C'était le 21 mai 2001 : les femmes avaient décidé de manifester à Tizi Ouzou pour dénoncer la répression en Kabylie et l'impunité en vigueur en Algérie.
Plus de 6 ans plus tard, aucun haut responsable n'a été jugé et limogé suite à la gestion catastrophique de la crise en Kabylie. Plus de 120 personnes tuées mais malgré ce lourd bilan, la justice n'a pas jugé utile d'enquêter et de définir les responsabilités.
Bouteflika avait une occasion en or de démontrer aux algériens qu'il est l'homme des réformes, mais au lieu de cela, il a non seulement laissé la crise s'aggraver, mais il n'a aussi rien fait pour envoyer les responsables devant la justice.
Pour démontrer qu'il a compris ses erreurs, Bouteflika a récidivé en faisant voter en 2005 une charte de la "réconciliation" qui a blanchi des milliers de terroristes, dont "son ami" Madani Mezrag, sinistre chef terroriste responsable de milliers de morts.
Grâce à Bouteflika, l'impunité en Algérie n'est plus seulement tolérée, elle a été institutionnalisée...





Plus de 6 ans plus tard, aucun haut responsable n'a été jugé et limogé suite à la gestion catastrophique de la crise en Kabylie. Plus de 120 personnes tuées mais malgré ce lourd bilan, la justice n'a pas jugé utile d'enquêter et de définir les responsabilités.
Bouteflika avait une occasion en or de démontrer aux algériens qu'il est l'homme des réformes, mais au lieu de cela, il a non seulement laissé la crise s'aggraver, mais il n'a aussi rien fait pour envoyer les responsables devant la justice.
Pour démontrer qu'il a compris ses erreurs, Bouteflika a récidivé en faisant voter en 2005 une charte de la "réconciliation" qui a blanchi des milliers de terroristes, dont "son ami" Madani Mezrag, sinistre chef terroriste responsable de milliers de morts.
Grâce à Bouteflika, l'impunité en Algérie n'est plus seulement tolérée, elle a été institutionnalisée...






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