[Aps 27/7/07] Montréal - L'étudiant chercheur algérien Omar Seddiki a réussi à trouver une combinaison de matériaux permettant de fabriquer un télescope à miroir liquide différent des télescopes actuels (conventionnels), dotés de miroir primaire, rapporte la revue britannique Nature dans sa dernière livraison. Cette combinaison de matériaux permet de fabriquer un miroir (astronomique) liquide doté à la fois d'un haut pouvoir réfléchissant et de propriétés lui permettant de fonctionner même dans le difficile environnement lunaire, selon la même source.
Un télescope à miroir liquide présente plusieurs avantages pratiques et économiques par rapport aux télescopes conventionnels dans la mesurer où un tel observatoire lunaire pourrait livrer des informations inédites sur l'origine de l'Univers.
Qualifiant cette découverte de première en ionique, la publication britannique explique qu'Omar Seddiki et une équipe internationale de recherche du département de physique, génie physique et optique, ont réussi à déposer, par vaporisation sous vide, un revêtement d'argent sur un liquide ionique. Ainsi, est-il ajouté, la surface d'argent résultante est parfaitement lisse et a une bonne réflectivité tout en demeurent stable pendant des mois. Le liquide ionique sur lequel la couche d'argent repose ne s'évapore pas et son point de fusion est de -98 degrés Celsius, est-il encore expliqué. En ce sens, le miroir liquide envisagé pour le télescope lunaire devrait avoir un diamètre entre 20 et 100 mètres, ce qui lui conférerait une sensibilité jusqu'à 1.000 fois plus grande.
Un télescope à miroir liquide présente plusieurs avantages pratiques et économiques par rapport aux télescopes conventionnels dans la mesurer où un tel observatoire lunaire pourrait livrer des informations inédites sur l'origine de l'Univers.
Qualifiant cette découverte de première en ionique, la publication britannique explique qu'Omar Seddiki et une équipe internationale de recherche du département de physique, génie physique et optique, ont réussi à déposer, par vaporisation sous vide, un revêtement d'argent sur un liquide ionique. Ainsi, est-il ajouté, la surface d'argent résultante est parfaitement lisse et a une bonne réflectivité tout en demeurent stable pendant des mois. Le liquide ionique sur lequel la couche d'argent repose ne s'évapore pas et son point de fusion est de -98 degrés Celsius, est-il encore expliqué. En ce sens, le miroir liquide envisagé pour le télescope lunaire devrait avoir un diamètre entre 20 et 100 mètres, ce qui lui conférerait une sensibilité jusqu'à 1.000 fois plus grande.
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