Des repentis recrutés par Al Qaïda.....les prisons algériennes forment-elles des kamikazes ?
Des révélations surprenantes indiquent que des individus qui ont bénéficié des grâces de la Concorde civile ont repris l’activité terroriste.
Les services de sécurité ont enregistré, jusqu’à présent, 10 dossiers « dangereux » de prisonniers ayant peut être entretenu des contacts durant la période d’emprisonnement, parmi eux Abdelkahar Ben Hadj et d’autres individus chargés de recruter de nouveaux terroristes sur les fronts tunisien et marocain.
Des statistiques sécuritaires indiquent que seuls quelques éléments ont repris contact avec les groupes terroristes à leur sortie de prison, entre mars et août 2006, suite aux dispositions de la charte pour la réconciliation nationale, mais des sources sécuritaires ont indiqué à El Khabar que ces quelques éléments ont pu soutenir des activités terroristes, ou bien rallier à nouveau le Groupe Salafiste pour la prédication et le combat, et même diriger des attaques terroristes, dont la dernière en date est l’attentat kamikaze effectué par Charef El Arbi, appelé « Abderrahmane Abu Abdel Nacer » , responsable de l’explosion du Conseil constitutionnel le 11 décembre dernier et qui a « passé deux ans à la prison d’El Harrach, après que la justice l’ait placé sous mandat de dépôt en 2004, et il a été relâché en mai 2006, suite aux dispositions de la charte pour la paix et la réconciliation nationale ».
- Par El Khabar
Des révélations surprenantes indiquent que des individus qui ont bénéficié des grâces de la Concorde civile ont repris l’activité terroriste.
Les services de sécurité ont enregistré, jusqu’à présent, 10 dossiers « dangereux » de prisonniers ayant peut être entretenu des contacts durant la période d’emprisonnement, parmi eux Abdelkahar Ben Hadj et d’autres individus chargés de recruter de nouveaux terroristes sur les fronts tunisien et marocain.
Des statistiques sécuritaires indiquent que seuls quelques éléments ont repris contact avec les groupes terroristes à leur sortie de prison, entre mars et août 2006, suite aux dispositions de la charte pour la réconciliation nationale, mais des sources sécuritaires ont indiqué à El Khabar que ces quelques éléments ont pu soutenir des activités terroristes, ou bien rallier à nouveau le Groupe Salafiste pour la prédication et le combat, et même diriger des attaques terroristes, dont la dernière en date est l’attentat kamikaze effectué par Charef El Arbi, appelé « Abderrahmane Abu Abdel Nacer » , responsable de l’explosion du Conseil constitutionnel le 11 décembre dernier et qui a « passé deux ans à la prison d’El Harrach, après que la justice l’ait placé sous mandat de dépôt en 2004, et il a été relâché en mai 2006, suite aux dispositions de la charte pour la paix et la réconciliation nationale ».
- Par El Khabar
Commentaire