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Le ministre des Affaires religieuses et Wakfs a infirmé, hier, le gel du projet de la Grande mosquée. Bouabdallah Ghlamallah s’est contenté d’assurer que le projet suivait son cours. Il a, par ailleurs, indiqué, que ce qui a été rapporté sur l’éviction de certains membres de la délégation algérienne dans les lieux saints, n’était que de la « surenchère ». Pour le ministre, le travail pour cette délégation n’était pas un « poste permanent ».
La direction des Affaires religieuses et des Wakfs a entamé hier les journées de sensibilisation sur le pèlerinage au profit des 1300 futurs pèlerins de la capitale. En marge de cette rencontre, le ministre de tutelle a indiqué que le projet de la grande mosquée n’était pas gelé sans pour autant apporter plus de détails. Interrogé sur la viabilité du terrain affecté au projet, Bouabdallah Ghlamallah a précisé que « les différentes études effectuées par les géologues ont démontré que le la parcelle réservée à la construction de la mosquée est appropriée et peut supporter un minaret de 300 mètres de long ». Le ministre ne précisera pas par contre les raisons qui ont entrainé le retard dans la désignation du bureau chargé de la réalisation de la mosquée. Il avait été annoncé le 27 du mois de ramadhan passé que le président de la République allait suivre personnellement les résultats de l’appel d’offres. Le directeur de cabinet du chef de l’Etat Mohamed Moulay Guendil a rencontré le ministre Ghllamallah à deux reprises à Dar Al-Imam pour le suivi du dossier. El-Khabar avait publié dans son édition d’hier, et citant des sources officielles, que le Président avait décider de geler le projet à cause de rapports mettant en cause le bureau d’étude chargé de l’accompagnement technique. Ce qui fait prévaloir le gel du projet de la Grande mosquée surtout après la polémique créée autour.
Le ministre des Affaires religieuses et Wakfs a infirmé, hier, le gel du projet de la Grande mosquée. Bouabdallah Ghlamallah s’est contenté d’assurer que le projet suivait son cours. Il a, par ailleurs, indiqué, que ce qui a été rapporté sur l’éviction de certains membres de la délégation algérienne dans les lieux saints, n’était que de la « surenchère ». Pour le ministre, le travail pour cette délégation n’était pas un « poste permanent ».
La direction des Affaires religieuses et des Wakfs a entamé hier les journées de sensibilisation sur le pèlerinage au profit des 1300 futurs pèlerins de la capitale. En marge de cette rencontre, le ministre de tutelle a indiqué que le projet de la grande mosquée n’était pas gelé sans pour autant apporter plus de détails. Interrogé sur la viabilité du terrain affecté au projet, Bouabdallah Ghlamallah a précisé que « les différentes études effectuées par les géologues ont démontré que le la parcelle réservée à la construction de la mosquée est appropriée et peut supporter un minaret de 300 mètres de long ». Le ministre ne précisera pas par contre les raisons qui ont entrainé le retard dans la désignation du bureau chargé de la réalisation de la mosquée. Il avait été annoncé le 27 du mois de ramadhan passé que le président de la République allait suivre personnellement les résultats de l’appel d’offres. Le directeur de cabinet du chef de l’Etat Mohamed Moulay Guendil a rencontré le ministre Ghllamallah à deux reprises à Dar Al-Imam pour le suivi du dossier. El-Khabar avait publié dans son édition d’hier, et citant des sources officielles, que le Président avait décider de geler le projet à cause de rapports mettant en cause le bureau d’étude chargé de l’accompagnement technique. Ce qui fait prévaloir le gel du projet de la Grande mosquée surtout après la polémique créée autour.
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