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Un député de Batna accuse Djerad de rouler pour sa pomme
A1
La Rédaction
22 Décembre 2020
Le député de Batna Hakim Biri a jeté lundi le trouble dans l'hémicycle de l'APN en s'en prenant directement au Premier ministre Abdelaziz Djerad qu'il accuse de "profiter de l'absence du président Tebboune pour mener ce qui ressemble à une campagne présidentielle anticipée".
Dans une lettre adressée au président Tebboune, le parlementaire rappelle que "la situation du pays va de mal en pis, profitant de votre absence pour mener ce qui ressemble à une campagne présidentielle anticipée pour son propre compte.
Raison pour laquelle le député suggère au président, à son retour au pays, de procéder "à un changement profond du Gouvernement".
Le député de Batna s'est par ailleurs fait l'écho dans l'hémicycle de la colère des citoyens, suite au blocage de la route pendant plusieurs heures, engendrant, lors de sa visite à Médéa des embouteillages monstres, des milliers de personnes bloquées dans leurs véhicules, ne pouvant aller ni à leur travail, ni rejoindre leurs domiciles, ni faire leurs courses, considérant la chose comme "une persistance des vieilles pratiques incompatibles avec l'ambition de l'Algérie nouvelle".
A1
La Rédaction
22 Décembre 2020
Le député de Batna Hakim Biri a jeté lundi le trouble dans l'hémicycle de l'APN en s'en prenant directement au Premier ministre Abdelaziz Djerad qu'il accuse de "profiter de l'absence du président Tebboune pour mener ce qui ressemble à une campagne présidentielle anticipée".
Dans une lettre adressée au président Tebboune, le parlementaire rappelle que "la situation du pays va de mal en pis, profitant de votre absence pour mener ce qui ressemble à une campagne présidentielle anticipée pour son propre compte.
Raison pour laquelle le député suggère au président, à son retour au pays, de procéder "à un changement profond du Gouvernement".
Le député de Batna s'est par ailleurs fait l'écho dans l'hémicycle de la colère des citoyens, suite au blocage de la route pendant plusieurs heures, engendrant, lors de sa visite à Médéa des embouteillages monstres, des milliers de personnes bloquées dans leurs véhicules, ne pouvant aller ni à leur travail, ni rejoindre leurs domiciles, ni faire leurs courses, considérant la chose comme "une persistance des vieilles pratiques incompatibles avec l'ambition de l'Algérie nouvelle".
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