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Bouteflika qualifie les discours sur sa succession de « surenchères »

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  • Bouteflika qualifie les discours sur sa succession de « surenchères »

    Dans un entretien à Ansa, il refuse de confirmer ou d’infirmer son désir d’un troisième mandat

    Le président Abdelaziz Bouteflika a refusé de se prononcer sur son éventuel maintien ou son départ du pouvoir après 2009. Dans un entretien accordé à l’agence italienne Ansa à la veille de sa visite en Sardaigne, il laisse toutefois l’impression d’une éventuelle prolongation de sa présence aux commandes du pays s’il recevait des signaux prouvant que la majorité qui l’a élu à deux reprises veut qu’il se présente une troisième fois.

    Interrogé sur « l’après 2009 et sur la personnalité qu’il voyait lui succéder dans le futur», le président a montré une sensibilité certaine au message véhiculé par la question. « Je vois que vous voulez m’entrainer dans des surenchères inutiles en réalité. Je ne vous suivrais pas. J’affirme néanmoins mon engagement à respecter, dans toutes les circonstances, la souveraineté du peuple algérien et les moyens démocratiques existant pour l’exprimer ». Autant le président de la République a évité une réponse franche à la question posée par le journaliste de l’agence italienne, autant il aura laissé la porte ouverte aux interrogations entourant sa volonté de briguer un troisième mandat.

    Il a considéré que la polémique créée par la question de son maintien ou de son départ ainsi que la personne qui pourrait éventuellement lui succéder n’étaient en réalité que « des surenchères inutiles ». Une allusion aux discussions ayant cours dans les milieux politiques et dans la presse sur sa volonté de continuer à gérer le pays et sa détermination de réviser la Constitution qui lui interdit actuellement de briguer plus de deux mandats présidentiels. De nombreux responsables politiques ont affirmé ces derniers temps que l’état de santé du Président l’a rendu hésitant à prolonger sa présence au palais d’El-Mouradia et par la même à réviser la loi fondamentale du payas.

    El Khabar




  • #2
    étant donné que la démocratie est absente en algérie, et que le peuple n'a rien à voir avec le choix du président et que ce dernier n'est installé que sur avis de personnes issues de l'armée, pourquoi ne pas le laisser à vie et éviter à l'algérie une perte de temps et d'argent, et comme cela il n' y aura pas d'amalgames sur ce sujet et l'algérie vivra en paix . en tout cas jusqu'a ce que notre chère armée change d'avis .

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