Champion de judo,hier vendeur de fruits aujourd'hui.
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Malheureusement, on ne peut avoir à l'esprit qu'un seul mot: le gâchis. Chez nous, on ne sait pas construire sur l'acquis. On préfère le démolir pour ne jamais quitter la zone zéro.
Cela n'est pas valable que dans le sport. C'est dans tous les domaines où on exerce sa spécialité: la technique du panier aux crabes où, dès qu'il y en a un qui essaie de quitter le panier, tous les autres lui tombent dessus pour le ramener à terre.
J'ai vécu ça avec un de mes propres fils qui est très fort dans son sport (je ne dirai pas lequel pour ne pas pointer du doigt une fédération en particulier, même si c'est partout pareil). Donc, vu que le fiston joue principalement en France et que son coach est franco dz, on lui propose de jouer pour l'Algérie.
Très enthousiaste, le fiston ne demandait pas mieux mais quand il a été sur place, il a tenu un mois. Le principal obstacle, c'est qu'il était parmi les meilleurs (si pas le meilleur) mais surtout il était pratiquement étranger puisque seul son père était algérien et qu'il ne parlait pas l'arabe mkarfez qu'on pratique en Algérie.
Résultat: une catastrophe totale dans l'esprit de mes enfants concernant le pays natal de leur père ......... avec des conséquences certaines qui me font dire que j'aurais dû me casser une jambe le jour où, enthousiaste moi aussi, j'ai donné mon accord au président de cette fédération !Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain
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Anzoul
je te propose d'aller voir Amar Benikhlef et de le lui dire en face!
mais avant dis adieu a tes proches"L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand
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