Très fier a été l’ambassadeur du Canada à Alger, M. Robert Peck, d’annoncer que le premier vol direct reliant l’Algérie à l’Amérique du Nord se fait avec son pays, le Canada.
En effet, le premier vol inaugural de la nouvelle liaison aura lieu le 15 juin prochain. M. Peck qui tenait, dimanche dernier, un point de presse à bord du Global 5000, dernière performance de l’avionneur canadien Bombardier, sur le tarmac de l’aéroport Houari Boumediene, a indiqué que c’est «après beaucoup de travail et d’attente qu’Air Algérie commencera les premiers vols directs Alger- Montréal tous les mardis et vendredis sur un Airbus 330».
Avec une communauté algéro-canadienne qui s’élève à «50 000 personnes, cela va énormément faciliter les déplacements pour les familles, mais aussi pour la communauté d’affaires et on pourra facilement quitter Alger pour se retrouver, huit heures après, à Montréal». Et c’est à bord d’un Global Express de l’avionneur civil canadien, Bombardier que M. Peck fait remarquer que c’est là «un symbole très fort du rapprochement de nos deux pays». Un rapprochement qui se trouve boosté, rappelons-le, par la première visite d’Etat, en novembre dernier, de la gouverneure générale du Canada, même si les relations ont de tout temps été excellentes y compris au plus fort du terrorisme, ce qui fait dire à M. Peck que nos deux pays ont plusieurs points en commun qui appellent à plus d’efforts pour un meilleur rapprochement, car «l’Algérie est davantage sur les radars canadiens […] Nous partageons la langue française, nous avons de grands pays et de longues distances». Une remarque qui suggère tous les avantages et la haute technologie réunis dans le Global Express 5000 et le Challenger 850, présentés dimanche à la presse nationale à la faveur de la participation canadienne à la Foire internationale d’Alger. Des jets d’affaires dont la compagnie Tassili Air Lines s’est déjà dotée avec huit appareils en deux ans. M. Peck a indiqué à ce sujet que «ces huit avions turbopropulseurs vont former le noyau de Tassili Air Lines et peuvent s’adapter à des climats extrêmes.
Au froid du Canada comme à la chaleur de l’Algérie», faisant remarquer au passage que ces appareils se distinguent par une très haute technologie, tel que nous avons pu le constater de visu lors de notre visite. Avec une autonomie de onze heures de vol et une vitesse qui peut atteindre les 900 km/h, l’appareil offre également un certain nombre de fonctions et d’options télécommandées pour des ambiances à la fois apaisantes et pratiques pour le public ciblé que sont les milieux d’affaires et diplomatiques. Il s’agit de la possibilité de rester connecté à Internet, de pouvoir envoyer et recevoir des fax et d’être aussi joignable par téléphone durant les 11 heures de vol, la possibilité aussi de pouvoir passer une nuit paisible sur des divans très confortables. En un mot, rien ne vous donne l’impression d’être dans un avion, mais plutôt chez vous ou dans un bureau de travail.
A l’occasion de l’annonce de la participation canadienne à la Foire internationale d’Alger, qui s’ouvre du 2 au 7 juin prochain à la Safex, M. Peck a fait remarquer lors de ce point de presse «la diversité des compagnies, notamment celles offrant le transfert d’un savoir-faire nord-américain dont l’Algérie a soif» et que, via la langue française, le Canada constitue vraiment une porte d’entrée aux Algériens pour ce savoir-faire. A citer sur ce chapitre «les derniers succès réalisés avec des compagnies comme Galaxia Technologies avec ses WIMAX en partenariat avec Algérie Télécom qui va former de jeunes Algériens pour créer jusqu’à 100 emplois, et ce n’est que le début», se félicite M. Peck.
De son côté, M. Pierre Broder, secrétaire général du Club Business algéro-canadien, créé en octobre dernier, a indiqué que la nouvelle structure qu’il représente est une nécessité pour accompagner les entreprises canadiennes installées déjà en Algérie ou celles nombreuses qui le seront dans le futur, mais aussi pour des compagnies algériennes qui souhaitent développer leurs liens avec le Canada.
Par La Tribune
En effet, le premier vol inaugural de la nouvelle liaison aura lieu le 15 juin prochain. M. Peck qui tenait, dimanche dernier, un point de presse à bord du Global 5000, dernière performance de l’avionneur canadien Bombardier, sur le tarmac de l’aéroport Houari Boumediene, a indiqué que c’est «après beaucoup de travail et d’attente qu’Air Algérie commencera les premiers vols directs Alger- Montréal tous les mardis et vendredis sur un Airbus 330».
Avec une communauté algéro-canadienne qui s’élève à «50 000 personnes, cela va énormément faciliter les déplacements pour les familles, mais aussi pour la communauté d’affaires et on pourra facilement quitter Alger pour se retrouver, huit heures après, à Montréal». Et c’est à bord d’un Global Express de l’avionneur civil canadien, Bombardier que M. Peck fait remarquer que c’est là «un symbole très fort du rapprochement de nos deux pays». Un rapprochement qui se trouve boosté, rappelons-le, par la première visite d’Etat, en novembre dernier, de la gouverneure générale du Canada, même si les relations ont de tout temps été excellentes y compris au plus fort du terrorisme, ce qui fait dire à M. Peck que nos deux pays ont plusieurs points en commun qui appellent à plus d’efforts pour un meilleur rapprochement, car «l’Algérie est davantage sur les radars canadiens […] Nous partageons la langue française, nous avons de grands pays et de longues distances». Une remarque qui suggère tous les avantages et la haute technologie réunis dans le Global Express 5000 et le Challenger 850, présentés dimanche à la presse nationale à la faveur de la participation canadienne à la Foire internationale d’Alger. Des jets d’affaires dont la compagnie Tassili Air Lines s’est déjà dotée avec huit appareils en deux ans. M. Peck a indiqué à ce sujet que «ces huit avions turbopropulseurs vont former le noyau de Tassili Air Lines et peuvent s’adapter à des climats extrêmes.
Au froid du Canada comme à la chaleur de l’Algérie», faisant remarquer au passage que ces appareils se distinguent par une très haute technologie, tel que nous avons pu le constater de visu lors de notre visite. Avec une autonomie de onze heures de vol et une vitesse qui peut atteindre les 900 km/h, l’appareil offre également un certain nombre de fonctions et d’options télécommandées pour des ambiances à la fois apaisantes et pratiques pour le public ciblé que sont les milieux d’affaires et diplomatiques. Il s’agit de la possibilité de rester connecté à Internet, de pouvoir envoyer et recevoir des fax et d’être aussi joignable par téléphone durant les 11 heures de vol, la possibilité aussi de pouvoir passer une nuit paisible sur des divans très confortables. En un mot, rien ne vous donne l’impression d’être dans un avion, mais plutôt chez vous ou dans un bureau de travail.
A l’occasion de l’annonce de la participation canadienne à la Foire internationale d’Alger, qui s’ouvre du 2 au 7 juin prochain à la Safex, M. Peck a fait remarquer lors de ce point de presse «la diversité des compagnies, notamment celles offrant le transfert d’un savoir-faire nord-américain dont l’Algérie a soif» et que, via la langue française, le Canada constitue vraiment une porte d’entrée aux Algériens pour ce savoir-faire. A citer sur ce chapitre «les derniers succès réalisés avec des compagnies comme Galaxia Technologies avec ses WIMAX en partenariat avec Algérie Télécom qui va former de jeunes Algériens pour créer jusqu’à 100 emplois, et ce n’est que le début», se félicite M. Peck.
De son côté, M. Pierre Broder, secrétaire général du Club Business algéro-canadien, créé en octobre dernier, a indiqué que la nouvelle structure qu’il représente est une nécessité pour accompagner les entreprises canadiennes installées déjà en Algérie ou celles nombreuses qui le seront dans le futur, mais aussi pour des compagnies algériennes qui souhaitent développer leurs liens avec le Canada.
Par La Tribune
Commentaire