Le nucléaire en Algérie, je pense pas que ça soit pour maintenant , imaginez un attentat dans les centrales et les conséquences désastreuses qui en découleraient. Exterminons la vermine avant de réfléchir à utiliser le nucléaire ....
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L'Algérie et l'arme nucléaire
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je pense que l'Algérie doit se lancer dans son projet de developpement des technologies spaciales avant d'entamer un tel projet de nucléaire militaire .
l'arme nucléaire son missile de longue porté ( voir intercontinental ) , sera pas éfficace pour s'imposer comme un poids stratégique .
le developpment des technologies spacialles , va permettre à l'ANP de faire face à l'espionage Israëlien ou autres !
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Cet atout technologique israélien devait donner un avantage stratégique sur l’Iran, mais aussi sur d’autres pays arabes. Israël semble vouloir envoyer un message à tous les états arabes considérés comme “hostiles”.
Lancé le 25 avril dernier, le satellite espion israélien Eros B, troisième satellite militaire de l’état hébreu, devait initialement se focaliser sur les installations nucléaires iraniennes. Or, selon le quotidien israélien Maariv, l’agence Imagesat International, filiale des industries aéronautiques militaires israéliennes, a diffusé de nombreuses photos émises cette semaine, plusieurs sites considérés comme sensibles dans les pays arabes, dont l’Algérie, ont été capturés par les caméras à haute résolution.
Que cherche Israël en diffusant des images satellites sur les sites algériens ? à son lancement de la rampe russe en Sibérie, les militaires israéliens, dont le ministre de la défense, Shaoul Mofaz, ont clairement indiqué que ce satellite espion Eros B — troisième satellite après Eros A et Ofek 1, 2 et 3 — devait permettre au gouvernement israélien de surveiller de plus près (le satellite peut prendre des photos d’objets pas plus grands que 70 centimètres), les installations nucléaires iraniennes soumises, déjà, au suivi étroit de la NSA américaine et de l’AIEA.
Cet atout technologique israélien devait donner un avantage stratégique sur l’Iran, mais aussi sur d’autres pays arabes. En diffusant les images, Israël semble vouloir envoyer un message à tous les états arabes considérés comme “hostiles”. Ainsi, le satellite-espion, d’Israël Aircraft Industries, une société d’état israélien, a balancé des images de sites aussi divers que le barrage de Tabka, le plus grand pourvoyeur d’électricité de Syrie, l’aéroport militaire de Kassala, au Soudan, d’où s’envolent les hélicoptères soudanais qui survolent le Darfour ou encore des photos de bases aériennes ou de ports comme celui de Skikda en Algérie !
Ce n’est pas la première fois qu’Israël tente de provoquer les états arabes en diffusant des images satellites démontrant sa supériorité technologique sur les Arabes, mais avec le lancement du satellite Eros, une nouvelle phase a été franchie, puisque le contexte de crise avec l’Iran suppose que ces images ont une utilité opérationnelle et des applications strictement militaires. D’ailleurs, Israël ne cache pas son intention de bombarder les sites nucléaires iraniens.
L’utilisation de ce genre d’images contre l’Algérie a déjà eu lieu à deux reprises. D’abord, suite aux déclarations des services secrets britanniques du MI6 qui ont diffusé dans les médias anglais les images du réacteur civil algérien d’Aïn Ousséra, Essalam, qu’ils ont tenté de faire passer pour un réacteur militaire afin de contrarier la coopération nucléaire entre l’Algérie et la Chine.
Les inspections répétées de l’AIEA sur le site de Djelfa avaient démenti toutes ces allégations qui sont reprises, de temps à autre, par les Marocains pour justifier la relance de leur propre programme nucléaire.
Ensuite, lors de l’affaire de Bentalha, lorsque des sources probablement étatiques ont donné à une chaîne de télévision française des images satellites de la région de Bentalha lors du massacre de 1997, prises par le satellite espion français Spot.
Ces images visaient à faire accréditer la thèse de déplacement de troupes algériennes lors du massacre pour faire croire que l’armée n’a pas assisté les civils et n’a pas mis les moyens pour organiser la défense. Sur ce dossier-là, les témoignages des “émirs” du GIA avaient contredit cette manipulation.
Mais cette fois-ci, ce sont les Israéliens qui s’y mettent. En choisissant le port de Skikda, un des plus grands pôles pétroliers du pays, Tel-Aviv veut probablement insinuer qu’elle est en mesure de suivre de très près l’évolution des ressources énergétiques stratégiques de l’Algérie.
Alors que le satellite devait prendre quelques jours pour être opérationnel, les médias israéliens diffusent, 5 jours après, des images d’une haute qualité comme pour narguer les états arabes hostiles à sa politique.
Cette volonté de superpuissance a été vivement critiquée dans les médias arabes qui exhortent les états de la Ligue arabe à riposter sous la forme d’un projet interarabe visant à prendre également des images d’Israël.
L’idée est judicieuse, mais son application pourrait tourner à la catastrophe comme ce fut le cas d’Arabsat. Il faut dire que les États-Unis veillent au grain dès qu’il s’agit de la sécurité d’Israël et mettraient leur veto à toute entreprise de ce type qui nécessite une technologie de pointe, car seuls 8 pays peuvent envoyer des satellites dans l’espace (les États-Unis, la Russie, l’Angleterre, le Japon, l’Inde, la France et la Chine)
http://www.algerie-dz.com/forums/sho...49&postcount=1
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Je pense qu'il y a d'autres priorités que celle de l'armement nucléaire...mais bon, ca n'est pas le sujet!
Pour ce qui est de l'arme nucléaire, pourquoi pas! a condition qu'elle soit entre des mains résponsables !Dernière modification par kikoz, 19 juin 2007, 17h59.kikoz un jour, koz toujours.
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Droit
Moi j'ai vote oui, sans hesitation !
Non pas que j'aimerais qu'on possede l'arme nucleaire dans l'immediat ni meme qu'on lance un projet du genre, mais par principe on doit se reserver ce droit si jamais l'envie ou le besoin se pointait un jour ; je n'accepte pas que les "autres" s'arrogent un droit qui me serait defendu !
No Way !"L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]
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Aprés hésitation,j'ai voté OUI.
J'ai hésité parce que le cout d'entretien de l'armement nucléaire revient trés cher.
En France par exemple,il absorbe 10% du budget défense.
D'un autre coté je me dis que la liberté n'a pas de prix et elle a un cout;
on voit bien que les américains ne s'attaquent qu'aux pays qui ne possedent pas l'arme nucléaire.
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L'algérie de part son histoire révolutionnaire et ses positions pour la liberté et l'égalité des peuples devrait militer pour la "dénucléairisation" totale de la planète. C'est vrai, c'est un combat presque utopique vu la nature guerrière de l'homme et je vous entends déja me dire que je suis naif et que le monde est cruel et qu'il est ainsi fait ! mais le monde c'est ce qu'on en fait... dailleur c'est l'idéal même de notre noble religion l'slam (que beaucoup oublient).
La meilleur façon de se prémunir pour l'avenir c'est le developement durable. La guerre c'est moche vraiment moche.
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Je dis oui, si nous aurons les moyens un jour. Les faucons etaient obligés de negocier avec un pays en famine (la Corée du nord). Ils n´ont pas osé attaquer ce petit pays, car ils savent bien qu´il a l´arme nucleaire.“Tout le monde fait des bêtises. Le fin du fin, c'est de les faire au moment où personne ne regarde.”
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A mon avis prendre fait et cause pour l'arme nucléaire serait une erreur politique grave pour plusieurs raisons :
-L'algérie n'a pas besoin de capacités nucléaires militaires mais plutôt civiles.
-En cas d'option militaire l'algérie perdra ses soutiens internationnaux et ne profitera pas de l'aide de l'AIEA comme aujourd'hui.
-Il ne faut pas oublier la dangerosité du nucléaire pour l'homme et la nature d'où la necessité de bien maitriser cette technique.
-Notre pays est observé à la loupe et surveillé par des pays (y compris limitrophes), des organisations internationales et des lobbys malsains.
-L'option militaire signifierait aussi une escalade et même les pays européens du sud ne seraont pas contents.
Etc.......Dernière modification par TouKo, 20 juin 2007, 16h46.
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-En cas d'option militaire l'algérie perdra ses soutiens internationnaux et ne profitera pas de l'aide de l'AIEA
Mais qu'en est-il du devoir?
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L'Algérie doit-elle défendre son droit à la technologie nucléaire militaire ?
Logiquement "Oui", mais il est trop tôt pour chercher a développer cette technologie à des fins militaire. Il serait nécessaire de revendiquer d'abord notre droit à développer cette technologie à des fins civils et de recherche, comme ça dans l'apparence on sera dans la "légalité" internationale, mais on gardera une veille technologique dans ce domaine.
L'Algérie est un pays sous-développé, il faut penser d'abord à le développer dans bien des domaines bien plus prioritaires, à former des groupes régionaux stratégiques comme le Maghreb, le monde arabo-musulman, etc. Et ce n'est pas le moment pour se mettre en conflit avec le monde occidental développé.
Ma réponse est Non. (pour le moment)
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Biensûr, l'idée n'est pas de se précipiter, car un programme nucléaire demande un investissement très lourd que notre économie ne saurait supporter actuellement. Notre économie doit d'abord pouvoir générer un PIB d'au moins 400 à 500 milliards $/an avant de pouvoir envisager une telle "aventure".
Mais sur le principe, je pense que l'Algérie a le droit de maîtriser la technonologie nucléaire y compris à des fins militaires. Sur la base de critères subjectifs, certains pays occidentaux s'estiment être les seuls qui méritent ce "privilège" et se permettent de menacer quiconque tente de s'y aventurer...
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@ Nassim & Harrachi,
Ce n'est pas uniquement un problème économique, même si l'Algérie devient subitement un pays comme les émirates, le problème reste géopolitique. Pour faire face à des occidentaux qui font corps, il faut rechercher les regroupements géostratégiques. L'unification des pays du Maghreb est plus qu'une nécessaire, je parle d'une unification totale. Cela peut paraître naïf, mais pas plus qu'un soit disant programme nucléaire Algérien !
Sinon, pourquoi ne pas lancer une vraie industrie militaire conventionnelle ou encore "libérer" l'industrialisation du pays ?
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