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Créée à New York L'association algéro-américaine des scientifiques est née
Dans le cadre de la coopération algéro-américaine, une association algéro-américaine des scientifiques (AASA) est née samedi à New York. Il s'agit d'une organisation regroupant des professionnels de la santé, des chercheurs et ingénieurs algériens, créée pour un rapprochement entre les deux communautés, algérienne et américaine, dans le domaine scientifique.
L'idée de la création de l'AASA a pris forme au mois d'avril dernier à Alger, lors d'une manifestation organisée par la FOREM dirigée par le Pr Khiati. Le but de cette initiative étant de mobiliser et rassembler les membres de la communauté scientifique algérienne établie aux Etats-Unis autour de projets de partenariat, d'échange et de coopération. Ces actions font suite à l'accord de coopération, signé début 2006, entre l'Algérie et les Etats-Unis à Alger dans les domaines scientifique et technique qui établit, depuis, un certain nombre de passerelles entre les communautés algérienne et américaine. Un accord qui a aussi permis à la FOREM, en collaboration avec le Centre national américain pour la santé (NIH), dirigé par le Dr Elias Zerhouni, de lancer différentes actions d'échanges et de coopération.
Selon le Dr Azzedine Medhkour, un des membres fondateurs de l'AASA, l'association se veut «un pont entre les deux communautés de professionnels et chercheurs pour asseoir des liens d'échanges et de coopération dans les différents domaines de compétences de ses membres, tant en Algérie qu'aux Etats-Unis». Cette nouvelle association, dont la réunion constitutive s'est tenue samedi, s'est tracée comme objectifs de renforcer la coopération scientifique entre l'Algérie et les Etats-Unis, d'organiser des échanges entre les deux communautés, de promouvoir la coopération bilatérale et la recherche scientifique en Algérie en associant les spécialistes algériens à des programmes développés aux Etats-Unis.
Le Dr Medhkour indique sur ce point: «Nous voulons être un pont scientifique entre les deux pays», tout en annonçant que l'association s'est déjà fixé un agenda d'événements et d'actions, dont la participation en novembre prochain à Alger à une rencontre algéro-américaine qu'organisera la FOREM. «Nous nous efforcerons, avec la collaboration d'organismes en faveur de la recherche médicale, d'hôpitaux et autres laboratoires aux Etats-Unis, d'initier des conférences, des stages de courte durée et des échanges multiformes pour développer et améliorer les compétences algériennes, leur donner la possibilité d'accéder aux outils modernes et organiser les contacts et les échanges», souligne encore le Dr Medhkour. Favoriser les échanges et les contacts, travailler sur l'amélioration de l'éducation sanitaire et dans le domaine des sciences, renforcer la recherche, organiser des ateliers de travail thématiques dont l'acquisition de moyens de communication dans les secteurs, sont là les priorités des membres fondateurs de l'AASA. Les Dr Khedidja Naffaâ et Tahar Mergou, deux membres fondateurs, disent aussi vouloir concentrer leur travail sur certains thèmes de santé publique comme la cancérologie, les maladies infectieuses, la traumatologie des adultes et de l'enfant, la cardiologie et la chirurgie.
«Ces différents thèmes seront développés en novembre prochain à Alger, avec des propositions concrètes par la délégation qui représentera l'association», souligne Mourad Ouazzi, président de l'association, qui est un membre actif au sein de la communauté algérienne aux Etats-Unis.
par B. M.
lequotidien-oran
L'idée de la création de l'AASA a pris forme au mois d'avril dernier à Alger, lors d'une manifestation organisée par la FOREM dirigée par le Pr Khiati. Le but de cette initiative étant de mobiliser et rassembler les membres de la communauté scientifique algérienne établie aux Etats-Unis autour de projets de partenariat, d'échange et de coopération. Ces actions font suite à l'accord de coopération, signé début 2006, entre l'Algérie et les Etats-Unis à Alger dans les domaines scientifique et technique qui établit, depuis, un certain nombre de passerelles entre les communautés algérienne et américaine. Un accord qui a aussi permis à la FOREM, en collaboration avec le Centre national américain pour la santé (NIH), dirigé par le Dr Elias Zerhouni, de lancer différentes actions d'échanges et de coopération.
Selon le Dr Azzedine Medhkour, un des membres fondateurs de l'AASA, l'association se veut «un pont entre les deux communautés de professionnels et chercheurs pour asseoir des liens d'échanges et de coopération dans les différents domaines de compétences de ses membres, tant en Algérie qu'aux Etats-Unis». Cette nouvelle association, dont la réunion constitutive s'est tenue samedi, s'est tracée comme objectifs de renforcer la coopération scientifique entre l'Algérie et les Etats-Unis, d'organiser des échanges entre les deux communautés, de promouvoir la coopération bilatérale et la recherche scientifique en Algérie en associant les spécialistes algériens à des programmes développés aux Etats-Unis.
Le Dr Medhkour indique sur ce point: «Nous voulons être un pont scientifique entre les deux pays», tout en annonçant que l'association s'est déjà fixé un agenda d'événements et d'actions, dont la participation en novembre prochain à Alger à une rencontre algéro-américaine qu'organisera la FOREM. «Nous nous efforcerons, avec la collaboration d'organismes en faveur de la recherche médicale, d'hôpitaux et autres laboratoires aux Etats-Unis, d'initier des conférences, des stages de courte durée et des échanges multiformes pour développer et améliorer les compétences algériennes, leur donner la possibilité d'accéder aux outils modernes et organiser les contacts et les échanges», souligne encore le Dr Medhkour. Favoriser les échanges et les contacts, travailler sur l'amélioration de l'éducation sanitaire et dans le domaine des sciences, renforcer la recherche, organiser des ateliers de travail thématiques dont l'acquisition de moyens de communication dans les secteurs, sont là les priorités des membres fondateurs de l'AASA. Les Dr Khedidja Naffaâ et Tahar Mergou, deux membres fondateurs, disent aussi vouloir concentrer leur travail sur certains thèmes de santé publique comme la cancérologie, les maladies infectieuses, la traumatologie des adultes et de l'enfant, la cardiologie et la chirurgie.
«Ces différents thèmes seront développés en novembre prochain à Alger, avec des propositions concrètes par la délégation qui représentera l'association», souligne Mourad Ouazzi, président de l'association, qui est un membre actif au sein de la communauté algérienne aux Etats-Unis.
par B. M.
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