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Le gouvernement a-t-il décidé de durcir le ton contre les terroristes repentis ? Selon des informations rapportées ce matin par le quotidien arabe basé à Londres « Al Hayat », les forces de sécurité ont arrêté, samedi 22 septembre, l’ancien chef du GSPC (devenu Al-Qaïda pour la région du Maghreb), Hassen Hattab.
Le journal, citant des sources sécuritaires algériennes, affirme que l’ancien chef terroriste a été arrêté chez lui à Hussein Day (Alger), en compagnie d’autres anciens membres de groupes armés aujourd’hui repentis, au moment de la rupture du jeûne. Son arrestation, selon Al Hayat, serait liée à une enquête sur des cellules terroristes actives en Algérie. Mais le quotidien croit savoir que Hassen Hattab ne serait pas lié à ces mouvements.
Depuis le retour en force des groupes armés, les observatoires pointent régulièrement du doigt la responsabilité des terroristes repentis. Selon des informations difficiles à vérifier, après avoir bénéficié d’une grâce présidentielle dans le cadre de la concorde civile, ils seraient nombreux à avoir regagné les maquis islamistes.
Le gouvernement a-t-il décidé de durcir le ton contre les terroristes repentis ? Selon des informations rapportées ce matin par le quotidien arabe basé à Londres « Al Hayat », les forces de sécurité ont arrêté, samedi 22 septembre, l’ancien chef du GSPC (devenu Al-Qaïda pour la région du Maghreb), Hassen Hattab.
Le journal, citant des sources sécuritaires algériennes, affirme que l’ancien chef terroriste a été arrêté chez lui à Hussein Day (Alger), en compagnie d’autres anciens membres de groupes armés aujourd’hui repentis, au moment de la rupture du jeûne. Son arrestation, selon Al Hayat, serait liée à une enquête sur des cellules terroristes actives en Algérie. Mais le quotidien croit savoir que Hassen Hattab ne serait pas lié à ces mouvements.
Depuis le retour en force des groupes armés, les observatoires pointent régulièrement du doigt la responsabilité des terroristes repentis. Selon des informations difficiles à vérifier, après avoir bénéficié d’une grâce présidentielle dans le cadre de la concorde civile, ils seraient nombreux à avoir regagné les maquis islamistes.
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