24 février 2021
Le 2ème anniversaire du Hirak populaire, béni et authentique, ce 22 février, décrété par le président de la République « Journée nationale de la fraternité et de la cohésion Peuple-Armée pour la démocratie », a été célébré à Alger et dans d’autres villes du pays à travers des marches de citoyens scandant des slogans à la gloire de l’unité de l’Algérie et la cohésion Peuple-Armée.
Une réalité que ne veulent pas admettre les résidus de la Issaba, ayant pendant de longues années, fait de l’Algérie, le pays de tous les interdits.
Certaines voix sont allés, selon beaucoup d’analystes, jusqu’à dire (ou faire croire) que le président Tebboune, serait « le seul perdant » du retour des protestations pacifiques populaires à travers nos villes et contrées.
Non seulement, les habitués de la pêche dans les eaux troubles, décrypte El Djazaïr El youm, dans un édito, se frottent les mains « se félicitant » du fait que « l’ANP se soit enfin libérée de la mainmise de son ancien chef d’état-major, vice ministre de la Défense nationale Ahmed Gaïd Salah », décédé en décembre dernier, alors que d’autres ont tout simplement appelé l’institution militaire à mettre un terme à l’actuel mandat du président Tebboune, donc un coup d’état militaire.
Pourtant « la grande muette » ne l’est plus.
En exprimant publiquement son refus d’endosser davantage ce qualificatif, l’ANP formule, clairement, comme souvent souligné, son intention de se conformer à ses prérogatives constitutionnelles et à ses missions historiques dans un contexte où il serait préférable pour tout le monde que les choses soient appelées par leurs noms.
Elle le dit haut et fort en utilisant une argumentation de haute portée intellectuelle qui n’accepte aucune complaisance linguistique, banale soit-elle.
En exigeant qu’elle soit désormais appelée par son nom, l’Armée nationale populaire ne pose pas uniquement un problème d’ordre générique ou d’état civil, sans jeu de mots.
Elle répond aussi à des exigences objectives imposées par un environnement régional «chahuté » par les « malentendus » volontaires et les interprétations orientées.
« L’ANP est une Armée qui connait ses limites, voire le cadre de ses missions constitutionnelles, qui ne peut en aucun cas être mêlée aux enchevêtrements des partis et des politiques, ou être immiscée dans des conflits qui ne la concernent ni de près ni de loin ». Combien de fois faudrait-il réécrire ce passage ? Autant que veulent les semeurs de troubles.
« Grâce à Dieu et aux efforts de ses loyaux fils, l’Algérie a pu contrer les divers plans ciblant sa stabilité et son unité, dont l’exécution a été confiée à certains pays sous le pilotage de l’entité sioniste », pour paraphraser un collègue.
L’acharnement des ennemis de l’Algérie à nier ces réalités éloquentes devient vain face à la grandeur de l’Algérie, la force de ses enfants et la détermination de ses dirigeants à donner à l’Algérie nouvelle la place qui lui sied dans le concert des Nations.
La Patrie News
Le 2ème anniversaire du Hirak populaire, béni et authentique, ce 22 février, décrété par le président de la République « Journée nationale de la fraternité et de la cohésion Peuple-Armée pour la démocratie », a été célébré à Alger et dans d’autres villes du pays à travers des marches de citoyens scandant des slogans à la gloire de l’unité de l’Algérie et la cohésion Peuple-Armée.
Une réalité que ne veulent pas admettre les résidus de la Issaba, ayant pendant de longues années, fait de l’Algérie, le pays de tous les interdits.
Certaines voix sont allés, selon beaucoup d’analystes, jusqu’à dire (ou faire croire) que le président Tebboune, serait « le seul perdant » du retour des protestations pacifiques populaires à travers nos villes et contrées.
Non seulement, les habitués de la pêche dans les eaux troubles, décrypte El Djazaïr El youm, dans un édito, se frottent les mains « se félicitant » du fait que « l’ANP se soit enfin libérée de la mainmise de son ancien chef d’état-major, vice ministre de la Défense nationale Ahmed Gaïd Salah », décédé en décembre dernier, alors que d’autres ont tout simplement appelé l’institution militaire à mettre un terme à l’actuel mandat du président Tebboune, donc un coup d’état militaire.
Pourtant « la grande muette » ne l’est plus.
En exprimant publiquement son refus d’endosser davantage ce qualificatif, l’ANP formule, clairement, comme souvent souligné, son intention de se conformer à ses prérogatives constitutionnelles et à ses missions historiques dans un contexte où il serait préférable pour tout le monde que les choses soient appelées par leurs noms.
Elle le dit haut et fort en utilisant une argumentation de haute portée intellectuelle qui n’accepte aucune complaisance linguistique, banale soit-elle.
En exigeant qu’elle soit désormais appelée par son nom, l’Armée nationale populaire ne pose pas uniquement un problème d’ordre générique ou d’état civil, sans jeu de mots.
Elle répond aussi à des exigences objectives imposées par un environnement régional «chahuté » par les « malentendus » volontaires et les interprétations orientées.
« L’ANP est une Armée qui connait ses limites, voire le cadre de ses missions constitutionnelles, qui ne peut en aucun cas être mêlée aux enchevêtrements des partis et des politiques, ou être immiscée dans des conflits qui ne la concernent ni de près ni de loin ». Combien de fois faudrait-il réécrire ce passage ? Autant que veulent les semeurs de troubles.
« Grâce à Dieu et aux efforts de ses loyaux fils, l’Algérie a pu contrer les divers plans ciblant sa stabilité et son unité, dont l’exécution a été confiée à certains pays sous le pilotage de l’entité sioniste », pour paraphraser un collègue.
L’acharnement des ennemis de l’Algérie à nier ces réalités éloquentes devient vain face à la grandeur de l’Algérie, la force de ses enfants et la détermination de ses dirigeants à donner à l’Algérie nouvelle la place qui lui sied dans le concert des Nations.
La Patrie News
Commentaire