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« L’ONU a désormais une image de l’Algérie plus proche de la réalité »

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  • #16
    Poster un article qui caresse un etat assassin dans le sens de sa lame assassinantte equivaut a moi a etre un des ses emissaires.
    La prochaine donne nous ton opinion sur cet article si tu ne veux pas etre jete' au panier des crabes de l etat algerien assassin.

    tu as bien une opinion sur cet article car tu l as affiche'! Sans commentaire veut dire que tu y consents.

    get it?

    mmis.
    Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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    • #17
      satisfaire l'ONU......satisfaire Medelci...............je ne vois pas de satisfaction du peuple là!!!!!

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      • #18
        Ayoub,

        Voci ce qu'écrit le même représentant sur le maroc. Il commence toujours par dire des trucs positifs pour plaire au pays et apres ils passent aux choses sérieuses. C'est une excercice connu.

        exemple sur le droit des enfants au maroc par le même auteure.



        166. La Rapporteuse spéciale constate avec un vif intérêt que même si le nombre d'enfants


        victimes de pratiques qui relèvent de son mandat est en grande partie inconnu, les divers acteurs

        s'accordent sur le fait que nombre de problèmes graves devront être réglés. Elle a noté une
        volonté réelle de la part du Gouvernement marocain de faire face au phénomène de l'exploitation
        des enfants, de rechercher les moyens d'en prévenir l'extension et de soulager la souffrance des
        enfants exploités et victimes de violences. Il est particulièrement encourageant de relever
        les efforts faits par le Maroc pour ses enfants, compte tenu du fait que tout débat sur les violences
        sexuelles est encore pour une large part tabou dans la société marocaine. Il faut aussi noter que
        nombre d'ONG reconnaissent que le Gouvernement actuel accorde une grande attention à
        la protection de l'enfance

        167. La Rapporteuse spéciale souhaiterait formuler les recommandations suivantes :
        a) Il conviendrait d'aborder d'urgence la question du nombre croissant d'enfants des
        rues, en particulier dans les grandes villes comme Casablanca, Marrakech et Tanger. À cet égard,
        il faudrait réaliser des campagnes pour informer et sensibiliser la police et les autres responsables
        de l'application des lois quant aux moyens d'aborder efficacement le problème des enfants des
        rues sans les victimiser davantage;
        b) Il faudrait surveiller étroitement les endroits fréquentés par ces enfants non seulement
        pour pouvoir les aider mais aussi pour éloigner ceux qui pourraient abuser d'eux et les exploiter;
        c) Il faudrait aborder la question de l'émigration clandestine d'enfants, qu'elle soit
        librement consentie ou forcée. La proximité géographique de l'Espagne rend l'émigration
        attractive aux yeux de bien des enfants. Aussi faut-il lancer des programmes de sensibilisation
        afin d'informer le grand public, en particulier les enfants et les parents, des dangers très réels
        de l'émigration clandestine, que ce soit pendant le voyage ou une fois sur place;
        d) Il faut examiner attentivement toute la législation, en particulier le droit pénal, pour
        que les enfants victimes de violences et d'exploitation ne soient pas pénalement responsables.
        Il faut combler les lacunes de la loi qui découragent de porter plainte contre les auteurs de tels
        actes. Ainsi, en droit marocain, une fille qui porte plainte pour viol doit présenter au moins deux
        témoins pour corroborer son récit et, si elle est enceinte et ne peut pas prouver qu'elle a été
        violée, s'expose à être accusée d'avoir eu des relations sexuelles interdites par la loi;
        e) La situation des bonnes enfants est très préoccupante. Des réformes tant législatives
        que politiques s'imposent au moins pour assurer la sécurité des enfants et leur accès à
        l'enseignement. La Rapporteuse spéciale fait sienne la recommandation du Comité des droits
        de l'enfant à savoir qu'un plus grand effort est nécessaire dans le domaine de l'enseignement,
        en particulier dans les zones rurales les moins favorisées et qu'il faut résorber les disparités dans
        le taux de fréquentation scolaire entre les garçons et les filles;
        f) Il faudrait faire de l'éducation un instrument efficace pour ouvrir le débat sur des
        sujets considérés traditionnellement comme tabous, en particulier les atteintes sexuelles et
        la consommation de drogues. Il faudrait mobiliser non seulement les enfants mais également
        la population tout entière;
        g) La Rapporteuse spéciale invite instamment le Gouvernement marocain à ratifier
        la Convention de La Haye sur la protection des enfants et la coopération en matière d'adoption
        internationale et à l'adopter de toute urgence. Il faudrait également étudier des solutions réalistes
        autres que le système d'adoption dit de la kafalah pour les enfants qu'aucun membre de leur
        famille ne désire accueillir;
        h) Il faudrait que le Ministère du tourisme étudie sérieusement le problème des enfants
        qui travaillent comme "faux guides" à Marrakech et qui sont souvent arrêtés, mis à l'amende
        et emprisonnés et qu'il trouve des solutions à ce problème;
        E/CN.4/2001/78/Add.1
        page 34
        i) Bien qu'il n'existe pas de données sur la consommation de drogues dures par les
        enfants, il semble que la pratique qui consiste à renifler de la colle soit courante, en particulier
        chez les enfants des rues; cette pratique devrait donner lieu à des campagnes de sensibilisation
        et faire l'objet d'une surveillance;
        j) Il faudrait se pencher sur la question de l'entrée des filles dans la prostitution.
        Selon de très nombreuses informations, elles seraient de plus en plus dont beaucoup auraient
        commencé comme aides domestiques, à être emmenées à El Hajeb, dans le Moyen Atlas, où elles
        travailleraient comme prostituées;
        k) Il faudrait mettre en place des mécanismes d'écoute pour permettre aux enfants
        de demander de l'aide. À cet égard, il faudrait former et sensibiliser à l'écoute de ces enfants
        la police et les responsables de l'application des lois de façon à ce qu'ils ne se désintéressent pas
        d'eux au motif que, s'agissant uniquement de problèmes domestiques, leurs demandes ne relèvent
        pas de leur compétence;
        l) Il faudrait examiner les possibilités de faire appel aux acteurs du secteur privé,
        en particulier au milieu des affaires, en qualité de partenaires dans la protection des enfants
        comme dans la promotion et le renforcement de leurs droits. Bayti a indiqué que beaucoup
        de sociétés ont manifesté leur désir d'aider les enfants dans le besoin, mais que le public est très
        mal informé et que la plupart de ces sociétés n'ont aucune idée sur la façon dont elles peuvent
        se rendre utiles. En particulier, Bayti a estimé qu'il convenait d'encourager les grandes
        multinationales qui opèrent à Casablanca souvent avec des enfants des rues à leur porte à venir

        en aide à ces enfants. De la sorte, l'assistance viendrait du Maroc plutôt que de l'extérieur.




        Dernière modification par bledard_for_ever, 29 octobre 2007, 19h18.
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #19
          Ayoub
          Toujours en Algérie, mais cette fois du côté de Tindouf, le Polisario se livre aux pires exactions au détriment de la dignité de sa population. Le mouvement séparatiste continue de bafouer les droits de milliers d’enfants, en les déportant systématiquement vers Cuba, pour servir de moyen de coercition sur leurs parents dans les camps de Lahmada.
          Tu ne peux pas laisser ces pauvres sahraouis tranquiles et eviter de les denigrer à tout bout de champs.

          Commentaire


          • #20
            Lynx

            Voici une satisfaction du peuple, les vérités sont dites au grand jour devant l'ONU :

            1. Depuis l’indépendance du pays en 1962, l’Algérie a toujours pratiqué la même politique de
            négation et d’exclusion à l’encontre de l’identité amazighe. Les Constitutions algériennes ont
            régulièrement réaffirmé la même définition de la nation reposant sur les seules composantes arabe
            et islamique excluant ainsi la composante amazighe. L’actuelle Constitution (qui date de 1996), si elle introduit enfin la référence à l’amazighité, à côté de l’Islam et de l’arabité, comme fondements de l’identité algérienne, c’est seulement dans son préambule et celui-ci insiste d’ailleurs plus loin sur « l’Algérie, terre d’Islam (...) et pays arabe ». Les articles 2 et 3 lèvent ensuite toute équivoque en stipulant respectivement que « l’islam est la religion de l’Etat » et « l’arabe est la langue nationale et officielle ».

            2. A la suite du soulèvement kabyle d’avril 2001, la Constitution algérienne a été complétée par un
            article 3 bis qui indique que « Tamazight est également langue nationale ». Mais il s’agit d’une
            reconnaissance de pure forme, imposée par les événements sanglants de Kabylie, sans aucune
            réelle remise en cause de l’état de domination de la langue et de la culture arabo-islamiques. Ainsi,
            l’histoire et la civilisation amazighes plusieurs fois millénaires demeurent tout simplement occultées,
            niées, refusées.

            3. Dans la pratique, les violations des droits politiques, économiques, sociaux, culturels et
            linguistiques des populations amazighes découlent de cette négation et/ou des contradictions
            constitutionnelles et seront donc pratiquées avec une apparence de « légalité ».

            4. Afin d’accentuer le processus d’assimilation des Amazighs, l’arsenal juridique est complété par la
            loi n° 91-05 du 16/01/91 « portant généralisation de l’utilisation de la langue arabe », modifiée par
            l’ordonnance n° 96-30 du 21/12/96 et qui est entrée en vigueur le 5 juillet 1998. Cette loi soumet à
            des sanctions pécuniaires et même à des peines de prison en cas de récidive, les auteurs de tout
            texte, contrat ou déclaration publique, écrits ou prononcés publiquement dans une autre langue que
            l’arabe. Tous les documents émanant des administrations, des entreprises publiques et privées et
            même des associations, doivent obligatoirement être rédigés exclusivement en langue arabe. La loi
            90-31 sur les associations culturelles va dans le même sens en interdisant toute publication qui ne
            soit pas en arabe.

            5. Face à ce qui est vécu comme de graves injustices, les amazighs d’Algérie et particulièrement
            les kabyles, ont à maintes reprises dénoncé la négation et le racisme dont ils sont victimes et
            réclamé publiquement le respect de leurs droits et de leurs libertés démocratiques. Au cours des
            vingt dernières années, on peut retenir notamment la révolte des populations kabyles au cours du
            printemps amazigh de 1980, le boycott scolaire de l’année 1994/95 entrepris par les écoliers, les
            collégiens, les lycéens et les étudiants pour exprimer leur refus de l’exclusion de tamazight de
            l’école algérienne, la révolte populaire qui a suivi l’assassinat du chanteur et défenseur des droits
            de l’homme Lounès Matoub le 25 juin 1998 (à la veille de l’entrée en vigueur de la loi d’arabisation)
            et enfin le printemps noir de l’année 2001 et la marche du 14/06/2001 à Alger qui a rassemblé 2
            millions de personnes, marquent l’état de rupture entre la société amazighe et le pouvoir algérien et
            ses pratiques mêlant injustices, mépris et violences.

            6. A chaque fois que les populations amazighes ont revendiqué leurs droits – pourtant toujours de
            manière pacifique – la seule réponse institutionnelle a été le mépris et la répression. Au cours du
            soulèvement populaire de Kabylie au printemps 2001, les « forces de l’ordre » ont fait usage
            pendant trois mois d’armes de guerre, utilisant même des balles explosives contre les populations
            civiles, faisant 126 morts et plus de 5000 blessés dont plus de la moitié garderont des séquelles à
            vie.
            .............
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

            Commentaire


            • #21
              Suite

              10. Le pouvoir algérien pratique à l’encontre des populations amazighes, de graves actes racistes
              et discriminatoires fondés notamment sur l’appartenance ethnique, la langue et la culture. Ces
              actes sont appliqués avec un zèle particulier contre les populations de la région de Kabylie. On
              signalera à cet effet un certain nombre d’exemples :

              - le citoyen amazigh qui revendique le droit au respect de son identité ne connaîtra jamais
              d’emploi ou de promotion professionnelle dans l’administration ou les entreprises publiques ;

              - Lorsque ce citoyen est employé dans une entreprise privée, des pressions sont exercées par
              les autorités afin qu’il soit licencié. C’est le cas de M. Azem, vice-président du CMA qui a perdu
              son emploi en 2006 et qui se trouve depuis, au chômage ;

              - les militants pour la promotion de l’identité amazighe et des droits de l’homme font l’objet de
              harcèlements administratifs, judiciaires et policiers, d’intimidations, de menaces et parfois
              d’enlèvements suivis de graves agressions physiques perpétrées par des « inconnus ». Les
              enquêtes lorsqu’elles sont ordonnées, sont menées sous contrôle policier et de ce fait, ne
              débouchent jamais sur la vérité ;

              - la création d’associations socioculturelles amazighes est soumise à des restrictions (refus de
              délivrance de l’agrément administratif), de même que certaines de leurs activités sont interdites
              de façon arbitraire. Ces associations sont par ailleurs exclues du bénéfice des subventions de
              l’Etat alors que les associations qui oeuvrent à la promotion de l’arabo-islamisme perçoivent des
              sommes faramineuses ;


              - l’administration continue de refuser aux parents d’inscrire leurs enfants sur le registre de l’état-civil avec des prénoms amazighs ;

              - Le climat de terreur instauré par les services de sécurité de l’Etat particulièrement en Kabylie et
              la peur des représailles, n’incitent guère les citoyens à porter plainte ou à rendre publique les
              violences qu’ils subissent ;

              - L’état d’urgence instauré depuis 15 ans, laisse de grandes libertés aux forces de sécurité de
              l’Etat et les assure de l’impunité, ce qui encourage tous les abus.

              11. Les activités d’un grand nombre d’organisations de la société civiles ont été interdites ou
              empêchées :

              - Interdiction d’une conférence organisée à Tizi-Ouzou par la Ligue Algérienne de la Défense des
              Droits de l’Homme (2005),

              - Refus d’agréer l’association des élus locaux du Rassemblement pour la Culture et la
              Démocratie (RCD) dans les wilaya de Tizi-Ouzou et Bgayet (2006),

              - Interdiction d’un séminaire de formation organisé par la fondation Friedrich Ebert au profit des
              journalistes kabyles (2006),

              - Interdiction d’une réunion publique sur l’avenir de la Kabylie, à Akbou (Bgayet) (2006),

              - Arrestation de deux étudiants de l’université de Tizi-Ouzou, en raison de leur appartenance au
              Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (2006),

              - Harcèlements judiciaires à l’encontre du journaliste kabyle, Arezki AIT LARBI pour avoir
              dénoncé la torture dans les prisons algériennes (2006-2007),

              - Condamnation en 2003 et 2004, de M. Zamouche, Président de l’association Numidya, pour
              avoir programmé une conférence sur l’émigration à laquelle devaient participer des élus Belges.

              12. Le décret sur l'état d'urgence donne au ministre de l'Intérieur et aux walis des pouvoirs
              considérables leur permettant d'interdire toutes manifestations et d'exiger de leurs organisateurs
              l'obtention d'une autorisation. Un grand nombre d'activités culturelles ou scientifiques organisées
              par des associations ont ainsi été interdites par les autorités.

              13. La loi de 1990 sur les associations et les modalités de son application limitent considérablement
              la liberté associative :

              - Pour créer une association il est nécessaire de réunir au moins 15 membres (article 6). Ces
              personnes feront toutes l’objet d’une enquête et d’un rapport de police,
              - Lors du dépôt du dossier de l’association auprès de l’autorité compétente, les dirigeants de
              l’association subissent un interrogatoire de la part de l’administration,

              - Le dossier déposé auprès de l’autorité compétente doit être obligatoirement rédigé en langue
              arabe. Les documents d’information de l’association doivent également être rédigés en langue
              arabe (article 19),

              - Les associations sont tenues de fournir régulièrement, à l'autorité publique concernée, les
              renseignements relatifs à leurs effectifs, aux origines de leurs fonds et à leur situation financière
              (article 18),

              - Seules les associations à caractère national, peuvent, adhérer à des associations
              internationales. Cette adhésion ne peut intervenir qu'après accord du ministre de l'intérieur
              (article 21),
              - Les dons et legs d'associations ou d'organismes étrangers ne sont recevables qu'après accord
              de l'autorité publique compétente (ministère de l’Intérieur) (article 28),

              - Pour réaliser des opérations de coopération dans les domaines scientifique, culturel ou social,
              les associations socioculturelles algériennes sont tenues de demander une autorisation dûment
              motivée au ministère des affaires étrangères. Cette « autorisation » s’avère être en réalité, une
              interdiction déguisée pour les associations indépendantes, en particulier pour les associations
              amazighes.

              14. En définitive, ces obligations contenues dans la loi et les pratiques administratives
              contraignantes, découragement et restreignent lourdement la liberté d’association. A ce sujet, le
              Comité des droits de l'homme de l'ONU a déjà recommandé au gouvernement algérien de modifier
              sa législation de manière à être conforme aux exigences du Pacte.


              15. Dans le domaine de l’éducation, l’araboislamisation se poursuit sans relâche : En 2006, le
              gouvernement a décidé la fermeture de 42 écoles privées particulièrement en Kabylie, parce que
              leurs programmes n’étaient pas conformes aux programmes arabisants de l’Education Nationale.
              La scolarité de 5000 élèves s’en trouve gravement perturbée.

              16. En même temps, l’Etat continue de subventionner généreusement les écoles coraniques
              (zaouias).

              17. Dans le cycle de « l’école fondamentale », les enseignements sont en arabe, langue du Coran.
              L’essentiel des textes de lecture et exercices est puisé dans le champ religieux. L’éducation
              « religieuse et morale », pratiquée de façon dogmatique, est loin de favoriser « la compréhension,
              la tolérance et l’amitié ». Au contraire, fondée sur l’unicité de la langue (l’arabe) et de la religion
              (l’islam), elle combat la diversité, l’ouverture d’esprit, la curiosité, l’initiative et porte gravement
              atteinte aux libertés fondamentales de pensée, de croyance et de conviction. C’est ce système
              éducatif fondé sur les conformismes mutilants et rétrogrades qui est le premier responsable de
              l’exclusion, du chômage, du fanatisme religieux et du terrorisme.

              18. Au printemps 2001, le rapport de la commission de réforme de l’éducation a dénoncé
              l’enseignement idéologisé et recommandé une réforme de fond qui repose sur la prise en compte
              de la personnalité algérienne (fondée sur son caractère amazigh, africain, méditerranéen) et sur
              « la nécessité de reconstruire l’école algérienne sur les principes de modernité, de rationalité et
              d’ouverture, susceptible de préparer réellement les générations futures aux défis de ce 3ème
              millénaire ». Alors que les analyses de ce rapport ont fait l’unanimité auprès des spécialistes, la
              mise en application de ses recommandations a été reportée à une date indéterminée sous la
              pression du lobby exercé par les partis islamistes et conservateurs.

              19. L’article 2 de la Constitution algérienne stipule que « l’Islam est religion d’Etat », ce qui interdit à
              tout algérien d’avoir une autre religion, de changer de religion ou de ne pas avoir de religion. La
              liberté de conscience et de croyance est donc bafouée. En vertu de cette loi, 6 personnes ont été
              arrêtées et condamnées en 2005 à Bgayet (Kabylie) pour non observance du ramadhan (période
              de jeûne musulman).

              20. Le code de la famille en vigueur depuis 1984 porte gravement atteinte aux droits moraux et aux
              libertés de la femme algérienne. Fondé sur une base religieuse (la Charia islamique), le code de la
              famille place délibérément la femme dans une situation d’infériorité, de dépendance et de
              soumission envers l’homme. Cela est parfaitement contraire à l’idéal humain de justice, d’égalité
              des droits et de liberté.

              21. La réforme du code pénal (mai 2001) porte gravement atteinte à la liberté d’expression en
              Algérie dans la mesure où de lourdes peines d’amende et de prison sanctionneront désormais
              « toute personne coupable d’injure, d’insulte ou de diffamation à l’encontre du président de la
              république et des institutions de l’Etat », sans que ces notions soient clairement et précisément
              définies. Il s’agit manifestement là, d’une restriction d’une liberté démocratique qui vise aussi bien la
              presse indépendante que les militants associatifs et les citoyens.

              Esperons que cela va faire bouger les choses et surtout faire réagir les algériens.......
              Dernière modification par zwina, 31 octobre 2007, 12h36.
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

              Commentaire


              • #22
                C'est de qui Zwina?
                On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

                Commentaire


                • #23
                  Moh24

                  C'est le rapport des experts de l'ONU en réponse à "nos representants" qui ont cru berner si facilement les instances internationales.
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #24
                    Merci zwina pour ce rappel.
                    je pense que les experts de l ONU se sont referes au dossier que le MCA leur a presente' a New York cette annee.
                    je dis bravo au MCA et son president, mr Belkacem.
                    Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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                    • #25
                      bravo felicitations!

                      Grace a l'amazighite, le pays fait de grands pas avant. Le cretin qui porte plainte contre son pays a l'ONU, c'est l'esprit qui va forger une nation ca? Les problemes que connait le citoyen ne vous interessent pas? Le monde vit a l'heure de la mondialisation, souffre du manque d'eau, la corruption, un rechauffement climatique, mais non la kabylie sera bien me lotie lorsqu'elle sera assechee totalement par notre betise.
                      Ne croyez pas avoir etouffe la Casbah, Ne croyez pas batir sur nos depouilles votre nouveau monde.(Kateb Yacine)

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                      • #26
                        Alforza

                        Tu pourrais être plus clair ?
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #27
                          tiens, le cretin que je suis va chercher le texte original du MCA et t en faire cadeau sur ce thread. Si zwina ne me devance pas bien sur.
                          Que ne faudra t il pas subir pour vous eduquer. Mais est ce qu un cretin peut eduquer un autre. Peut etre dans le monde de l absurde. C est fort possible pour sur comme le raisonnement par l absurde en mathematique existe aussi.

                          bien que le bonjour mr le non cretin.

                          ihi, a cretin, cretin et demi.

                          vive la kabylie! vive Tamazgha!

                          Il cite kateb en plus!
                          Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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