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A propos du BEM, le président de la République a critiqué la méthode de passage au lycée, en révélant une anomalie en vigueur dans le système éducatif qui consiste en l’exigence de la réussite au brevet d’enseignement moyen (BEM) pour le passage aux classes supérieures, et cela en marge de son inauguration d’un lycée de 800 places dans la commune de Ouricia, daïra de Aïn Arnat à Sétif. Cette méthode qui empêche le passage au lycée d’élèves ayant obtenu pourtant des moyennes élevées au cours de l’année mais qui ont échoué au BEM, a été violemment critiquée par le président Bouteflika. «C’est une injustice qu’il faut réparer», s’est écrié le président de la République devant les responsables du secteur de l’éducation, en relevant l’anomalie qui consiste à exiger l’obtention du diplôme du BEM comme condition sine qua non pour le passage au lycée des élèves de l’enseignement moyen, en dépit du fait qu’ils aient eu un 12 de moyenne durant l’année scolaire.
Le président Bouteflika demandera aux responsables du secteur d’adopter les deux méthodes en même temps, tout en procédant à une équivalence des coefficients entre l’examen et les notes obtenues par l’élève durant l’année scolaire pour le passage au lycée. Bouteflika s’est demandé quelles sont les raisons qui ont poussé les responsables du secteur à adopter une telle méthode, qui invalide nombre d’élèves ayant réussi un bon cursus durant l’année et à donner de l’importance à un diplôme (le BEM), alors qu’il n’ouvre droit à aucune spécialité ni à aucune formation qui permette d’accéder au monde du travail.
source : la tribune
Le président Bouteflika demandera aux responsables du secteur d’adopter les deux méthodes en même temps, tout en procédant à une équivalence des coefficients entre l’examen et les notes obtenues par l’élève durant l’année scolaire pour le passage au lycée. Bouteflika s’est demandé quelles sont les raisons qui ont poussé les responsables du secteur à adopter une telle méthode, qui invalide nombre d’élèves ayant réussi un bon cursus durant l’année et à donner de l’importance à un diplôme (le BEM), alors qu’il n’ouvre droit à aucune spécialité ni à aucune formation qui permette d’accéder au monde du travail.
source : la tribune
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