Justement qu'est ce qui justifie son maintien dans ses fonctions malgré ses bourdes répétées ??? Le fait qu'il est l'appui des américains ou un ami de Belkheir ???
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Mezrag et Benhadj défient Zerhouni
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Zerhouni n'est pas un militaire. C'est encore moins un de ses "generaux" qui faisaient la pluie et le beau temps dans une periode pas si lointaine.
C'est un homme de Bouteflika. Et c'est d'ailleurs ce dernier qui l'a ramené en Algérie alors qu'il n'etait qu'un simple diplomate anonyme à l'etranger ; ).
Yazid Zerhouni est l’un des derniers fondateurs des services secrets algériens encore en vie, un homme qui, depuis Abdelhafid Boussouf à Kasdi Merbah, a voué son existence aux renseignements et au contre-espionnage, donc susceptible de connaître trop de choses sur ses congénères et disposant de cette forte légitimité que procure la redoutable érudition sur le petit monde de la politique et des affaires. C’est qu’à vingt ans déjà le jeune Noureddine - son vrai prénom - réussissait à se faire recruter dans le fameux Ministère de l’armement et des liaisons générales (MALG), le service de renseignements de l’ALN, dirigé par Boussouf, et où il se fit progressivement remarquer par ses prédispositions intellectuelles.
Son efficacité fit de lui, dès l’indépendance, une personnalité incontournable du contre-espionnage et un des principaux responsables, dès 1962, des " services opérationnels " de la nouvelle Sécurité militaire, héritière du MALG. Son crédit s’épanouit sous le règne de Houari Boumediène qui le désigna dès 1972 à la tête de la plus délicate direction des services secrets, celle des Analyses et de la Documentation, une tâche qu’il n’eut pas l’occasion d’achever car il se vit confier par le même Boumediène, au milieu des années 70, la fonction de collaborateur direct de Kasdi Merbah, alors tout-puissant patron du renseignement algérien. Yazid Zerhouni s’imposa alors comme le numéro deux des services secrets dont il contribua à asseoir la réputation et l’efficacité. La mort de Boumediène, en 1978, le surprit en pleine réorganisation des services de renseignements et le révéla comme l’un des hommes gênants qu’il était du devoir du nouveau régime d’écarter. Pour des considérations tactiques, le Président Chadli préféra l’épargner dans un premier temps, optant pour l’urgence : évincer au préalable l’imposant Kasdi Merbah. Après que ce dernier fut prié, dès 1979, d’abandonner les commandes de la Sécurité militaire, le chef de l’Etat se trouva subitement confronté à l’épineuse obligation de lui trouver un successeur.
A défaut d’alternative viable et immédiate dans son entourage, Chadli Bendjedid se rabattit sur la seule personnalité compétente capable de gérer l’institution : Yazid Zerhouni. Durant près de trois ans, dans une Algérie qui se déboumediénisait laborieusement, l’actuel ministre de l’Intérieur supervisa les différents appareils de la Sécurité militaire jusqu’à ce que Lakehal Ayat le remplace en 1982. Commença alors pour l’homme du renseignement une nouvelle et longue carrière de diplomate.
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Je ne sais pas si il a déclaré qu'il etait en "prison" comme tu le pretends.
On sait tres bien de toute manière que ce dossier ne sera pas traité comme celui d'un terroriste de "base".
De toute façon ce qui importe, c'est que le personnage soit aujourd'hui neutralisé et qu'il ne constitue plus une menace pour l'etat et la societe.
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Felicitation, tu as montré que tu es capable d'utiliser la fonction copier coller ; )
Deuxieme etape, lecture du contenu et analyse des sources (le matin) : )
@ l'expert et une fois encore je dois utiliser le copier coller mais cette fois ci la source c'est le gouvernement et ton zerhouni n'est pas aussi civil que tu le dis .
http://www.cg.gov.dz/gouvernement/cv2/cv2-zerhouni.htmDernière modification par verider, 30 novembre 2007, 17h18.
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Pas de juxtaposition .
Ne pas trop faire d'amalgame !
Les mammouths ne sont pas blancs eux aussi ils doivent y passer, rendre des comptes.
Au même titre que les larves rampantes, qui doivent répondre de leurs responsabilités devant la justice.
Tout le monde y passe !!“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
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@ l'expert et une fois encore je dois utiliser le copier coller mais cette fois ci la source c'est le gouvernement et ton zerhouni n'est pas aussi civil que tu le dis .
http://www.cg.gov.dz/gouvernement/cv2/cv2-zerhouni.htm
Bon faut arreter de se moquer du monde.
C'est toi qui parlais de generaux en poste pendant 88 puis les années 90
Vous me retorqué que Zerhouni lui est toujours la.
Or Zerhouni n'est pas general d'armée, et n'etait pas poste en Algérie durant cette periode puisqu'il a été poliment chassé durant l'ère Chadli avant d'etre ramené par Bouteflika 20 ans plus tard.
Il n'y aucun parti pris (dans un sens ou dans un autre) à preciser cela.
Alors quels sont ces generaux dont tu nous parlais?Dernière modification par Sammi, 30 novembre 2007, 17h54.
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Le sujet du post c'est Zerhouni pas les généraux alors plutôt que fuir réponds nous
Si le sujet traite de Zerhouni, alors il faut s'en tenir à ce sujet et ne pas s'etonner de se faire recadrer par d'autres lorsque l'on parle de "generaux", surtout lorsque l'on maîtrise rien du sujet.
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Donc explique nous pourquoi le dinosaure de Zerhouni s'accroche à son fauteuil ???? Il a peur de quelque chose ???
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