient « les entreprises chinoises dont deux avancées dans la recherche, à savoir Sinopharm et Sinovac qui prévoient de porter les capacités de production actuellement limitées à environ 400 millions de doses par an vers la fin de l'année 2020 ».

              Sans aller dans trop de détails, le ministre délégué à l'Industrie pharmaceutique, Lotfi Benbahmed, a assuré, début décembre, que « l'Algérie a les capacités de produire le vaccin contre le coronavirus », sans donner plus de détails sur le vaccin.

              La Russie, qui est en contact avec les autorités algériennes concernant la question du vaccin Sputnik V, a annoncé pour sa part qu'une cinquantaine de pays, notamment africains, allaient fabriquer ce vaccin.

              Les capacités industrielles de la Russie sont moins importantes que celle de la Chine spécialisée dans la production massive et à bas coût en plus, des atouts qui permettent à Pékin de déployer sa « diplomatie du vaccin ».



              Le vaccin gratuit pour tous
              En effet, en plus des contraintes logistiques qui pèsent sur le choix du vaccin, il y a aussi le prix à y mettre. Le ministre de la Santé algérien a déclaré, le 14 décembre dernier à la radio publique : « La médecine a toujours été gratuite en Algérie, pourquoi voudriez-vous qu'on fasse payer les citoyens pour un péril ? Le vaccin contre le Covid-19 sera donc forcément gratuit pour toutes les catégories de la population. »

              « Quel que soit le vaccin qui est choisi, le marché s'est beaucoup rétréci par notre indécision parce que nous avons marqué des temps d'arrêt en disant que nous attendons tel organisme ou tel autre », a déclaré le Dr Mohamed Bekkat Berkani, président de l'Ordre des médecins et membre du comité scientifique.

              Ce mardi 22 décembre, lors d'une réunion présidée par le Premier ministre, annonce a été faite que le « comité scientifique a d'ores et déjà arrêté une short liste des laboratoires développeurs de vaccins et que les contrats sont en cours de finalisation pour les premières livraisons ».

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              • #22
                c'est un peu tard ,ils ont attendus que le président sorte de réanimation pour lui demander ce qu'il fallait faire ..
                ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                • #23
                  Ce qui fait bouger Tebboune n'est pas la nécessaire d'avoir un vaccin au plus vite pour le peuple Algérien mais le faite que le Maroc va commencer la vaccination d'ici quelques jours,

                  Personnellement, je pense la Chine va lui faire une fleur en donnant à l’Algérie 1 à 2 millions de doses pour marquer un point commercialement et en même temps sauver Tebboune vis à à vis son rival le Maroc.

                  ( simple avis perso)

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                  • #24
                    le Maroc à toutes les sauces.
                    cessez d'être nombriliste. Le monde ne tourne pas autour du Maroc.


                    L'état algérien a montré toute sa nullité dans la gestion de la pandémie. De A jusqu'à Z, c'est zéro pointé.

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                    • #25
                      Bachi,

                      désolé, tu as mal interprété mon avis perso,
                      dormais, je ne vais plus intervenir dans le forum "des actualités Algérie"

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                      • #26
                        c'est un peu tard ,ils ont attendus que le président sorte de réanimation pour lui demander ce qu'il fallait faire ..


                        à l'inverse des grandes puissances qui n'ont pas attendu le premier semestre 2021 pour se décider et lancer leur campagne , comme je te l'avais dit récemment....

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                        • #27
                          Bison futé préfèrerait un retard d'un mois pour juger éventuellement des effets secondaires et de l'efficacité de ces vaccins ! Etant les plus touchés, les Occidentaux doivent être les premiers â être vaccinés.
                          « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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                          • #28
                            Choix du vaccin anti-Covid : Bekkat Berkani dénonce sa mise à l’écart et critique Benbouzid

                            Société Par: Rédaction 22 Déc. 2020 à 11:38

                            L’Algérie accélère les préparatifs pour l’acquisition du vaccin contre la Covid-19, afin d’entamer la vaccination de la population en janvier, comme l’a demandé dimanche le président Tebboune.



                            Ce coup d’accélérateur survient après des semaines de polémique et de cacophonie qui ont révélé les divisions au sein des instances sanitaires en Algérie.


                            Ces tensions qui se sont accentuées ces derniers jours, avant l’intervention de Tebboune, ont plané sur la réunion du Comité scientifique hier mardi sous la présidence du Premier ministre Abdelaziz Djerad.

                            Le Dr Mohamed Bekkat Berkani, qui a tenu un discours critique à l’égard de la démarche du ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid, n’a pas été du coup invité à assister à cette réunion où il a été décidé de choisir une short-list de laboratoires fournisseurs de vaccin anti-Covid.

                            Sur deux thèmes, le Pr Benbouzid a rappelé sèchement à l’ordre le Dr Bekkat Berkani. D’abord sur la gratuité du vaccin et le début de la campagne de vaccination. Le président de l’Ordre des médecins a été le premier à annoncer que le vaccin anti-Covid sera gratuit. Il a été également le premier à dire que la campagne de vaccination pourrait commencer en janvier. Ce que le ministre de la Santé n’a pas apprécié.


                            Dans une déclaration à TSA, le Dr Bekkat Berkani, président de l’Ordre des médecins et membre du Comité scientifique de suivi de l’épidémie de Covid-19, dénonce cette mise à l’écart de la réunion organisée par le Premier ministère afin de discuter de la stratégie vaccinale de l’Algérie. « Il a été dit que le vaccin sera disponible en janvier. Pourquoi ? », s’est demandé le Pr Benbouzid, allusion aux déclarations du Dr Bekkat Berkani.

                            « Nous n’avons encore rien déclaré et nous n’avons pas encore entamé les démarches (pour l’acquisition du vaccin et le lancement de la campagne de vaccination », a tranché le ministre.

                            « Aucun pays ne le fera en janvier. Comment parler de l’Algérie alors que les autres pays (le ministre fait référence aux pays développés, ndlr) n’ont pas annoncé de date ?», avait réagi mercredi 2 décembre le Pr Benbouzid, aux déclarations du Dr Bekkat Berkani sur la gratuité du vaccin.

                            « En tant que président du Comité (scientifique), je ne peux pas avancer que le vaccin sera gratuit, mais je le souhaite », avait-t-il dit le même jour, avant de lâcher : « Nous souhaitons qu’il (le vaccin) sera gratuit mais celui qui dit qu’il le sera doit assumer sa responsabilité ».


                            Mardi, « il y a eu une réunion au niveau du Premier ministère concernant un certain nombre d’acteurs, y compris le Conseil scientifique. J’ai été étonné que le ministre de la Santé ne m’ait pas appelé pour cette réunion », a fait savoir le Dr Bekkat Berkani dans un entretien accordé à TSA.

                            Sans rancune, le Dr Bekkat Berkani approuve les décisions prises lors de cette réunion, en dépit du choix du Pr Benbouzid de le tenir à l’écart, pour des raisons non connues.

                            « Je me tiens solidaire des décisions qui sont prises, parce que mon devoir de médecin d’abord est de trouver une solution qu’elle soit curative ou préventive », a indiqué le président de l’Ordre des médecins, précisant ne pas connaître les raisons de sa mise à l’écart.

                            « Franchement, je ne sais pas pourquoi et je ne veux pas savoir. Ce n’est pas à titre personnel. En excluant le président de l’Ordre des médecins, il attente à ma représentativité », a estimé le Dr Bekkat Berkani, rappelant avoir « été élu il y a fort longtemps et constamment renouvelé dans mon mandat ».


                            « Franchement, je ne sais pas pourquoi et je ne veux pas savoir »
                            « Qu’à cela ne tienne. Ce n’est pas parce que nous avons des divergences de vues concernant ceci ou cela. Ce n’est pas parce que j’ai dit qu’il serait souhaitable de lancer la vaccination en janvier, position confortée par le président de la République, qu’on doit prendre des dispositions comme celles-ci », a laissé entendre le membre du Comité scientifique, rappelant le rôle central de l’Ordre des médecins dans la lutte contre la pandémie.

                            « L’Ordre national des médecins est tenu par des médecins qui ont eu la confiance de leurs collègues, qu’ils soient du secteur public ou privé. Nous avons des élections périodiques. Il faut savoir que nous travaillons dans le bénévolat le plus total, au détriment de notre temps et souvent de notre santé », a souligné le Dr. Bekkat Berkani.

                            Le président de l’Ordre national des médecins a également saisi l’opportunité pour critiquer l’indécision des autorités dans le choix du vaccin contre la maladie à coronavirus, estimant que l’attentisme des autorités a mené au rétrécissement de la marge de manœuvre de l’Algérie.

                            « Quel que soit le vaccin qui est choisi, le marché s’est beaucoup rétréci par notre indécision parce que nous avons marqué des temps d’arrêt en disant que nous attendons tel organisme ou tel autre », a estimé le Dr. Mohamed Bekkat Berkani, allusion aux déclarations du ministre de la Santé sur la stratégie vaccinale de l’Algérie.

                            « La démarche prudentielle, c’est bien, mais quand on est dans une situation de peur et qu’on a des pays dont nos voisins maghrébins qui se sont déterminés dans le choix des vaccins, en Algérie la prudence, c’est jusqu’à quand, comment et dans quelles conditions ? », s’est-il interrogé.

                            « Nous nous sommes contentés d’imposer à notre peuple les gestes barrières qui sont très utiles au demeurant, mais pour trouver une solution définitive, ce sont les vaccins qui sont souverains. Les grands laboratoires ont reçu des commandes d’après nos informations, donc finalement le marché s’est probablement rétréci concernant la disponibilité et la pluralité des vaccins », a déploré le président de l’Ordre des médecins.

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                            • #29
                              Quel est finalement ce vaccin adéquat et aussi en fonction de quoi il sera choisit ?
                              J'espère qu'il ne vont pas ramener un vaccin de l'union européenne ni américain !

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