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Hamrouche pour une légalisation de l’activité informelle

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  • Hamrouche pour une légalisation de l’activité informelle

    Hamrouche pour une légalisation de l’activité informelle
    Il fait un constat négatif de la gestion des affaires du pays : Mouloud Hamrouche plaide pour une légalisation de l’activité informelle


    Journal Le jeune Indépendant: édition 2136 du mardi 10 mai 2005
    par Mekioussa Chekir

    A défaut de pouvoir combattre l’économie dite informelle, qui gangrène chaque jour un peu plus notre économie par l’ampleur qu’elle ne cesse de prendre, il serait plus sage de légaliser ce qui peut l’être en vue d’introduire l’activité économique dans le circuit formel.

    C’est l’idée que prône et défend avec conviction l’ex-chef du gouvernement sous Zeroual, Mouloud Hamrouche, une idée qu’il a eu l’opportunité de développer hier lors d’une rencontre du Club des cadres de la finance et de la comptabilité dont il était l’hôte.

    Il devait rappeler à ce sujet la levée de boucliers qui a suivi la proposition qu’il avait faite du temps où il était en fonction et inhérente à la légalisation de l’importation des containers, qui se faisait à grande échelle et au mépris de la loi.

    Devant intervenir autour du thème «Privatisation, préalable et/ou conséquences de la mondialisation», l’ancien chef du gouvernement a passé en revue nombre de questions économiques et politiques et établi un constat globalement négatif de la gestion faite par les dirigeants de l’Algérie post-indépendance.

    Un constat d’échec sans appel qui l’a amené à constater que notre pays est sans cesse en situation d’«éternel commencement» et où «l’effort n’aboutit jamais». Une situation qu’il compare à celle du héros du roman de Cervantès, Don Quichotte, qui se bat contre des moulins à vent, c’est-à-dire contre un ennemi invisible.

    M. Hamrouche est, par ailleurs, d’avis que les dirigeants du pays se cachent derrière la formule consacrée : «Ce sont les injonctions de l’OMC !» pour justifier les différentes mesures restrictives prises, dont les hausses des prix de certains produits.

    «Il n’existe aucune injonction de l’OMC si ce n’est celle de la compétitivité, ce qui n’est pas encore le cas pour notre économie». «L’OMC est juste une institution de régulation», constate-t-il. Interrogé sur les 55 milliards que l’Etat compte injecter pour le redressement de notre économie, M. Hamrouche estime que si la somme est importante et de nature à impressionner les pays qui ne la possèdent pas, le plus important consiste en la capacité des institutions économiques existantes à absorber ce montant pour le traduire en source de richesses.

    A une question relative à la privatisation de Sonatrach, l’hôte du club répondra que le tout est de savoir ce que les décideurs veulent faire de cette entreprise stratégique. «Aujourd’hui, les richesses de notre pays ne sont ni identifiées ni identifiables».

    M. Hamrouche est longuement revenu sur les raisons de l’échec des différentes réformes économiques entreprises par le pays, qu’il situe à un niveau politique, économique et juridico-technique. Pour une sortie de crise, l’intervenant propose «une action concrète» qui obligerait les gens à respecter un minimum de normes, qui limiterait les pouvoirs des puissants et qui protégerait les citoyens.

    M. C.
    13
    oui, elle est justifiee
    53,85%
    7
    non, elle inexacte
    23,08%
    3
    je n'ai pas compris son message
    0,00%
    0
    sans avis
    23,08%
    3
    Dernière modification par aitmakki, 09 mai 2005, 21h53.
    De l'algérie je suis nostalgique

  • #2
    Hamrouche reapparait, critique de la politique economique avec l soutien de la presse

    «L'Algérie n'est pas en condition d'entamer sa longue marche vers une économie de marché concurrentielle ni de déverrouiller la croissance», a indiqué hier l'ancien chef de gouvernement, Mouloud Hamrouche, lors d'une conférence animée au Club des cadres des finances sur le thème «Privatisation : un préalable ou une conséquence de la mondialisation ?».

    Mouloud Hamrouche a en effet établi un diagnostic noir sur la situation économique (système financier, glissement de l'informel ) du pays en critiquant la stratégie menée par l'équipe du président Abdelaziz Bouteflika en matière de réformes et de privatisation. «L'Algérie est un pays hors réforme et hors globalisation. Parler de la privatisation comme un préalable ou conséquence de la mondialisation, c'est risquer une mystification ou une désillusion de plus», soutiendra-t-il à ce sujet. Et de préciser que la réussite du processus de privatisation dépend de plusieurs facteurs. «Pour qu'elle soit un succès, la privatisation ne doit pas souffrir d'ambiguïté, d'incohérence ou d'hésitation. Elle doit être claire dans ses préalables, ses énoncés et ses objectifs», a encore souligné Mouloud Hamrouche qui a explicité par ailleurs ces préalables. Il s'agit, entre autres, de la légitimation des positions économiques et sociales, des situations de droit et de légalité, des autorités indépendantes de contrôle, des gestionnaires identifiés et responsabilisés et d'organes de vérification.

    En parlant des équivoques et des confusions qui règnent au niveau gouvernemental, l'ancien chef de l'Exécutif rappellera dans son exposé que l'opération de privatisation connaît actuellement un flottement. Il dira carrément que l'Algérie a gâché sa réforme interne et a échoué dans les réformes dictées par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), laissant place ainsi au glissement sans cesse croissant de l'informel et à d'autres dérapages. «L'informel prime sur l'officiel, y compris dans l'officiel», notera l'orateur. Les raisons de ce blocage sont multiples selon lui. Elles se situent toujours sur trois plans : politique, économique et juridico-technique et sont directement liées à plusieurs dysfonctionnements. Il s'agit, à titre d'illustration, du contrôle bureaucratique total de la sphère économique, du défaut de contrôle et de contre-pouvoirs, du manque d'instruments socioéconomiques de régulation et de l'insuffisance de garanties et de transparence. Après avoir dressé ce constat des plus accablants, faut-il le souligner, M. Hamrouche conclura que la privatisation ne peut faire office de stratégie de développement ni tenir lieu de redressement économique.

    D'ailleurs, cette situation ne peut pas permettre à l'Algérie de prétendre à un partenariat industriel crédible ni attirer les investissements pour reprendre l'expression de Mouloud Hamrouche qui avancera clairement : «La quête de l'investissement direct étranger devient un leurre.» Et d'ajouter, dans la même lancée : «Le pays n'a pas besoin d'alternative mais d'une action concrète pour obliger les gens à fonctionner selon les normes.» «Malheureusement, les conditions pour lancer cette action n'existent pas pour l'heure», soulignera Hamrouche qui reviendra par la même occasion sur l'enveloppe financière consacrée au plan de soutien à la relance économique. Interrogé par les journalistes sur cette question, il dira : «L'économie nationale n'a pas les capacités de digérer les 55 milliards de dollars. Certes, l'enveloppe impressionne, mais la bonne gestion doit suivre.» En conclusion, l'ancien chef de gouvernement insistera à lancer un projet de modernisation fiable en assurant les conditions nécessaires à cet effet. «L'urgence est que l'Algérie dispose d'un projet global de modernisation. Encore faut-il pour cela que l'Algérie se rappelle de nouveau ce qu'elle est, ce qu'elle veut et où elle veut aller», a-t-il conclu.

    Fait scandaleux hier lors de la conférence animée par M. Mouloud Hamrouche au siège de la Confédération des cadres des finances. A l'instar de leurs confrères, deux journalistes de la Tribune se sont présentées pour couvrir l'événement. A leur grande surprise, la préposée à l'accueil les informe que sur instruction ferme de Abdelkrim Mahmoudi, les journalistes de la Tribune sont interdites d'accès et n'étaient pas les bienvenues. Celles-ci insistent. Mais les agents de la Confédération persistent et s'en réfèrent au sieur Mahmoudi qui, délaissant M. Hamrouche, a intimé l'ordre aux deux journalistes de quitter les lieux. Les collaboratrices de la Tribune refusent alors de sortir invoquant le droit d'accès à l'information et que, de toutes les façons, elles étaient là pour écouter l'ex-chef de gouvernement. Le responsable de la Confédération malmènera alors l'une d'elle en tentant de l'agresser physiquement. Elle se défend et repousse l'agression physique.

    N'eut été l'interposition de certains invités, notre collègue aurait été molestée. Nos deux journalistes ont donc accompli la mission pour laquelle elles ont été désignées, après que les confrères présents, dans un élan de solidarité agissante, qu'il faut saluer, eurent menacé de boycotter la conférence si les journalistes de la Tribune n'étaient pas admises. Mahmoudi reprend sa place. A noter que ce scandale a eu lieu en présence de beaucoup de personnalités du monde économique et de quelques membres du corps diplomatique accrédités en Algérie, qui étaient choqués par l'attitude de ce baronnet.En tout état de cause, la Tribune décide de porter l'affaire devant la justice pour interdiction d'accès à l'information, entrave à l'exercice de la profession, intimidation, tentative d'agression physique et voie de fait.


    Samira Imadalou


    Le 10 mai il fait la une de la plupart des journaux, mis a part l'expression ou el moujahid par exemple.#


    Etes vous d'accord avec sa vision des choses de l'ancien premier ministre?

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    • #3
      oui! et puis c'est le pionnier des réformateurs!
      c'est un vrai de vrai!
      moudjahed,fils de chahid ,ancien officier superieur de l'anp ,ex chef du gouvernement et homme de poigne, pas une femmellette!

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      • #4
        et !il a raison sur toute la ligne!
        l'economie informelle est tres puissante et manipule notre politique en nous imposant de la médoicrité pour son profit!
        une fois légalisée , elle se découvrira devant le peuple;tout d'abord pour le fisc
        et ensuite pour la justice.

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        • #5
          Je pense que son positionnement sonne faux ; il prêche le faux et petit à petit "l'oiseau fait son nid"; son discours est -on ne peut plus pessimiste- mais c'est à mon avis ruser pour revenir sur scène d'un pied ferme et s'auto-servir (s'en mettre plein les poches) Hamrouche sait très bien que les investisseurs sont en pleine expansion en Algérie ;il regrette seult de n'être pas à l'honneur de cette ascension du pays ; il constate bien au contraire que la situation du pays aujourd'hui est à l'inverse de celle qu'il prêche ; le niveau économique se développe, les banques croissent (c'est dire que petit à petit les comptes en banque se remplissent parce que maintenant les gens (voir les étrangers) prennent confiance).

          Il dit que l'Algérie ne peut pas prétendre à un partenariat industriel crédible ni attirer les investissements : c'est lui qui se leurre ; j'ai envie de lui dire, "ne mettons pas la charue avant les boeufs" ; attendons de voir, laissons faire évoluer les idées positives ; on sait qu'aujourd'hui ACCOR et SOFITEL ont conclu un marché du tourisme avec l'Algérie avec la construction de plusieurs hôtels (35 pour ACCOR et la première construction démarrera en 2006 en commençant par Constantine, si je ne m'abuse ...) ; c'est bien du concret ça ; investissements, emplois, économie (que du positif)
          Alors je dirais à Hamrouche que si c'est pour prêcher des discours controversés, qu'il retourne labourer ces champs, là au moins il trouvera le fruit de son labeur à ses propres dépens et ça le rendra certainement plus optimiste (personne ne viendra le déranger, il n'aura pas besoin de "gros bras" derrière lesquels se cacher, pas besoin d'agresser , et il ne sera pas perdant).
          A bon entendeur.
          A qui versera des pleurs tremble d'en voir couler.
          Et plus on a souffert mieux on sait consoler.

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          • #6
            Mis à par les gros bras dans les hydrocarbures et les télécommunications , le reste porterait volontiers le nom d'INFESTISSEMENTS .

            Les capitaux étrangers ne rentrent dans notre pays que selon les lois des "initiés" , et aucun vrai investisseur ne se résoudrait à prendre le moindre risque dans une jungle administrative telle que la notre .

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            • #7
              Tant qu'il y aura du pétrole en Algérie, il y aura toujours des investisseurs aux portes du pays; peut-être même que G.W. BUSH y a déjà un pied
              A qui versera des pleurs tremble d'en voir couler.
              Et plus on a souffert mieux on sait consoler.

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              • #8
                Ils n'investissent pas chère amie , ils viennent prendre des parts de marché pour leurs produits .

                On annonce à travers la presse l'installation à Alger de trois salons de ................. Jaques Dessange !

                Il ne nous manque plus que Speedy et DisneyLand !

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                • #9
                  "Jacques Dessange" eh bien voilà de l'investissement!! il faudrait savoir, investissement ou pas investissement... Rester à l'état sauvage ou évoluer, moi personnellement je suis pour l'évolution, de toute façon l'Algérie n'a rien à perdre mais plutôt tout à y gagner.
                  A qui versera des pleurs tremble d'en voir couler.
                  Et plus on a souffert mieux on sait consoler.

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                  • #10
                    Resumer l'investissement a 3 salons Jaques Dessange, c'est ridicule Thor. L'Algerie est le pays qui attire la plus grosse part d'investissement directs etrangers sur la rive sud de la mediteranee, Israel incluse dans ce classement. Alors resumer cela a 3 salons Jaques Dessange... L'economie Algerienne est celle qui a la plus forte croissance du Maghreb, et la 2eme plus forte croissance apres la Turquie dans la rive Sud de la Mediteranee, Israel incluse encore une fois. Rien que pour les 6 premiers mois de l'annee 2005 il y a eut plus de 7 milliards de $ d'investissements etrangers, dont plus de 2,5 milliards en dehors du secteur des hydrocarbures du Sud. Par exemple la compagnie Espagnole FERTIBERIA a rachetee la societe publique Algerienne d'engrais ASMIDAL pour 1 milliard de $ (720 millions d'Euros). Si c'est pas de l'investissement ca... Le groupe ACCOR a investit 140 millions de $ pour la construction de 36 hotels a travers le pays, la societe Americaine OPIC a consentit 186 millions de $ pour la construction d'une station de dessalement d'eau de mer, la societe IONICS elle va depenser 67 millions de $ dans le meme projet, le groupe Saoudien SIDAR lui a investit 350 millions de $ pour la construction d'un hotel et d'un centre d'affaires, la societe Turque HAYATE a investie 25 millions de $ pour la construction d'une usine de produits chimiques, les Koweitiens ont investit 350 millions de $ dans l'entreprise de telephonie mobile EL WATANIYA, ORASCOM a investit 65 millions de $ dans la construction d'un cable de communications sous marins, et ainsi de suite. Si tu fait le compte rien que de cela on a deja depasse les 2 milliards de $ d'investissements hors hydrocarbures je pense. On peut citer aussi les investissement de MICHELIN, DANONE, AL HIKMA Jordanienne, HENKEL, CNPC Chinoise, et d'autres qui ont tous depasses les 10 millions de $ au moins d'investissements. Alors resumer l'investissement en Algerie a 3 salons de coiffures de Jaques Dessange c'est vraiment exagerer la caricature. Jaques Dessanges, les chaines de restaurants Francais et ce genre de trucs c'est des petits fours, c'est pas le plat de resistance. Si on prend en compte les investissements dans les hydrocarbures sur la meme periode comme 3 milliards de $ de REPSOL a Gassi Touil pour un projet de gaz naturel ou les 1,6 milliards de $ de REPSOL et GAZ NATURAL pour la construction d'une tranche du 2eme gazoduc Algerie-Espagne alors tu comprends que Jaques Dessange c'est des cacahuetes dans la balance sans vouloir manque de respect a Jaques . Et le meilleur reste a venir pour la periode 2005-2009.

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                    • #11
                      Envoyé par Double6
                      L'Algerie est le pays qui attire la plus grosse part d'investissement directs etrangers sur la rive sud de la mediteranee, Israel incluse dans ce classement.
                      Envoyé par Double6
                      L'economie Algerienne est celle qui a la plus forte croissance du Maghreb, et la 2eme plus forte croissance apres la Turquie dans la rive Sud de la Mediteranee, Israel incluse encore une fois. Rien que pour les 6 premiers mois de l'annee 2005 il y a eut plus de 7 milliards de $ d'investissements etrangers, dont plus de 2,5 milliards en dehors du secteur des hydrocarbures du Sud.
                      Les sources? si possible ......?

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                      • #12
                        Les sources? si possible ......?
                        Je n'ai plus les articles sous la main, mais il suffit de comparer les chiffres. Pour les taux de croissances tu peut les retrouver tous au CIA World Factbook (http://www.cia.gov/cia/publications/factbook) selon leur methodes de calcul, ou sur le site de la banque mondiale selon une autre methode de calcul. Les 2 methodes donnent le meme classement des taux de croissance economique pour les pays de la rive Sud de la mediteranee qui est le suivant:

                        Turquie: 8,2%
                        Algerie:6,1%
                        Tunisie:5,1%
                        Lybie: 4,9%
                        Egypte: 4,5%
                        Maroc: 4,4%
                        Liban: 4,0%
                        Israel: 3,9%
                        Syrie: 2,3%

                        Pour les IDE faudrait tous les retrouver. Je ne retrouve pas l'article exacte, mais j'ai retrouve celui ci tire de la presse Algerienne (El Watan). En tout les cas si l'economie Algerienne ne croit pas assez vite comme l'indique Hamrouche, ou si celle ci n'attire pas assez d'investissements a ses yeux, alors le constat sera encore plus severe pour plusieurs economies du bassin meditareneen en terme de croissance, d'IDE, et autres facteurs. Hamrouche a fait un discours politique et non pas un discours economique. C'est son droit, mais cela ne change rien a la realite des faits.

                        Investissement:
                        L’Algérie en bonne place.


                        L’Algérie constitue, à elle seule, 90% des opportunités d’investissement dans la région du sud et de l’est de la Méditerranée.

                        De ce fait, elle représente, aux côtés d’autres pays de cette région, un marché particulièrement porteur pour des investisseurs constamment en quête de nouveaux débouchés. C’est, en tout cas, le constat établi par Anima qui regroupe un réseau euroméditerranéen d’agences de promotion des investissements, financé par l’Union européenne. Un constat communiqué dans le contexte des programmes de privatisation en cours dans les pays Meda. Ceci à l’occasion de la tenue, depuis hier à Marseille, des Assises méditerranéennes de l’international (AMI 2005), du salon l’Hydrotope axé sur la gestion de l’eau et du colloque international Medinnov de l’innovation. Selon l’APS qui rapporte ces informations, 500 opérateurs économiques du bassin méditerranéen participent à ce cadre de consultation professionnelle dont une centaine d’entrepreneurs et donneurs d’ordre algériens (publics et privés). Ils débattront des opportunités de partenariat dans divers secteurs d’activité, tels que l’industrie, l’agro-alimentaire, l’hydraulique, l’environnement, les services ou la santé. C’est d’ailleurs pourquoi sont programmés quelque 3000 rendez-vous d’affaires à l’occasion de cette quinzième édition des AMI qu’organise la Chambre de commerce et d’industrie Marseille-Provence (CCIMP). Toujours d’après la même source, une convention d’affaires et de partenariat réservée aux acteurs du secteur de l’eau et de l’assainissement sera conclue à cette occasion. Sur un autre registre, des rencontres se tiendront entre responsables méditerranéens de l’innovation, notamment des universitaires, des opérateurs d’incubateurs, des pépinières d’entreprises, des technopôles, des agences de promotion des investissements, des sociétés de capital-risque et des experts de l’intelligence économique. L’objectif du colloque Medinnov 2005 étant d’établir « un état de l’art dans les domaines de la création de l’entreprise innovante, du financement et du transfert de technologies » en Méditerranée. D’où un appel pour un investissement massif dans cette région du monde lancé par Anima. Celle-ci révèle, en outre, que l’espace méditerranéen, avec une population de près de 380 millions d’habitants (42% en Europe et 36% sur la rive Sud), produit 15% des richesses annuelles de la planète et réalise 16 % des échanges mondiaux. Avec, en plus, cette précision que les pays du sud de la Méditerranée présentent de forts taux de croissance largement supérieurs à ceux des pays occidentaux.

                        S. E. Belabès



                        P.S: Pourquoi tu me sert un "" a chaque fois que tu m'ecris un message?
                        Dernière modification par double6, 11 mai 2005, 01h38.

                        Commentaire


                        • #13
                          Double6 avoue qu'il n'est pas difficile d'avoir une croissance bien soutenu quand on a des revenue petrolier exceptionnelle, le contraire aurait été difficile à croire.


                          Pour les données économiques sur l'Algérie, j'ai cherché sur le site de la banque mondiale le classement du premier trimestre 2005, je ne l'ai pas trouvé ni celui de 2004 d'ailleur par contre j'ai trouvé le classement des pays d'après l'indice IDH plus complet que celui de la croissance du PIB sur le site du PNUD l'Algérie se place à la 108 ième place après la Tunisie 92ième place, le Liban 80ième place et Israel 22ième place. http://hdr.undp.org/reports/global/2...r04_fr_HDI.pdf

                          Sinon j'ai trouvé le rapport du CNES dater de Janvier 2005 : http://www.diplomatie.be/fr/press/ex...p?TEXTID=29659

                          Et enfin les prévision de l'OCDE: http://www.algerie-dz.com/article874.html

                          Commentaire


                          • #14
                            salut tizemt! ça veut dire quoi ? au juste....

                            TIZEMT vbmenu_register("postmenu_88255", true);
                            FA. insider



                            Date d'inscription: février 2005
                            Messages: 336



                            Je pense que son positionnement sonne faux ; il prêche le faux et petit à petit "l'oiseau fait son nid"; son discours est -on ne peut plus pessimiste-
                            non! mr ou madame tizemt! j'ignore VOTRE GENRE!
                            hamrouche ne preche pas le faux! il le connais assez bien :il dit vrai et sans
                            peur ni reproche.
                            Si ce n'etait pas un vrai patriote? il serait déja avec la nomenclatura des intouchables pourris et corrompus.
                            ET il sait ce qu'il dit.
                            ET SI TU PENSE AUX PROCHAINES ELECTIONS DE 2009?
                            JE Peux t'assurer d'office : qu'il y serra et en force.

                            Commentaire


                            • #15
                              A

                              Beaucoup de nos compatriotes ont la mémoire tres courte, un certain 8 avril 2004 ou des hautes personnalitées politiques aisni que des generaux juraient sur le coran que Boutef ne passera pas. Mais le peuple a decidé le contraire,jamais deux sans trois, les doigts dans le nez, il passera comme un timbre à la poste. Car ,c'est le seul homme de la situation en ce moment, le seul qui a pris tous les pouvoirs, le seul vrai Président qui n'a eu peur de personne. La vraie image qu'il donne , c'est en ce moment où tous les présidents et Rois Arabe ne se sont pas rendus au Brésil sur injonction des Etats Unis, Boutef est parti et a fait voter le texte qui condamne Israel, c'est pas un grand président cela. Fakou!!! le peuple n'est plus dupe , il sait sur qui choisir heureusement pour nous. Les champs des sirénes d'ailleurs , nous avions l'habitude , il n'est pas interdit de rêver, alors revassons.

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