A la suite des révélations d’Algérie Part, un lieu d’exploitation sexuelle et de proxénétisme fermé à Alger
ALGERIEPART PLUS
30 DECEMBER 2020
Les services de la wilaya d’Alger et les services de sécurité ont finalement donné raison aux révélations faites par Algérie Part sur l’hôtel Normandie Beach, situé à Palm Beach, dans la localité balnéaire de Staoueli. Cet établissement qui abritait un large trafic d’exploitation sexuelle et de proxénétisme véreux a été contraint finalement à la fermeture par les autorités publiques la semaine passée comme le démontrent les photos en notre possession.
L’enquête diligentée par la Rédaction d’Algérie Part a incité les services de la wilaya d’Alger à sévir contre cet établissement où des jeunes filles originaires des 4 coins de l’Algérie étaient victimes d’une véritable traite organisée par des réseaux de banditisme et de proxénétisme. La fermeture de cet établissement hôtelier est un véritable coup dur pour ces réseaux criminels qui accumulent des fortunes considérables sur le dos de jeunes prostituées exploitées et menacées par des proxénètes dangereux.
Algérie Part avait révélé lors de son enquête sur cette affaire que les recettes de ces réseaux par jour est de 600 000 DA x30 jours= 18 000 000 DA par mois. Tout cet argent profite à des proxénètes qui ne cessent de s’enrichir en complicité avec les propriétaires des hôtels comme celui appartenant à “Boualem Heineken”. Ce dernier, de son vrai nomHafsi Boualem, est en fuite en France depuis plusieurs mois à la suite des poursuites judiciaires dont il fait l’objet en Algérie pour des de lourdes ardoises d’impôts impayés.
L’enquête publié récemment par Algérie Part avait révélé également que les gendarmes étaient particulièrement au courant du proxénétisme qui se développait dans plusieurs hôtels de Palm Beach. En pleine crise sanitaire du coronavirus COVID-19, la prostitution continuait de battre son plein et les proxénètes exploitent des filles infortunées dans des conditions inhumaines et scandaleuses.
Durant la nuit du 19/11/2020, des éléments de la brigade de la gendarmerie de Palm Beach perquisitionnent 2 villas situées en face de l’hôtel Normandie Beach pour traquer les réseaux de la Prostitution. Comme par hasard, les gendarmes n’agissent jamais contre l’établissement de leur allié et ami “Boualem Heineken”. Et pour cause, plusieurs sources attestent que ce dernier verse l’équivalent de 600 000 DA par mois à l’adjudant Tamar Aissani pour “acheter son silence” et l’associer à un véritable trafic de prostitution. C’est pour cette raison que l’hôtel Normandie Beach était bien protégé par la brigade de la gendarmerie locale de Palm Beach… Jusqu’à ce que le scandale éclate au grand jour grâce aux révélations d’Algérie Part.
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30 DECEMBER 2020
Les services de la wilaya d’Alger et les services de sécurité ont finalement donné raison aux révélations faites par Algérie Part sur l’hôtel Normandie Beach, situé à Palm Beach, dans la localité balnéaire de Staoueli. Cet établissement qui abritait un large trafic d’exploitation sexuelle et de proxénétisme véreux a été contraint finalement à la fermeture par les autorités publiques la semaine passée comme le démontrent les photos en notre possession.
L’enquête diligentée par la Rédaction d’Algérie Part a incité les services de la wilaya d’Alger à sévir contre cet établissement où des jeunes filles originaires des 4 coins de l’Algérie étaient victimes d’une véritable traite organisée par des réseaux de banditisme et de proxénétisme. La fermeture de cet établissement hôtelier est un véritable coup dur pour ces réseaux criminels qui accumulent des fortunes considérables sur le dos de jeunes prostituées exploitées et menacées par des proxénètes dangereux.
Algérie Part avait révélé lors de son enquête sur cette affaire que les recettes de ces réseaux par jour est de 600 000 DA x30 jours= 18 000 000 DA par mois. Tout cet argent profite à des proxénètes qui ne cessent de s’enrichir en complicité avec les propriétaires des hôtels comme celui appartenant à “Boualem Heineken”. Ce dernier, de son vrai nomHafsi Boualem, est en fuite en France depuis plusieurs mois à la suite des poursuites judiciaires dont il fait l’objet en Algérie pour des de lourdes ardoises d’impôts impayés.
L’enquête publié récemment par Algérie Part avait révélé également que les gendarmes étaient particulièrement au courant du proxénétisme qui se développait dans plusieurs hôtels de Palm Beach. En pleine crise sanitaire du coronavirus COVID-19, la prostitution continuait de battre son plein et les proxénètes exploitent des filles infortunées dans des conditions inhumaines et scandaleuses.
Durant la nuit du 19/11/2020, des éléments de la brigade de la gendarmerie de Palm Beach perquisitionnent 2 villas situées en face de l’hôtel Normandie Beach pour traquer les réseaux de la Prostitution. Comme par hasard, les gendarmes n’agissent jamais contre l’établissement de leur allié et ami “Boualem Heineken”. Et pour cause, plusieurs sources attestent que ce dernier verse l’équivalent de 600 000 DA par mois à l’adjudant Tamar Aissani pour “acheter son silence” et l’associer à un véritable trafic de prostitution. C’est pour cette raison que l’hôtel Normandie Beach était bien protégé par la brigade de la gendarmerie locale de Palm Beach… Jusqu’à ce que le scandale éclate au grand jour grâce aux révélations d’Algérie Part.
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