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Une seule question que le gouvernement devrait se poser, combien d'Algériens y a t-il en Irak ? Quels sont les précautions à prendre à leur retour ? Et comment et quoi faire pour arrêter la filière qui continue d'alimenter l'Irak en Bombe humaine ?
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De sources très au fait des milieux terroristes, l’on apprend qu’un certain A. Rabah, âgé d’une trentaine d’années et natif de Lakhdaria, serait rentré d’Irak où il activait dans le réseau Al Qaïda en pays de Mésopotamie et a aussitôt rejoint dans sa région natale, la phalange El Farouk dirigée par l’“émir” Ahmed Dekmir et affiliée au GSPC devenu depuis quelque temps, Al Qaïda Maghreb. D’après ces sources, le terroriste A.
Rabah n’était pas fiché chez les services de sécurité et n’était pas recherché.
Ce n’est qu’à la faveur d’un appel téléphonique que A. Rabah aurait donné à son frère, agent de la Protection civile et dans lequel il lui faisait état de son voyage en Irak et de sa nouvelle mission en Algérie et spécialement dans la circonscription de Bouira, à savoir former de nouvelles recrues dans la guérilla urbaine et dans des opérations kamikazes, et préparer des opérations kamikazes dans la région, que les services de sécurité se sont rendus compte de ce terroriste. Arrêté, le frère de Rabah sera présenté au juge et mis sous mandat de dépôt pour non-dénonciation de terroriste et affiliation à une organisation terroriste.
Par ailleurs, et toujours dans le sillage de ces révélations, les services de sécurité, qui se sont mis en alerte maximale depuis le fameux coup de téléphone, ont enregistré la montée au maquis de quatre adolescents âgés de moins de 18 ans et natifs de Lakhdaria. Ce qui confirme l’information selon laquelle la nouvelle mission de ce revenant d’Irak serait bien de former des jeunes recrues aux attentats kamikazes. Aussi, depuis ces fameuses informations, les services de sécurité se sont redéployés à travers plusieurs régions de la wilaya ; des endroits susceptibles d’abriter des camps d’entraînement de terroristes font l’objet de surveillance particulière de la part des éléments de l’ANP appuyés par ceux de la BMPJ et des patriotes.
Au sujet de patriotes, depuis vendredi dernier après la mort de deux éléments suite à l’explosion d’une bombe au passage de leur patrouille chargée de la surveillance du gazoduc Hassi R’mel-Cap Djinet, la région de Beggas est le théâtre d’une vaste opération de ratissage à la recherche des terroristes auteurs de cet attentat mais aussi la cache probable des terroristes de la phalange El Farouk qui s’est renforcée avec de nouvelles recrues à peine sorties de l’adolescence, et donc facilement endoctrinables pour devenir des bombes humaines prêtes à exploser là où les sbires de Droudkal, l’“émir” national du GSPC qui vient de prouver son allégeance et son affiliation indéniable avec Al Qaïda d’Oussama Ben Laden.
27 juin 2007. Le Soir D'Algérie
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De sources très au fait des milieux terroristes, l’on apprend qu’un certain A. Rabah, âgé d’une trentaine d’années et natif de Lakhdaria, serait rentré d’Irak où il activait dans le réseau Al Qaïda en pays de Mésopotamie et a aussitôt rejoint dans sa région natale, la phalange El Farouk dirigée par l’“émir” Ahmed Dekmir et affiliée au GSPC devenu depuis quelque temps, Al Qaïda Maghreb. D’après ces sources, le terroriste A.
Rabah n’était pas fiché chez les services de sécurité et n’était pas recherché.
Ce n’est qu’à la faveur d’un appel téléphonique que A. Rabah aurait donné à son frère, agent de la Protection civile et dans lequel il lui faisait état de son voyage en Irak et de sa nouvelle mission en Algérie et spécialement dans la circonscription de Bouira, à savoir former de nouvelles recrues dans la guérilla urbaine et dans des opérations kamikazes, et préparer des opérations kamikazes dans la région, que les services de sécurité se sont rendus compte de ce terroriste. Arrêté, le frère de Rabah sera présenté au juge et mis sous mandat de dépôt pour non-dénonciation de terroriste et affiliation à une organisation terroriste.
Par ailleurs, et toujours dans le sillage de ces révélations, les services de sécurité, qui se sont mis en alerte maximale depuis le fameux coup de téléphone, ont enregistré la montée au maquis de quatre adolescents âgés de moins de 18 ans et natifs de Lakhdaria. Ce qui confirme l’information selon laquelle la nouvelle mission de ce revenant d’Irak serait bien de former des jeunes recrues aux attentats kamikazes. Aussi, depuis ces fameuses informations, les services de sécurité se sont redéployés à travers plusieurs régions de la wilaya ; des endroits susceptibles d’abriter des camps d’entraînement de terroristes font l’objet de surveillance particulière de la part des éléments de l’ANP appuyés par ceux de la BMPJ et des patriotes.
Au sujet de patriotes, depuis vendredi dernier après la mort de deux éléments suite à l’explosion d’une bombe au passage de leur patrouille chargée de la surveillance du gazoduc Hassi R’mel-Cap Djinet, la région de Beggas est le théâtre d’une vaste opération de ratissage à la recherche des terroristes auteurs de cet attentat mais aussi la cache probable des terroristes de la phalange El Farouk qui s’est renforcée avec de nouvelles recrues à peine sorties de l’adolescence, et donc facilement endoctrinables pour devenir des bombes humaines prêtes à exploser là où les sbires de Droudkal, l’“émir” national du GSPC qui vient de prouver son allégeance et son affiliation indéniable avec Al Qaïda d’Oussama Ben Laden.
27 juin 2007. Le Soir D'Algérie
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