Pfffffffffff encore et encore des reports jusqu'à la fin des temps ...
Gouvernement de m****, les gens de l'ugta sont vraiment des vauriens
Fonction publique La nouvelle grille des salaires pas avant juillet 2008
par O. M. Et K. R. le quotidien d'Oran
Les 43 statuts particuliers seront finalisés à partir de juillet 2008, et seront suivis dans la foulée par l'application de la nouvelle grille des salaires. Les statuts particuliers de la nouvelle grille avec ses 78 valeurs de points indiciaires seront sur la table du Conseil des ministres à partir de septembre.
C'est ce qu'a révélé, hier, le chef du Gouvernement M. Abdelaziz Belkhadem, à l'ouverture de la 6ème session ordinaire, de la Commission exécutive nationale de l'UGTA.
Le chef du Gouvernement qui, durant 45 minutes, a fait un bilan exhaustif de la situation économique du pays, a d'emblée tenu à saluer le rôle déterminant du partenaire syndical, l'UGTA, grâce, ajoute-t-il, au sens de la responsabilité et surtout du dialogue qui ont tout le temps prévalu. Jugeant les résultats des rencontres très satisfaisants, ayant abouti à une stabilité sociale, M. Belkhadem a déclaré que «nous devons continuer sur cette voie, car beaucoup reste à faire». «Le chômage est en baisse», avance le chef du Gouvernement, «mais, il reste tout de même 1,5 million de demandeurs d'emploi» reconnaît-il. Et d'ajouter à l'adresse des représentants nationaux des travailleurs «le pouvoir d'achat du citoyen est notre préoccupation majeure». Il a relevé aussi les derniers ajustements opérés en matière de système de compensation qui a touché 1.431.000 travailleurs de la fonction publique (enseignement supérieur, éducation, santé...), ce qui représente pour le trésor public un additif annuel de 61 milliards de dinars.
Par ailleurs, plus de 4.000 enseignants ont bénéficié depuis novembre 2003 d'augmentations variant entre 2.500 DA et 5.000 DA. Le secteur qui donne le plus de satisfaction, et qui a connu une progression de +23 % reste celui du B.T.P.H. Dans sa globalité, il a bénéficié grâce au plan de la relance économique, et à celui du soutien d'une enveloppe estimée à 150 milliards de dollars, au moment où, l'inflation a enregistré son taux le plus bas soit -3 %. Autres chiffres significatifs selon M. Belkhadem, ceux concernant le programme de logement qui a connu une évolution de l'ordre de 22,7 %. «Nous avons réceptionné 178.000 unités en 2006 soit 34 % du programme», précise-t-il. Pour la même période soit à la fin 2006, différents chantiers totalisant 250.000 logements ont été lancés. Autres secteurs qui ont connu un bond de croissance record, celui des transports et de la communication avec un taux de 86 % dû vraisemblablement à l'ouverture aux capitaux nationaux et étrangers.
Pour le chef du Gouvernement le point noir du secteur économique reste l'industrie (hors hydrocarbures). Sa croissance reste très en deçà des espérances des pouvoirs publics. Elle est estimée à 0,3 %. Plusieurs facteurs freinent son «décollage» selon le Premier ministre.
«L'outil de production se trouve dépassé et obsolète, les prix ne sont pas compétitifs ce qui engendre des sur-stocks. Pour lui, certaines usines risquent de disparaître et ceci tous secteurs confondus (Etat-privé).
Ajoutant que la production industrielle manufacturière publique décline. Cette situation a poussé le gouvernement à envisager de nouvelles stratégies afin de donner un nouvel essor à l'industrie hors hydrocarbures.
Enfin les chiffres, selon le chef du Gouvernement, d'un secteur «clé» et baromètre à savoir l'agriculture, M. Belkhadem est revenu sur l'envolée des prix de la pomme de terre. Pour lui, «l'achat tardif de la semence dû à sa non disponibilité sur les marchés mondiaux, les conditions climatiques, le Mildiou et la spéculation, ont été autant de facteurs, dans la hausse du prix de ce produit de base». Mais, ajoute M. Belkhadem, «toutes les dispositions seront prises la veille du mois de Ramadan». Plus rassurant il dira «grâce à ces dispositions, à savoir l'importation qui est déjà effective, et la récolte du produit local, les prix vont se stabiliser». Autre produit sous tension : le lait. Là aussi, l'Etat précise M. Belkhadem a pris et prendra toutes les mesures pour soutenir le prix administratif de 25 DA. « Aussi des mesures sont à l'étude pour que le soutien s'adresse aux petites bourses, une sorte de subvention directe», affirme le chef du Gouvernement.
Auparavant, le secrétaire général de l'UGTA Sidi Saïd Abdelmadjid avait sèchement lancé «nous n'avons pas à recevoir de leçons de ceux qui nous affublent d'être à la solde du gouvernement. Depuis 56, nous prenons le dialogue et ça sera la victoire de l'Algérie».
Il faut savoir que c'est la première fois que la Commission exécutive nationale de l'UGTA «sort» d'Alger, exception faite de l'unique session d'Oran qui a eu lieu sous le règne de feu Benhamouda.
Pour cette 6ème session, 41 fédérations sont présentes à Boumerdes, à l'institut d'hôtellerie.
Amar Mehdi exclu de l'UGTA
par O. M.
Les membres du Conseil exécutif de l'UGTA réunis, lors de la 6e session du Conseil national de l'UGTA à Boumerdès ont décidé en fin d'après-midi d'hier de la radiation des rangs de l'UGTA du membre de la CEN Amar Mehdi, ancien organique et candidat au poste de SG en 2000 et actuellement membre du Conseil de la nation, issu du tiers présidentiel. Il est reproché à Amar Mehdi d'avoir « appelé à la rébellion », selon le porte-parole de la session, à travers un manifeste transmis à partir de l'hémicycle aux secrétaires des wilayas afin de désavouer Sidi Saïd.
Par ailleurs, la deuxième résolution a consisté à fixer la date du congrès de l'UGTA qui, selon Me Djenouhat, aura lieu au mois de mars 2008.
Gouvernement de m****, les gens de l'ugta sont vraiment des vauriens
Fonction publique La nouvelle grille des salaires pas avant juillet 2008
par O. M. Et K. R. le quotidien d'Oran
Les 43 statuts particuliers seront finalisés à partir de juillet 2008, et seront suivis dans la foulée par l'application de la nouvelle grille des salaires. Les statuts particuliers de la nouvelle grille avec ses 78 valeurs de points indiciaires seront sur la table du Conseil des ministres à partir de septembre.
C'est ce qu'a révélé, hier, le chef du Gouvernement M. Abdelaziz Belkhadem, à l'ouverture de la 6ème session ordinaire, de la Commission exécutive nationale de l'UGTA.
Le chef du Gouvernement qui, durant 45 minutes, a fait un bilan exhaustif de la situation économique du pays, a d'emblée tenu à saluer le rôle déterminant du partenaire syndical, l'UGTA, grâce, ajoute-t-il, au sens de la responsabilité et surtout du dialogue qui ont tout le temps prévalu. Jugeant les résultats des rencontres très satisfaisants, ayant abouti à une stabilité sociale, M. Belkhadem a déclaré que «nous devons continuer sur cette voie, car beaucoup reste à faire». «Le chômage est en baisse», avance le chef du Gouvernement, «mais, il reste tout de même 1,5 million de demandeurs d'emploi» reconnaît-il. Et d'ajouter à l'adresse des représentants nationaux des travailleurs «le pouvoir d'achat du citoyen est notre préoccupation majeure». Il a relevé aussi les derniers ajustements opérés en matière de système de compensation qui a touché 1.431.000 travailleurs de la fonction publique (enseignement supérieur, éducation, santé...), ce qui représente pour le trésor public un additif annuel de 61 milliards de dinars.
Par ailleurs, plus de 4.000 enseignants ont bénéficié depuis novembre 2003 d'augmentations variant entre 2.500 DA et 5.000 DA. Le secteur qui donne le plus de satisfaction, et qui a connu une progression de +23 % reste celui du B.T.P.H. Dans sa globalité, il a bénéficié grâce au plan de la relance économique, et à celui du soutien d'une enveloppe estimée à 150 milliards de dollars, au moment où, l'inflation a enregistré son taux le plus bas soit -3 %. Autres chiffres significatifs selon M. Belkhadem, ceux concernant le programme de logement qui a connu une évolution de l'ordre de 22,7 %. «Nous avons réceptionné 178.000 unités en 2006 soit 34 % du programme», précise-t-il. Pour la même période soit à la fin 2006, différents chantiers totalisant 250.000 logements ont été lancés. Autres secteurs qui ont connu un bond de croissance record, celui des transports et de la communication avec un taux de 86 % dû vraisemblablement à l'ouverture aux capitaux nationaux et étrangers.
Pour le chef du Gouvernement le point noir du secteur économique reste l'industrie (hors hydrocarbures). Sa croissance reste très en deçà des espérances des pouvoirs publics. Elle est estimée à 0,3 %. Plusieurs facteurs freinent son «décollage» selon le Premier ministre.
«L'outil de production se trouve dépassé et obsolète, les prix ne sont pas compétitifs ce qui engendre des sur-stocks. Pour lui, certaines usines risquent de disparaître et ceci tous secteurs confondus (Etat-privé).
Ajoutant que la production industrielle manufacturière publique décline. Cette situation a poussé le gouvernement à envisager de nouvelles stratégies afin de donner un nouvel essor à l'industrie hors hydrocarbures.
Enfin les chiffres, selon le chef du Gouvernement, d'un secteur «clé» et baromètre à savoir l'agriculture, M. Belkhadem est revenu sur l'envolée des prix de la pomme de terre. Pour lui, «l'achat tardif de la semence dû à sa non disponibilité sur les marchés mondiaux, les conditions climatiques, le Mildiou et la spéculation, ont été autant de facteurs, dans la hausse du prix de ce produit de base». Mais, ajoute M. Belkhadem, «toutes les dispositions seront prises la veille du mois de Ramadan». Plus rassurant il dira «grâce à ces dispositions, à savoir l'importation qui est déjà effective, et la récolte du produit local, les prix vont se stabiliser». Autre produit sous tension : le lait. Là aussi, l'Etat précise M. Belkhadem a pris et prendra toutes les mesures pour soutenir le prix administratif de 25 DA. « Aussi des mesures sont à l'étude pour que le soutien s'adresse aux petites bourses, une sorte de subvention directe», affirme le chef du Gouvernement.
Auparavant, le secrétaire général de l'UGTA Sidi Saïd Abdelmadjid avait sèchement lancé «nous n'avons pas à recevoir de leçons de ceux qui nous affublent d'être à la solde du gouvernement. Depuis 56, nous prenons le dialogue et ça sera la victoire de l'Algérie».
Il faut savoir que c'est la première fois que la Commission exécutive nationale de l'UGTA «sort» d'Alger, exception faite de l'unique session d'Oran qui a eu lieu sous le règne de feu Benhamouda.
Pour cette 6ème session, 41 fédérations sont présentes à Boumerdes, à l'institut d'hôtellerie.
Amar Mehdi exclu de l'UGTA
par O. M.
Les membres du Conseil exécutif de l'UGTA réunis, lors de la 6e session du Conseil national de l'UGTA à Boumerdès ont décidé en fin d'après-midi d'hier de la radiation des rangs de l'UGTA du membre de la CEN Amar Mehdi, ancien organique et candidat au poste de SG en 2000 et actuellement membre du Conseil de la nation, issu du tiers présidentiel. Il est reproché à Amar Mehdi d'avoir « appelé à la rébellion », selon le porte-parole de la session, à travers un manifeste transmis à partir de l'hémicycle aux secrétaires des wilayas afin de désavouer Sidi Saïd.
Par ailleurs, la deuxième résolution a consisté à fixer la date du congrès de l'UGTA qui, selon Me Djenouhat, aura lieu au mois de mars 2008.
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