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Belaid Abdesselam à Elkhabar

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  • #16
    Tu te trompes, c'est Calamar l'autruche.
    Sur ce je te laisse "regarder la vérité en face". Je ne sais pas ce que ça veut dire mais bon...
    La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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    • #17
      WHo the hell gives a hoot about la France? Parle de ton Algerie pendant que tu fumes ton cigarre du haut de ton BOND, ya DZ!
      Envoyé par DZmes Bond
      Regarde la France qui refuse l'accès aux archives nationales !
      Regarde la France qui ment sur son passé dont son passé colonial !
      Regarde la France qui a "ordonné" aux généraux de libérer tous les fissistes qui avaient manifestés contre le pouvoir. De retour en liberté, ils ont pu créer les FIS-armé puis le GIA, GSPC et toute la ***** qui suit !
      Ce qui suit peut etre qualifie' d un etalage nauseabond d une ame pleine de haine envers les kabyles qui combattent l algerie arabisante, islamisante, et rouleau compresseur qui veut karsheriser tout ce qui est kabyle en Algerie.
      En plus, Mr Bond, vous etes un vilain propagandiste pour ne pas dire Menteur!
      Envoyé par DZmes Bond
      Regarde la France qui abrite et joue un jeu obscur avec les mouvements kabyles indépendantistes extrêmistes qui nuisent à toute l'Algérie !
      Kabylisme, ce mal qui je savoure.
      s-tufagh.....
      Dernière modification par mmis_ttaq-vaylit, 15 août 2007, 20h38.
      Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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      • #18
        Posté par DZmes Bond
        Regarde la France qui abrite et joue un jeu obscur avec les mouvements kabyles indépendantistes extrêmistes qui nuisent à toute l'Algérie !
        Ce n'est pas la France, c'est une partie de la gauche française qui nourrit jusqu'à la caricature une image d'épinal et oppose le Kabyle (blond aux yeux bleux)-mort de rire- à l'arabe envahisseur de l'afrique du nord eternellement latine et autrefois chrétienne. C'est le résidu de gauche partisan de l'algérie française représentant une minorité d'algériens pour partie demandeurs de cartes de séjour et pour une autre complexé de racisme au point de développer de l'ostracisme dans le seul de but de se faire accepter.

        Mais tout cela est bien révolu c'est une espèce en voie de disparition. je confirme. par effets conjugués de nostalgique de l'Algérie française en fin de vie et de la realpolitik desormais de mise.

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        • #19
          Oh...en voilà une qui vient à la rescousse et qui part au quart de tour... .

          Vais-je répondre à ce lot de conneries ou ...non, elle va devenir hystérique sinon.
          La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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          • #20
            Bonsoir à tous

            L'extrapolation sport national !!

            Que voilà un "déballage" à la Belaïd Abdesselam, il doit être ravie il a fait des petits.


            Au passage : très pertinent l'article du Quotidien d'Oran
            “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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            • #21
              @Augustin : En effet, je pense qu'il y a une nouvelle donne en France même si Sarko a rencontré les anciens de l'Algérie française.

              @L'imprévisible : Penses-tu aussi que ce déballage annonce un règlement de compte ou veut'ils implement attirer l'attention comme le font les stars d'hollywood pour vendre leurs livres ? Je suis curieux de la réponse des personnes visées...
              Dernière modification par DZmes Bond, 15 août 2007, 21h06.
              La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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              • #22
                @L'imprévisible

                En effet même si Abed Charef cultive la thèse que le système est à changer il le fait avec talent.

                Sinon, pour un autre point de vue le soir d'algérie qui a publié la réponse de Touati à Abdeslam en fait une autre analyse. tout aussi interessante.

                Lorsque Mohamed Touati “réplique” à Belaïd Abdesselam, la chose est tout sauf une simple polémique entre deux personnes. Sur le fond, ce sont en fait deux conceptions diamétralement opposées de l’Algérie, deux projets de société qui s’affrontent.
                Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Les destins de ces deux hommes se sont croisés dès juillet 1992. Boudiaf venait d’être assassiné et, avec lui, la lueur d’espoir née du départ du système Chadli- Mehri-Hamrouche, dont le “concubinage” avec le FIS avait été interrompu par l’armée début janvier 1992. La disparition de Boudiaf et le départ de Ghozali allait livrer l’Algérie à un exécutif “islamo-baâthiste” incarné, pendant plus d’une année, par Ali Kafi et Belaïd Abdesselam. Cet ancien ministre de l’Energie de Houari Boumediene revient au pouvoir après une longue traversée du désert. Il prend les rênes d’un pays faisant face à une déferlante terroriste sans précédent. Les troupes terroristes du FIS redoublaient de férocité, convaincues qu’elles étaient que l’arrivée définitive au pouvoir n’était qu’une question de temps. Les lâchetés tant nationales qu’internationales aidant, “nos” intégristes s’adonnaient à un véritable génocide n’épargnant ni les intellectuels, les journalistes, les militaires et policiers, ni les militants politiques, ni les femmes, ni le simple citoyen, ni même les étrangers. Avec tout cela, notre chef du gouvernement se découvre, lui, un autre ennemi : “les laïco-assimilationnistes” ! Un raccourci historiquement mensonger et moralement condamnable en ce sens que, par cette insidieuse appellation, Abdesselam désignait en fait les démocrates républicains. Tant dans la société civile, les partis politiques, que dans l’armée. D’où, d’ailleurs, son acharnement maladif contre le général-major Mohamed Touati qui incarne, à ses yeux, de par son profil et son parcours, le camp éradicateur, c’est-à-dire l’aile républicaine et démocrate du pouvoir algérien. Un officier qui, en compagnie de quelques autres généraux algériens, a pris la lourde responsabilité historique d’interrompre le processus électoral périlleux du 26 décembre 1991, de suppléer à la gestion chaotique du duo Chadli-Hamrouche et de dissoudre le FIS. Simple coup d’Etat pour assouvir des appétits de pouvoir ? Un tel raccourci, à la mode de nos jours, c’est faire offense à l’histoire, à l’intégrité et au patriotisme d’hommes fussent-ils “des généraux”. Car, faut-il le rappeler, en décembre 1990, alors même que Chadli, Hamrouche et Mehri se préparaient à la cohabitation avec le diable, Khaled Nezzar, qui incarnait le seul contre-pouvoir à tout ce beau monde, avait, lui, mis sur pied une commission. Ministre de la Défense nationale, il avait chargé les généraux Mohamed Touati, Mohamed Lamari et Abdelmadjid Taghit “pour proposer une démarche politique de type état-major compte tenu des dérives du FIS et de l’apathie des autorités publiques annonciatrices de graves dérives”, écrivait le général Khaled Nezzar dans ses mémoires. Dans leur long rapport, ces trois généraux ont procédé à une analyse d’une remarquable pertinence. Mais, surtout, ont proposé une démarche cohérente, réaliste et réalisable pour débarrasser l’Algérie des partis théocratiques et la faire entrer définitivement dans une nouvelle ère pluraliste et démocratique. Un rapport que, malheureusement, Chadli n’a pas pris en compte. Ni même ses successeurs, d’ailleurs. Ce qui fera dire à l’un des trois rédacteurs de ce rapport, qui n’est autre que l’ex-chef d’état-major, Mohamed Lamari, que “si le terrorisme est vaincu, l’intégrisme reste, lui, toujours intact”. C’était en 2003, encore. Et, en 2007, les deux projets de société sont toujours en confrontation avec un Belaïd Abdesselam dans son rôle : un acteur du clan de la “réconciliation” version Bouteflika, cette fois.
                K. A.

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                • #23
                  Dz

                  Regarde la France qui abrite et joue un jeu obscur avec les mouvements kabyles indépendantistes extrêmistes qui nuisent à toute l'Algérie !
                  Bonjour l'image que tu as de nous Si à toi cela ne te derange pas de voir l'Algérie aux mains de mafieux qui voudraient donner des leçons c'est ton problème. mais puisque tu es parti au Canada tu sais maintenant ce qu'est une democratie tu sais donc ce qu'est la libre expression.....même si tu n'as pas toujours le même avis.

                  Nul ne t'a demandé et encore moins supplié de lâcher tes girls
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #24
                    Article intéressant

                    Prélude au grand déba(t)llage ?

                    Par Salah Bey

                    Quinze ans après avoir tenté une thérapie économique de choc, Belaïd Abdesselam choque encore. Celui que l’on connaissait sous le nom de Monsieur Gaz explose. Ses réponses, qualifiées d’explosives, au général en retraite Touati a semé, faut-il le dire, le désarroi et la panique au sein des ex-officiers supérieurs de la Grande muette. Il a fait réagir plus d’un général rompu au profond silence. Après son opposition à rééchelonner la dette algérienne, l’ancien chef du gouvernement est en passe de rééchelonner bien des mémoires. Il promet d’écrire d’autres ouvrages pour dire quoi et dans quel intérêt(1).

                    En vérité, M. Abdesselam en est à son deuxième ouvrage. Le premier, édité dans les années 1980, qui traitait du gaz et la stratégie gazière, s’intitulait Le gaz algérien : enjeux et stratégie, a connu un succès retentissant puisqu’il avait le mérite de traiter d’un sujet peu commun. Ce qui l’était moins, c’est que le livre soit fait par le puissant ministre du Pétrole et de l’Energie sous le régime Boumediène.

                    Versant, quelques années après un passage de désert (entre 1980 et 1992), dans la politique, M. Abdesselam a tenté de remuer, dans son deuxième livre, qui se voulait une critique envers les hommes de l’armée aux commandes pendant une étape cruciale du passage de l’Algérie par une transition difficile de l’économie dirigé vers l’économie libérale. Une période à la quelle il a été associé aux commandes pour diriger le pays en essayant de redresser une économie qui frôlait la faillite.

                    Le livre s’avère sa globalité une réaction aux positions des détenteur qui l’ont hissé à la tête du gouvernement de l’économie de guerre comme il aime à le clamer et ceux-là même qui ont précipité son départ après treize mois de gouvernail. Il n’apporte en dehors de la réponse à l’entretien du général Touati qu’il a donné en 2001 pas plus d’informations inédites que le commun des algériens en détient des brins. Sauf peut-être qu’il informe une opinion avide de révélation qu’il était l’une des rares personnalités consultées par des acteurs du cercle de décision en haut lieu. Celui qui allait devenir membre du HCE a indiqué dans son livre polémique (2) qu’il s’assume être l’un des artisans du coup d’Etat contre le président de Chadli Bendjedid et l’arrêt du processus électoral en 1992.

                    Pourquoi donc ce livre a suscité autant de polémique qu’aucun livre avant lui n’en a provoqué d’aussi grave. Pourtant le général Khaled Nezzar en a écrit deux essais, suivi du livre du deuxième président du HCE, Ali Kafi (ancien de l’ALN), qu’on dit revu et corrigé par son neveu, l’illustre historien Mohamed Harbi. Le docteur Taleb Ibrahimi a mis sa main dans l’encre et a pour sa part publié ses mémoires parues en deux volumes. Il est précédé par le sénateur Abderrazak Bouhara qui traite, lui, des relations dans le maquis, en attendant le dernier des négociateurs d’Evian M. Rédha Malek qui s’atèle à achever ses mémoires. D’autres comme Mouloud Hamrouche, Sid Ahmed Ghozali, Ali Haroun etc., sont également tentés par cette démangeaison. La contagion en cette substance est la bien venue.

                    Les anciens rompent donc le silence. L’entreprise est fructueuse et leur démarche peut être en soi salvatrice à plus d’un égard. Leur mérite est d’avoir eu le courage politique de diffuser quelques unes de leurs visions, des tranches de leur vécu et ce, même en tentant de justifier l’injustifiable ou de légitimer l’illégitime, l’histoire en jugera. La classe politique est en alerte et commence à sortir de son mutisme et elle commence à dire tout haut ce qu’elle pense tout bas.

                    Abdallah Djaballah, Saïd Sadi et Soltani ont rejoint eux aussi la mêlé des écrivains. Même sous fond de polémique, ces écrits sont bénéfiques pour une société avide de connaître des informations relatives à des époques données de leur histoire, ouvrir la voie pour pénétrer dans les « secrets des dieux ». Une société qui aspire à la réalité et connaître des vérités. Une société qui a besoin de se regarder en face et de se résoudre au devoir de vérité. Ces écrits annoncent visiblement le début d’une nouvelle ère faite de débats et de témoignages. Un dialogue de fond autour de démarches ou des grandes décisions, voire des stratégies ayant caractérisé le pouvoir pendant ses différentes étapes est une nécessité qui urge maintenant que le tabou du silence est cassé par l’Internet.

                    Dans ce combat d’idées il semble, à priori, plus important d’étaler ses données sans adopter le ton de monopole de la vérité, car personne ne pourra prétendre détenir à lui seul la vérité, toute la vérité. Toutefois, et par honnêteté morale et politique, il ne faut pas rester sélectif dans ses témoignages ou ses dénonciations comme l’a si bien souligné le narrateur Abed Charef, jeudi passé (3). Tout comme il ne faut pas rester otage d’un certain dogmatisme fait de préjugés subjectifs. Faut-il aussi avoir de bons arguments pour écrire mais ne pas écrire des demi-vérités ou cacher des non-dits.

                    Selon le chroniqueur, l’ancien homme de fer et du pétrole sous Boumediene a omis de parler dans la version de son livre mise sur le net, de « l'intervention du général Touati au profit d'un puissant industriel, qui avait bénéficié d'un dégrèvement fiscal d'une vingtaine de milliards ». Il ne parle pas non plus des trois puissants hommes d'affaires qui monopolisaient 80% des crédits en devises sous le gouvernement de son prédécesseur Sid Ahmed Ghozali. D’aucuns se demanderont alors « pourquoi ces silences, alors que Belaïd Abdesselam en avait abondamment parlé dans des déclarations antérieures ? » et l’écrit qui a requis six ans pour son montage perd de sa valeur, de sa crédibilité et de son noble esprit d’informer.

                    Certes, le mérite de ce genre d’écrits, comme celui de Belaid Abdesselam, même amputée d’une quelconque part de réalité, c’est qu’il ne tirent pas sur des cadavres(4) mais se sont des vivants qui s’adonnent au jeu des tirs croisés. Mais l’intérêt de ce genre de témoignages perdent leur importance s’ils sont faits pour solder des passifs et s’inscrivent dans le chapitre de règlement de compte, voire désorienter une opinion publique qui ne pardonnent pas les soupçons velléitaires et désire de voire tomber, un à un, des tabous qui hantent et pèse sur la mémoire algérienne.

                    Il reste quand même utile de souligner que le débat ne doit pas être meublé de propos injurieux, blasphématoires ou accompagnés d’insultes ou de contrevérités qui importent peu ou pas le lecteur et l’observateur politique. La grande erreur, en de hors du pouvoir qu’aurait exercé le général et l’ancien chef du gouvernement est de s’insulter mutuellement faisant ainsi l’impasse sur l’intérêt capital d’apporter les arguments valables pour tenter de contribuer à apporter des éclaircissements sur les démarches entreprises dans le système de gouvernance et de gérance qui fait matière de débat avec la force d’arguments.

                    Si les générations futures n’ont pas eu droit de savoir leur histoire que ni les institutions d’Etat ni les acteurs qui l’ont façonné n’ont pu tenir leur promesse d’écrire et décrire, chacun sa part de la vérité afin de permettre de remonter le puzzle algérien, il est impératif qu’on sache au moins l’histoire contemporaine, aussi riche d’événements et de bouleversement que l’histoire classique, de l’Algérie.

                    Mais la crainte est qu’entre le droit de réponse des uns et le droit de savoir des autres, l’Algérien risque encore une fois d’être la proie des mensonges ou des non-dits que nul n’en a besoin et d’aucuns ne pourront tirer grand profit de certains écrits qui s’apparentent à des coup de sape ou de semonce qui apportent plus de vérités faussées que compléments de vérité. Les semblant de pamphlets où le sensationnel dominant risque d’envahir nos librairies et devenir un fond de commerce.

                    Il faut prémunir la conscience collective par une certaine franchise pour que les algériens ne soient pas piégés par les essais avatars de vengeances ou semant la haine et la confusion autour des vérités immuables. Il faut instaurer un sérieux débat objectif et serein pour que le devoir de mémoire ne se transforme pas en un déballage où se noient la sincérité et la probité des auteurs. Il faut avoir le courage de dire toute la vérité, rien que la vérité pour que les livres publiés ne se transforment pas en coup d’artifices pour garnir des CV ternis par les poussières des errements passés. Autrement dit pour afin que nos écrivains ne bourrent pas nos petites mémoires en écrits vains.
                    • Voir entretien paru dans El Watan le 1er août 2007.
                    • L’armée est la seule structure qui fait face aux tempêtes, édition on line, 322 pages.
                    • Chronique : Ficelles et marionnettes, in Le Quotidien d’Oran du jeudi 1er août 2007.
                    • Personnalités disparues ou anonymes.


                    Source: Les Débats
                    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                    • #25
                      Il reste quand même utile de souligner que le débat ne doit pas être meublé de propos injurieux, blasphématoires ou accompagnés d’insultes ou de contrevérités qui importent peu ou pas le lecteur et l’observateur politique. La grande erreur, en de hors du pouvoir qu’aurait exercé le général et l’ancien chef du gouvernement est de s’insulter mutuellement faisant ainsi l’impasse sur l’intérêt capital d’apporter les arguments valables pour tenter de contribuer à apporter des éclaircissements sur les démarches entreprises dans le système de gouvernance et de gérance qui fait matière de débat avec la force d’arguments.

                      Si les générations futures n’ont pas eu droit de savoir leur histoire que ni les institutions d’Etat ni les acteurs qui l’ont façonné n’ont pu tenir leur promesse d’écrire et décrire, chacun sa part de la vérité afin de permettre de remonter le puzzle algérien, il est impératif qu’on sache au moins l’histoire contemporaine, aussi riche d’événements et de bouleversement que l’histoire classique, de l’Algérie.
                      Ce passage là il faudrait l'encadrer pour ne pas l'oublier.....
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                      • #26
                        Il faut prémunir la conscience collective par une certaine franchise pour que les algériens ne soient pas piégés par les essais avatars de vengeances
                        cette phrase resume tout

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                        • #27
                          En parlat d histoire classique de l algerie et de debat serein sans insultes ni diffamation.

                          Je souhaite mettre la main sur l accord signe' par Ait Ahmed et Ben Bella le 14 ou 15 juin 1965, soit 4 jours avant l infameux redressement revolutionnaire de Mohamed Boukharouba, le colonel de l armee des frontieres qui a occupe' Alger par la force un certain ete 1962 (il n y a rien d insultant dans ces propos sinon une verite classique de la rue algerienne de ce temps la).

                          Zwina, est ce que tes archives ont ce document? Priere le poster. On en parle tant mais il n a jamais ete publie'. Existe t il meme? Ou l a t on simplement fait disparaitre comme tant de verite' dans l algerie nee-morte post-62.

                          s-tufagh.
                          Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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                          • #28
                            On peut déjà rappeler ce qu'il c'est passé en juin 1965 pour Ait Ahmed et Ben Bellla :

                            En Kabylie, son opposition à Ben Bella - qui s'est fait élire, dix jours plus tôt, président de la République - tourne à l'insurrection. Il est capturé le 17 octobre 1964, condamné à mort le 10 avril 1965 et... gracié, deux jours plus tard, par Ben Bella. Boumedienne prend le pouvoir en juin 1965 et maintient en détention Aït Ahmed, qui met à profit ses loisirs forcés pour passer son baccalauréat. Le 1er mai 1966, il parvient à s'échapper de la prison d'El Harrach, dans la banlieue algéroise, et s'exile en Europe. Il s'installe en Suisse, reprend ses études, décroche une licence en droit à l'université de Nancy (1977), puis enseigne le droit international. Pendant plus de vingt ans, il incarnera l'opposition au parti unique.
                            Au début de 1965, l’Algérie doit faire face à la montée du chômage, à un exode rural massif et à une crise économique grave. L’émigration vers l’Europe se développe. Ben Bella est cependant convaincu de bénéficier du soutien populaire. Mais l’élimination de ses principaux adversaires politiques a surtout profité à Houari Boumediene, ministre de la Défense. Le 19 juin 1965, il fait arrêter Ben Bella, aux motifs de «culte de la personnalité», «liquidation des cadres révolutionnaires», «confusions idéologiques» et «gaspillage des ressources du pays». Ben Bella restera enfermé, sans jugement, jusqu’en 1980
                            .
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                            Commentaire


                            • #29
                              19 JUIN 1965
                              Il y a 40 ans Houari Boumediène prenait le pouvoir, coup d’état ou sursaut historique ?
                              « Qu’est-ce que tu es venu faire ? Allez, fous le camp ! » (Suite et fin)
                              Après cette rencontre, nous avons dîné à El Biar puis nous nous sommes dirigés chez Bachir Boumaza. Ce dernier était l’homme du président, mais Ben Bella a voulu l’enlever de son poste et placer à sa place Medeghri. Ce dernier a refusé tout en le faisant savoir à Bachir Boumaza. Ce dernier avait dit à Omar Oussedik : « Si jamais on m’apprend qu’il y a une embuscade qui est montée contre Ben Bella, même si je suis dans le convoi, je ne l’avertirai pas au risque d’y laisser ma peau. »

                              Pour la petite histoire, pendant mon séjour forcé à Tamanrasset par Ben Bella, Bachir Boumaza a été très correct avec ma famille et il a même délivré à ma sœur un billet d’avion gratuit avec une autorisation de visite. Nous arrivons donc chez Bachir Boumaza, ce dernier a été d’une très grande franchise avec moi en me disant : « Lorsque tu as été arrêté, je n’ai pas bougé le petit doigt pour ta libération, mais aujourd’hui je suis heureux de te voir. » Le 11 juin 1965, une semaine avant le coup d’Etat, Ben Bella après avoir reçu un président africain à Tamanrasset a demandé à me voir en me disant entre autres que « c’est tes anciens amis de l’EMG qui m’ont induit en erreur et à Alger je réparerai ça ». Quelques jours avant le 19 juin, nous avons vu Bachir Boumaza chez lui, nous avions eu une petite discussion avec lui bien qu’il s’apprêtât à sortir et il nous posa quelques questions.
                              Bachir : Comment va Si Sadek ? Quel est votre sentiment sur la situation ? Car moi ça fait quelques jours que je n’ai pas vu Ben Bella.
                              Omar : Le colonel va bien et il te salue. J’ai beaucoup de choses à te dire. Il y a quelques jours, nous avons vu les frères Bouteflika, Djamel, Medeghri et Kaïd Ahmed. Je ne te retiens pas. Va à ton rendez-vous mais n’oublies pas que Ben Bella a voulu te sacrifier pour faire plaisir aux militaires. A souligner qu’il avait une arme de poing qu’il portait au ceinturon et il avait 18 miliciens tous de sa région prêts à tirer le coup de feu pour le protéger.
                              Bachir : Ça va chauffer, il va y avoir de la casse. Faites attention. Après cette discussion, Omar se tourne vers moi et me dit « Essayons de disparaître. » Omar s’est orienté sur La Casbah et moi sur ma maison. Le 19 juin vers 3 h, Bouteflika téléphone en vain à Si Omar. Celui-ci vient me prendre à 6 h. Nous décidions d’aller aux Affaires étrangères mais avant d’y aller on est passé par la place des Martyrs, le square Bresson, la Grande Poste, la radio, partout il y avait des blindés. Puis nous sommes passés chez Abdelmadjid Bennacer. Nous lui avions dit de prendre ses précautions et de quitter sa maison. De là on s’est dirigé vers les Affaires étrangères. Bouteflika était là.
                              Bouteflika : Ah Omar, justement je voudrais te voir pour faire partie de la commission de rédaction du communiqué de la révolution.
                              Omar : Pas de problème mais vous avez déjà une équipe merveilleuse qui est en train de préparer le discours d’ouverture de Ben Bella pour la conférence des chefs d’Etat. Bouteflika passe un coup de téléphone. Hadj Yalla et Benhabilès voient se diriger vers eux les militaires croyant que c’était en relation avec leurs écrits. Bouteflika les reçoit et leur dit : « Il faut faire un appel. » Ils ont rédigé le discours (seuls ou avec d’autres ?). En sortant de chez Bouteflika, on apprend qu’il y a des foyers de résistance à Alger. On décide d’aller voir Boumediène qui nous reçoit sur-le-champ.
                              Omar : Tu as pris le pouvoir. Félicitations. Mais Alger résiste.
                              Boumediène : Et alors ?
                              Omar : Il faut maintenant que les motions de soutien arrivent.
                              Boumediène : Qui doit les faire ?
                              Omar : La première doit être la Wilaya III.
                              Boumediène : C’est une très bonne idée si vous pouvez la mettre en application. Allez voir Kaïd Ahmed à la radio pour qu’il vous rétablisse le téléphone. Revenons un peu en arrière. Omar avait réuni les gars du FFS et certains du FLN lorsqu’il avait fait descendre les gars du maquis. Il leur a dit Ben Bella et Boumediène vont s’entredéchirer à mort. Je vous demande de protéger la Kabylie, elle mérite la paix. Ils ont pris l’engagement de laisser la Kabylie en paix. Omar appelle le wali de Tizi Ouzou (Ahmed Zmirli), il n’était pas là. Il appelle le responsable du parti, il n’était pas là. Il appelle le responsable de la milice, il n’était pas là non plu. Il appelle alors le maire, il n’était pas là mais il tombe sur un petit responsable et là Omar demande qu’on lui envoie quelqu’un d’urgence après s’être présenté évidemment. Moins d’une heure après, un homme se présente chez Omar. Il lui donne un stylo et lui dicte la motion de soutien contre le culte de la personnalité, etc. Toutes les wilayas ont été obligées de suivre. Omar va ensuite voir Bouteflika et lui dit : Tu sais bien que la majorité de nos ambassadeurs sont des lèche-bottes de Ben Bella ?
                              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                                Bouteflika : Oui bien sûr.
                                Omar : Les ambassadeurs sont les représentants du chef de l’Etat. Ils sont accrédités par le chef de l’Etat auprès d’autres chefs d’Etat. Sur le plan international, la meilleure façon de le liquider c’est que les ambassadeurs retirent leur confiance à Ben Bella. Et Omar en tant qu’ambassadeur de l’Algérie auprès de la Bulgarie rédige une motion de soutien de trois lignes. Mais ceux qui étaient proches de Ben Bella ont écrit des demi- pages pour insulter l’ancien chef de l’Etat. Puis arrivent les manifestations de Annaba qui ont fait 4 morts. Les benbellistes ont fait dire à tout le monde que Ben Bella est un national et qu’il est contre le régionalisme. Il s’est fait renverser à cause de son accord avec les Kabyles et cette armée est une armée de division. Ils ont fait une manifestation en pensant qu’elle allait faire boule de neige. Un chauffeur de Annaba apporte des nouvelles fraîches à Omar. Ce dernier prend sa voiture et va voir Boumediène. Omar raconte comment ça s’est passé à Boumediène : Tout cela parce que tu n’as pas appliqué les décisions.
                                Boumediène : J’ai donné ordre au ministre de la Justice.
                                Omar : Il ne les a pas appliquées.
                                Boumediène prend le téléphone et appelle Béjaoui : Les militants du FFS qu’est-ce que tu attends pour les libérer ?
                                Bédjaoui : Monsieur le président, je prépare une loi d’amnistie.
                                Boumediène : Ta loi d’amnistie mets-là où je pense. Tu es ministre, je te donne un ordre, es-tu prêt à l’exécuter, si tu n’es pas prêt, tu sors de ton bureau, je place quelqu’un qui les libère.
                                Béjaoui : Non, Monsieur le président, ils seront libérés.
                                Boumediène : Tu avertis immédiatement la prison de Berrouaghia. Il repose le téléphone.
                                Omar : Maintenant est-ce que je peux aller voir Medeghri ?
                                Boumediène : Tu as ma confiance. Omar s’en va donc voir Medeghri et lui demande d’appeler le préfet de Médéa et lui demander de mobiliser tous les moyens de locomotion : taxis, autobus, camions. Il faut que les détenus de Berrouaghia arrivent ce soir à Alger. 2625 détenus ont été libérés. Pendant ce temps-là, Boualem Oussedik, toujours en résidence surveillée, était en train de conseiller le chef de la daïra et le wali de faire des communiqués de soutien. Ces responsables attendaient chaque jour qui allait prendre le pouvoir. Boualem Oussedik leur a dit : Attention, chaque minute compte, vous êtes en train de prendre des risques. Deux jours après, Omar retourne voir Boumediène et lui dit que Boualem Oussedik est toujours en résidence surveillée et que la famille le tarabuste. Boumediène a demandé à l’armée de la région de ramener Si Boualem sur Alger par les moyens les plus rapides. Il a été ramené par avion et débarquait à Boufarik. Quelques heures après son arrivée, on lui a demandé si possible de faire un communiqué de soutien. Si Boualem l’a donné, dans lequel on trouve qu’il adhère au programme figurant dans la déclaration. Par téléphone, le nouveau pouvoir demande à Omar de se préparer pour partir en Afrique maintenant que Boualem est rentré chez lui et de venir à la présidence avec Azzedine. Une fois arrivés à la présidence, nous trouvons Boumediène et Bouteflika.
                                Boumediène : Omar, tu disais qu’Alger est la région la plus sensible.
                                Omar : Oui.
                                Boumediène : Ta mission en Afrique, elle peut attendre. Occupez-vous de la zone d’Alger. En sortant de chez lui, on a contacté les militants de la ZAA et on a commencé d’abord par Si Mohamed Flici, responsable du secteur de Saint-Eugène. Après avoir contacté son staff, un communiqué de soutien au nouveau pouvoir a été fait et donné à la presse. Ce communiqué a fait tache d’huile sur tout Alger. La Fédération s’est effondrée et il ne faut pas oublier que la grande fédération d’Alger avait des armes. Il y a eu une lutte sans effusion de sang entre eux et nous. Notre tactique consistait à faire des brèches dans les organisations de masse afin de les amener à perdre du temps et à colmater les dégâts que nous leur avions causés et pendant ce temps-là les heures s’écoulaient et le nouveau pouvoir se renforçait. Il y avait également beaucoup de militants qui rejoignaient les rangs des autorités, qui par conviction, qui par calcul, qui par peur, etc. Un grand militant de valeur que nous aimions beaucoup, Rebah Lakhdar, est venu nous voir. Il y a eu entre nous un débat contradictoire mais fraternel, sans arriver à un accord. On lui a dit : Vous êtes courageux, nous sommes courageux, vous êtes des patriotes, nous sommes des patriotes, vous êtes capables d’appuyer sur la gâchette, nous sommes capables d’appuyer sur la gâchette, vous êtes pour Ben Bella, nous sommes contre lui. Mais si vous voulez qu’on se donne en spectacle devant une population qui continue à nous respecter, nous ne commencerons jamais les premiers à tirer sur nos anciens compagnons d’armes, mais nous nous battrons. On a eu gain de cause, car sur la plan politique on avait raison, mais il n’y a pas de quoi bomber le torse face à des compagnons de lutte. Notre sentiment, Ben Bella était tellement soumis au président égytien que s’il était resté au pouvoir, il nous aurait réunis à l’Egypte. Le coup d’Etat réussi, il y avait toujours deux hommes en prison : Aït Ahmed et Si Moussa Ben Ahmed. Le pouvoir a demandé à Omar de rendre visite à Aït Ahmed pour le mettre au courant de la nouvelle situation et les accords conclus FLN-FFS. Omar a refusé sans donner d’explication. Ce sont Mourad Oussedik et Abdelhafid qui ont pris la relève. Après le 19 juin, Aït Ahmed qui se trouvait à Lambèse a été transféré vers la maison d’arrêt de Maison-Carrée. Après la libération des 2625 détenus FFS, Abdelhafid est allé voir Aït Ahmed en prison pour lui dire que les autorités leur demandent de restituer les armes. La réponse d’Aït Ahmed est la suivante : « La première négociation a eu lieu avec Ben Bella au pouvoir, elle a abouti à l’accord que nous savons. Ce dernier est arrêté, il faut recommencer les négociations pour discuter de la composition du pouvoir. » C’est-à-dire que le FFS devait être membre du Conseil de la révolution et membre du gouvernement. Abdelhafid retourne voir Omar et lui dit : Quand est-ce qu’ils vont libérer Aït Ahmed ?
                                Omar : Je ne sais pas. Ils vont le libérer, c’est sûr.
                                Abdelhafid : Il faut qu’il le libère.
                                Omar : Oui, si vous faisiez une chose
                                Abdelhafid : Laquelle ?
                                Omar : Le FFS a été constitué en opposition à Ben Bella qui avait accaparé tous les pouvoirs, instauré le pouvoir personnel et multiplié les abus, etc. Maintenant que Ben Bella est arrêté, il faut envoyer un message pour dire que vous êtes prêts à ouvrir un débat politique avec le Conseil de la révolution. Abdelhafid revient voir Si Omar et lui dit : C’est la composition du pouvoir qu’il veut.
                                Omar : Ecoute, quand je suis venu te descendre du maquis, je t’ai dit que ça allait éclater entre les deux si vous vous arrangez.
                                Abdelhafid : Oui
                                Omar : Je t’ai dit que si vous ne tombez pas d’accord, je m’engage à te ramener au maquis.
                                Abdelhafid : Oui.
                                Omar : Ce que je t’ai prévu est arrivé, maintenant tu es libre, l’accord je ne te l’ai pas imposé. Il a eu ton aval, il a eu aussi l’aval d’Aït Ahmed, si vous voulez revenir sur vos négociations, moi je ne suis pas le pouvoir et cette fois-ci débrouillez-vous seul. Reprenez les négociations vous-mêmes. Abdelhafid a éclaté en sanglots en disant : Mais qu’est-ce qu’il veut cet homme, notre liquidation ou quoi ? On n’a pas la possibilité de reprendre les armes. Pendant un bon bout de temps, Omar faisait traîner les choses avec Cherif Belkacem. Puis un jour, ce dernier téléphone à Omar en lui disant de venir avec Azzedine. Cherif Belkacem s’adresse à Omar en lui disant : A partir d’aujourd’hui, tu es déchargé des contacts avec le FFS, tu enveloppes trop. Nous préférons Boumediène, à moins que ça soit Azzedine qui prenne les choses en main. Etant assis à côté de mon ami, celui-ci a répondu du tac au tac que c’était un bon choix tout en me pinçant sous la table afin que je me taise. Après avoir pris en charge l’affaire, on a appris que dans la délégation du FFS, il y avait une taupe qui informait les services. Nous avons appris aussi qu’Aït Ahmed dans sa cellule était sous écoute. Tout ce qui se disait était su par le pouvoir. Sachant que le FFS voulait sa part du pouvoir, ils ont laissé traîner jusqu’à ce que Ben Bella soit totalement liquidé. Puis un jour, Cherif Belkacem nous a appelés Abdelhafid et moi. S’adressant à Abdelhafid : Vous ne voulez pas rendre les armes comme c’est stipulé dans les accords, d’accord. Nous, nous avons pris le pouvoir et nous ne reviendrons pas sur les décisions que nous avons prises. Les hommes libérés resteront dehors mais tout ce qui bouge ira en prison. Nous vous donnons huit jours pour rendre les armes sinon nous irons les chercher et on sait où elles sont. Abdelhafid a été voir Aït Ahmed pour lui rendre compte. Aït Ahmed avec beaucoup de dégoût lui a dit : Fais ce que tu veux. Omar avec beaucoup d’émotion m’a raconté un jour ceci : J’étais en poste à Sofia lorsque j’ai appris votre arrestation (Boualem et moi) par Ben Bella. J’ai décidé de quitter la Bulgarie pour rentrer sur Alger. Trois heures avant que je ne prenne l’avion, j’ai envoyé un message à Bouteflika pour lui dire que je viens pour consultation. Un télégramme signé par Bouteflika tombe juste au moment où Omar s’apprêtait à partir vers l’aéroport de Sofia. « Je t’ordonne de rester en place. Te convoquerais en temps opportun. » Quinze jours après, il me convoque.

                                Ce témoignage exclusif du commandant Azzedine est un extrait du livre à paraître prochainement
                                el Watan
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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